AMUSING PHILOSOPHY et encore SHELLEY

Ce matin 9h chez Olivier pour me décoincer le cou.

En écoutant Fidelio/ Oh  comme c’est beau… ( Klemperer …)

De fil en aiguille comme on dit et cherchant l’origine de cette gravure ” Amusing philisophy” que j’avais dans ma documentationje cherche dans ma chère NYPL et tape: Amusing philosophy  ce qui ne donne rien.  A philosophy , une vignette m’attire:

gravure de Mutlow 1806 Depicting acoustics

mur Frigo 2012,découpage 

Dans Location, est écrit ceci: Stephen A. Schwarzman Building / Carl H. Pforzheimer Collection of Shelley and His Circle

SHELLEY AND HIS CIRCLE!!!

Miam miam , me dis-je. Et en effet miam -good. C’est une exposition en ligne de  cette collection:

The Collection was the creation of the financier Carl H. Pforzheimer, Sr. (1879-1957), who took a special interest in the lives and works of the poet Percy Bysshe Shelley and his contemporaries, including his second wife, Mary Wollstonecraft Shelley, her parents, William Godwin and Mary Wollstonecraft, and such friends and fellow writers as Lord Byron, Claire Clairmont, Teresa Guiccioli, Thomas Jefferson Hogg, Leigh Hunt, Thomas Love Peacock, Horace Smith, and Edward John Trelawny.

The Bodleian Library and The New York Public Library — include close to 90 percent of all known surviving Shelley manuscripts, embodying the history of literary Romanticism in Great Britain and the United States. SHELLEY’S GHOST offers a lens through which to see that history.

Notes

J. Noël Paton/

Lady Hester Stanhope/( “reine de Tadmor, sorcière, prophétesse, patriarche, chef arabe, morte en 1839 sous le toit délabré de son palais ruineux, à Djîhoun, dans le Liban”)/ Alphonse de Lamartine, “Visite à lady Esther Stanhope”, in Voyage en Orient, 1835.

James Akin (1773–1846).

PENIBLE

Ca y est les deux blogs ne font plus qu’un. Ne me reste qu’à arranger tags et catégories, ce que j’ai toujours mal fait.

Hier j’avoue honteusement m’être réjouie de la pluie!! Petits échanges de SMS à ce sujet .

Il pleut tant que j’ai envie de faire du vélo, de respirer , d’être dans les bois. Je me couvre bien,-mais est-ce assez???- un imper + la chauve-souris + un bonnet et je file à la Bastille. J’ai un torchon dans mon sac pour m’éponger à l’arrivée et c’est délicieux de rouler. Un peu dangereux sans doute.

Au retour j’ai promis de passer au Châtelet, mais je n’ai pas la foi et rentre pour être bien fraiche au tennis de ce matin. Et j’ai vu la différence.

E. nous apporte des macarons et les photos qu’il avait fait de moi d’ailleurs avec l’imper d’hier soir. Il repasse pour réglages de son enregistreur. R. pendant ce temps joue.

J’ai commencé les essais de voix en Italien. C’est pas mal. Heureusement que GG a fait la traduction.

Nous nous envoyons des petits mails de ce genre:”Tu as traduit ça par ça, penses tu que…”

Tu as traduit:
Le lucioles, les miennes n’étaient la métaphore de rien du tout
par
Le lucciole, le mie non erano solo la metafora del nulla. 
Penses tu que c’est le même sensEt comment peut on insister sur un rien du tout ( dans le sens où la métaphore m’ennuie?)

” On adorait  “Qu’est ce qu’il y a de plus fort que Piaceva a noi???

Dis moi quand tu as un moment pour dejeuner ou café ou bonbons
bzzzzz
Tu réponds:
Chère Hélène, On n’adore pas en Italie. Je t’ai mis une autre solution ci-dessous… Pardonne-moi de te le dire, mais tu as fait une faute de français en disant “n’taient la métaphore de rien du tout ” – tu aurais dû dire : étaient la métaphore. Au  delà de “nula” il n’y a … rien !!!! Aurais-tu un moment mercredi ? J’attends un signe de la belle Hélène et je l’embrasse (baci + baci auraient dit les futuristes) GG Tu le sais l’italien est une langue très différente du français, et surtout dans les formulations idiomatiques…
G m’a fait suivre un truc détestable;. Il s’agit d’un cagnotte par le net. On met du fric, ( on précise qu’il faut tant) et on achètera un beau cadeau d’anniversaire.
 
Cette nuit j’ai fait un rêve épouvantable. J’étais à l’avant-première du film avec JLT et on a changé de salle. Jean-Louis était derrière moi avec M. Mais il était beaucoup plus jeune. La salle était vide et soudain , comme un tsunami les gens  ont été propulsés à l’intérieur, poussés par un type avec des abeilles sur le crâne rasé et un peu roux.Il avait une mitrailleuse. J’avais peur. Mais ne bougeais pas. C’était un attentat. Ca claquait et il y avait des morts… J’ai entendu ce matin à la radio Jean-Paul Mari ( rencontré il y a bien longtemps) et qui parlait de son métier: Grand reporter au Nouvel Obs…
Un autre expliquait que pendant des années il n’avait pu marcher sur de l’herbe de peur de sauter… ( faut pas qu’il aille à Orsay me dis-je gnark gnark…)

Ah oui ” les moisissures…les pharaons…”

Je lisais ce matin en buvant mon café des pages du monde Science&techno qui trainaient là.  Et j’ai souligné deux phrases de Josef Schovanec atteint du syndrome d’Asperger:

“J’ai commencé à parler en CE2, mais seulement des sujets qui m’intéressaient: Les moisissures , les pharaons, les processus de fossilisation…”

LE ROI DU BOIS sans les moisissures de Josef Schovanec

C’était bien d’entendre Le Roi du bois.

C’était vraiment bien d’entendre Jacques Bonnafé. J’adore ce type et je l’admire.

C’est magnifique ce texte dit par lui. Bougé par lui.

A un moment j’ai eu le plaisir de cette sensation d’être déjà venue là: Une plaine, des collines, des peintres… Le lorrain. ” Oui, je l’ai lu…Ah … oui, oui je l’ai lu…

Oui c’est A. qui me l’avait offert…Puis tout s’est reconstitué autour de cette image d’un garçon qui garde porcs ou brebis et regarde les chevaux des peintres, et leur manières.

Le spectacle est très beau.On ne peut le nier.Et il n’a rien de prétentieux.

Le premier mouvement du tulle m’a dérangée parce qu’il “empêchait ” d’entendre. C’était comme une scorie, un truc qui ne sert qu’à faire beau, alors que le texte de Michon se défend tout seul. On aurait pu imaginer aisaiment un plateau et de la lumière . Point. .Mais bon… La lumière est dorée.

Une voix d’enfant ( une sorte d’ange blond, qui serait le roi du bois enfant- mais me disais-je pourquoi cet enfant ressemble t’il plutôt à un prince qu’à un petit berger de cette époque… Le roi a t’il voulu truquer sa mémoire et le roi-Bonnafé s’invente t’il alors un passé d’aristocrate ou d’intellectuel à la voix pure???… Mystère). Un quatuor…Musique de Michèle Reverdy…

Mais en sortant de là, on se demandait si cette scénographie était bien utile: Sophistiquée et élégante. Oui mais? Un peu brutalement on a envie de dire qu’une telle oeuvre, riche et sauvage, animale presque , rugueuse et sophistiquée n’a pas besoin d’emballage.

Pas de fausses feuilles-filet de camouflage au sol, d’écrans de tulle, ni de cette très belle structure de fil. Pas besoin de mouvements des musiciens. Pas plus besoin qu’ils ne portent des cols de dentelles et soient ainsi des personnages de cet “opéra parlé“. Car c’est ainsi que le(a) metteur en scène définit le truc.

Un verre de vin blanc après dans cet endroit sympathique. J’aime bien ce théâtre de Malakof. On rit et je taquine F.

J. qui est sorti de scène à la vitesse éclair ( “Non, dit il en nous embrassant, c’est vous qui “lambiniez”. J’adore ces mots un peu désuets. Lambiner…)

Puis il vient  nous voir une bouteille de bière vide à la main. Sa marque, il le fait remarquer c’est EFES. Je lui dis que je lis plutôt ELFES ou FEES que comme il le sous-entend FESSES. Que c’est un truc de garçons!!.Bon et bien c’est de la bière turque.A. lui dit: Parfois tu ressemble vraiment à PM. IL lève un sourcil et dit que,peut-être c’est parce qu’il pense à lui. Simple comme bonjour.

Je me disais aussi que j’admirais les gens qui acceptent de ne pas être jolis. Qui frôlent la laideur , voire. Le mot voir qui affublé d’un e final devient une conjonction,  oui ce e au bout m’a toujours intriguée.

Retour métro et arrêt à Etienne Marcel. Direction un bar de la rue Saint-Martin, ou C. a donné RV pour son anniversaire. C’est un bar immense, avec plein de monde. Je croiseC. A.L, A. C. J. etc … Reste une bonne heure et rentre manger une tomate mozza avant de me coucher.

“LE CONFORT INTELLECTUEL”

Reçu Le Bréviaire de la Bêtise, le confort Intellectuel, Cynismes, et j’sais pas quoi.

L’image de Staline , statue de bronze déboulonnée en Géorgie me fait penser à Adel Abdessemed. Dès que j’ai vu ce machin sans échelle ( c’est lourd  et grand mais ce n’est pas monumental ) j’ai pensé au parc près de Budapest, le Memento parc.

Pas vu l’exposition.

Puis  fiche du film Despues de Lucia, que j’ai aimé même si je l’ai trouvé très lent. C’est ce qui fait sa force sans doute.

Pratiquement fini le grand transparent 4.

Je lis des critiques des grandes expositions  et je ris. Je ris à la remarque de Dagen qui dit qu’il ne manque que l’arrosage automatique dans l’expo d’Orsay , dernière salle.

Ce matin lever 7h pour tennis à Saint-Denis. Lamentable. Pauvre F. J’ai honte!!!

Je lis je ne sais où , et cela m’intéresse, la difficulté des Français à représenter les fantômes.  “Les scènes de la statue du commandeur ( joué par un acteur de haute taille ) ne sont sont guère plus réussies mais rares sont les metteur en scène Français qui savent comment affronter les problèmes de revenants.”René Solis

Oui représenter les fantômes en évitant l’imagerie traditionnelle du suaire blanc, du voile , du flou, ou du caricatural n’est pas une mince affaire. Le piano qui joue seul, l’ampoule électrique qui claque, la porte aussi, les escaliers sans fin…

Moi je pense que c’est Don Juan et Sganarelle qui voient cette figure, mais pas le public. C’est toujours un peu ridicule cet uomo di sasso. 

West/ Inkeepers

Il Convitato di Pietra e detti

La Statua
Don Giovanni, a cenar teco
M’invitasti e son venuto!
Don Giovanni
Non l’avrei giammai creduto;
Ma farò quel che potrò.
Leporello, un altra cena
Fa che subito si porti!
Leporello (facendo capolino di sotto alla tavola)
Ah padron! Siam tutti morti.
Don Giovanni (tirandolo fuori)
Vanne dico!
La Statua (a Leporello che è in atto di parlare)
Ferma un po’!
Non si pasce di cibo mortale
chi si pasce di cibo celeste;
Altra cure più gravi di queste,
Altra brama quaggiù mi guidò!Etc///

Palpitant

Rêves désagréables. Suite au film Lucia, vu hier, des scènes en traversant à moto la banlieue. Paris, une tour dans le brouillard, et je suis à contre sens sur les voies le long de la seine. Campagne. Je vais voir un lieu d’exposition. Nuit. Pluie. Presque une panne d’essence. Une pompe au loin dans la nuit. Je n’ai plus de poignée droite sur la moto et elle cale. Le garçon assemble deux images qui représentent une sorte de chateau fort. Une boite de nuit de campagne. Où dormir. Je ne sais plus avec qui j’ai rendez-vous.

Dans les salles d’exposition, des horribles trucs ludiques pour les enfants , des grottes tournantes, se mélangent à tout: une exposition, des meubles, de la vaisselle.

Moi je veux montrer des dessins. Le bas de dessins comme s’ils arrivaient par le plafond.

Herbert Leonard arrive avec un vieux 33 tours. Il es très jeune.

Je chante une de ses chansons. Laquelle , mystère!!!!

C. ce matin m’a envoyé une mini video du bal a Montarcher. Alexandri…Alexandra…

Bon. Café et Argenteuil dare dare. Puis j’irai manifester:

01 manif moma

Qui est Jane Heap

Houp là , je me planque… Elle n’a pas l’air commode.

Jane Heap

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Je poursuis la fastidieuse “fonte” des deux blogs. Encore sept pages. Oui ce sera mieux comme ça. Je taggue un peu à l’arrache. Peut être trouverai-je une âme sensible qui me le fera mieux.

Hier soir , Bal des Monstres à l’institut Pasteur et aussi à Beaubourg pour Mircea Cantor.

C’est un très beau nom Mircea Cantor. Mircea comme Eliade et Cantor comme Kantor. C’est très beau, très propre. Tout est propre et beau . C’est bien, c’est beau, c’est clean… La vie est propre, les bombes sont propres, rutilantes, les lames des couteaux brillent, les barbelés sont des bijoux, c’est bien. Les talons aiguille sur le sol, les pochettes, et petits sacs à main.

On boit un verre en passant devant le “monumentale” statue de Zidane, oeuvre qui n’est pas sans rappeler le dépôt à Budapest des sculptures communistes. 

T. et Moi , vin blanc, V. et C attaquent au pastis. Tiens ??? Ah bon du pastis. La pauvre V. Ne résiste pas et aulieu d’aller préparer son cours écoute nos âneries.

Moi je file à la sortie du théâtre et arrive en retard pour boire un verre avec D.

On dine en rentrant. Je me couche toujours tard.

Ce matin cours de Gym Suédoise. J’aime bien mais je suis incapable de suivre les mouvements dans l’espace de quelqu’un d’autre .C’est tragique ce manque de coordination des mouvements. Ridicule. Et puis j’ai envie de faire l’imbécile et de parler Picard car C. est à côté et G. derrière. Mais on se fait trop repérer.C. pouffe à la moindre de mes grimaces.

IL pleut à verse.

J. et W. annulent le theâtre. J’espère que tout va bien aller. Hum. Je lui envoie des petits SMS à L’hosto .

 

 

NOTES/Jack Mytton

“Mais il faudrait citer aussi le calculateur prodige Jeremiah Buxton. On le mena un jour voir Richard III.

Quand on lui demanda si la pièce lui avait plu, il donna le nombre de mots prononcé par les acteurs et le nombre de pas qu’avaient faits les danseurs”

Mad Jack Mytton, le squire du 18ème siècle, possédait 60 chats et habillait chacun d’eux d’une livrée différente, correspondant à sa race.

( He is reputed to have kept 2,000 dogs and more than 60 finely-costumed cats.)

Sir Stukeley passa son temps à construire chez lui des demi-lunes, parapets, remparts, échauguettes, fortins et autres tours de guet. Il fut, dit-on, le modèle de l’Oncle Toby dans le Tristram Shandy de Sterne.

princess Caraboo hoax

A NARRATIVE OF A SINGULAR IMPOSITION,

PRACTISED UPON THE BENEVOLENCE OF A LADY

RESIDING IN THE VICINITY OF THE CITY OF BRISTOL,

By a Young Woman

OF THE NAME OF

MARY WILLCOCKS, alias BAKER, alias BAKERSTENDHT, alias

CARABOO, PRINCESS OF JAVASU.

201204301607.jpg

Note/ maladies nocturnes

illustration.jpg

maladies nocturnes.jpg

Cette nuit dans la quatreL blanche garée au loin dans un paysage de montagne est de neige, garée bien trop loin pour que je puisse distinguer quoique ce soit, j’ai vu à l’arrière le corps d’une femme morte. J’ai enregistré l’immatriculation 2224 1240 75 et appelé la police. J’ai joué avec un enfant. Il y avait Guy.

J’ai regardé à nouveau la femme, en  chien de fusil et dont le corps saignait.

Note étoile

One of Roussel’s later plays was called L’Etoile au Frontthe Star on the Forehead.

Duchamp’s famous haircut in which he had a star cut into the hair on the back of his head may be a joke in which he has reversed the forehead, in French “le front,” or in English pronunciation, the “front” of his head….

 

Scanneur scanné/ reflexions sur le ridicule

Je poursuis quand j’y pense ma collection de scanneurs piègés par leur machine avec au bout de l’index un truc en caoutchouc

Hier soir délicieux moment à beaucoup rire chez E. et V. Le grand G.G était là et ponctuait ses phrases comme à l’accoutumée- c’est naturel- d’une sorte de cri d’animal préhistorique désopilant.

Remontée à vélo. Récupère A.et C. dans le coin où ils finissent leur pizza. Ce matin petit déjeuner ensemble. Puis je ne bouge pas et travaill pour Angers. Regarde à nouveau les films de Fischli et Weiss qui me font rire. ( the point of least resistance)

ScanneurCapture d écran 2012 09 29 à 20 26 48

Hum et autres sons

Capture d écran 2012 09 24 à 17 41 02

 

 

 

 

 

 

 

Heu…

J’ai commandé le bouquin sur la sottise de Jerphagnon.

Vu des expositions ( post private) et suis très étonnée de la nécessité actuelle de mettre en scène des oeuvres ( non contemporaines). Est ce bien nécessaire? Faciliter la lecture, illustrer, rendre attrayant, J’écrirai un truc le dessus à mon propre usage pour ne pas être bannie de la société!!!! J’ai quand même le droit de trouver l’herbe synthétique de la dernière salle de l’expo épouvantable. Non?

Pourquoi devrait-on s’amuser de tout, rire, s’amuser encore, rendre léger, habiller, aider, et ne plus faire confiance aux oeuvres elle-mêmes???Pourquoi dans les expos répondre au téléphone, boire au goulot de sa petite bouteille d’eau, que sais-je….

Vu/ Lu:

Les cartons manuscrits sur les chaises “opéra”. Verlaine est assis à côté de Louis Vuitton qui lui même est devant Barbey d’Aurevilly. “Trop drôle” fait la grande américaine made in Wharton, en mettant sa main devant sa bouche comme pour empêcher des dents de s’envoler.

Grottebleue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Pluie battante hier et voyage à l’autre bout de la Banlieue. J’attrape Valérie à la gare d’Argenteuil direction le bout du monde . Il y a un arc en ciel et une lumière magnifiques. Une péniche toute seule avance sur l’eau. Des oueds, et l’iPhone qui nous guide. 30km 1h 5 nous dit-il…Il fait nuit.

On y est hop.J’ai mérité un verre de vin. Même deux.

Une exposition transparente dirais-je.

Ou le peu ne crée pas une tension, mais juste du vide. Et pas celui de Brook!!!

Dommage car la personne doit être plus intéressante que ces petites choses sympathiques, mal assurées, et  sans poids, sans corps et si féminines.

Endroit trop grand . Et ne pas utiliser la magnifique salle du haut c’est n’avoir pas assez.

Humeur sombre et un peu inquiète. Family story. Hum… A régler. 

Je dépose V. à Belleville puis rentre. Je prépare des girolles que je trouve sur la table et des fraises. R. a fait les courses. Il est content et en pleine forme.

On se couche tard et on n’a plus envie de dormir.

Hop car demain ( ce matin) une splendide machine à laver le linge arrive.

Grottebleue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Contente d’avoir vu CA ce midi. Son enthousiasme… Il y a 5 ans ils se mariait avec Ysé. P. et moi étions témoins…..

Ce soir, sortant du spectacle de Jean ( il est impressionnant en Thésée), je passe devant la mairie du 4eme et envoie à Y. et C une photo avec cette légende:

Je vous attends devant la mairie

No news…

 


Retour en haut