les ombres

En rentrant de l’atelier hier j’ai tourné la tête pendant le feu rouge et découvert ceci/

Capture d’écran 2013-10-02 à 12.26.00

J’aime bien cette image car je ne sais absolument pas ce qu’est ce local-entreprise à coup sur mais…- et que font ces personnes penchées. Des femmes découpées et des portes manteaux. Cela m’a fait penser à Blanc et Demilly .

blancdemilly

Je ne sais pourquoi.

Rangé en partie l’atelier et les immenses dessins et accroché les papiers pour commencer à peindre.

p92 de l’histoire d’une jeunesse de Elias Canetti.

On ne peut plus le quitter. Je trouve si juste ce qu’il dit de la peur:

Rien de plus vivace que la peur, sans elle, nous serions bien peu de chose. C’est une tendance caractéristique de l’homme que de s’abandonner à la peur. Point de peur qui se perde, mais les cachettes de la peur sont insoupçonnables. Parmi tout ce qui existe en l’homme, ce sont peut-être bien les peurs qui se transforment le moins. Quand je songe à mes jeunes années, ce sont mes peurs, infiniment nombreuses, que je reconnais avant tout. Il en est, parmi elles, que je ne découvre qu’aujourd’hui, il en est d’autres que je ne découvrirai jamais; en elles réside, me semble-t-il, le mystère qui me donne envie de vivre éternellement.

Il y a le deuxième tome qui m’attend puis aussi Melmoth que j’ai reçu d’occasion / Pauvert et qui m’intrigue autant qu’il est gros. Puis le petit livre sur Walpole. Et le matin laborieusement pendant une heure et comme une fourmi, j’ai repris la lecture du Sultan de Zanzibar en Anglais . Je passe plus de temps dans le dico que dans le livre mais bon. En attendant le professeur de mes rêves que je n’ai pas pris le temps de chercher, c’est mieux que rien.

Maintenant choisir des images pour Paris photo.

Je regrette mon frigidaire à sapin transformé en grand atelier, sans téléphone, sans ordi…

RV avec ES demain à 18h. Où???

Ce soir au conservatoire présentation publique des travaux des étudiants de Mario Gonzalez

VIVIERS

Capture d’écran 2013-05-04 à 13.31.24

LN VIVIERSweb

C’était bon de marcher sous la neige. Un peu surprenant à l’arrivée!. La maison chauffe vite et la cheminée mange tout ce qu’elle voit. Je commence tout de suite à travailler. Correction et reprise du livre sur NS. Oups. Soudain je ne comprends plus tellement ce que j’ai écrit. Ce n’est pas un livre me semble-t’il mais des notes, des retranscriptions d’interviews. Je ne sais pas ce que je lis, n’arrive pas à lire- probablement la lassitude face à ce truc que je ne réussis pas à finir- Mon vieux coucou d’ordi n’est pas l’idéal, mais bon. Le problème n’est pas là.

Je reprends ” la lettre seule” qui me semble être ce qu’il y a de mieux et passe l’après-midi sur deux mots. Je cherche, me perds, ne sais plus ce que j’ai dit ou pas. N ‘arrive pas à relire.

Puis je descends chez E. qui a préparé un délicieux repas. C’est toujours aussi agréable. La moins bonne idée est à la fin du diner de me verser un truc sucré que d’habitude je sais refuser et … qui me casse en deux. Je remonte dans mes sapins , probablement en zigzagant un peu!!. Le piège…

Mccarty-Cormac-Le-Gardien-Du-Verger-Livre-896535680_ML

La pluie , la pluie. Et impossible à présent d’écrire ou de corriger. J’envoie quelques SMS à J. et des âneries à V. et T qui de leur côté partent aussi respirer autre chose.

D’habitude le mauvais temps ne me gêne pas tant que cela. R. arrive et on profite d’un peu de ciel dégagé pour filer au col des Supeyres, pélerinage.

Pluie et pluie et soudain soleil. Tout le monde sort de son terrier cueille des jonquilles, sourit…

J’abandonne Buko pour un roman  The Orchard Keeper, Le gardien du verger de Mc Carthy. D’où sort-il et pourquoi et quand l’ai-je acheté. mystère. J’ai beaucoup de plaisir à le lire. J’admire ces récits qui ne sont pas linéaires. Les personnages épars se rejoignent finalement dans une nature sauvage , isolée, oppressante: Neige, bois, marais, rivière et pièges. Chasse et cris d’oiseaux…On a la sensation d’un territoire que l’on parcourt. Puis aussi cette voix italique.

Ce qui m’amuse , et je l’écris à J. c’est mon étonnement au moment où je termine “The curse of cat people/ la malédiction des Hommes chats”, Wise.

A part un chat vivant et noir tout au début, pas l’ombre d’un. Rien de rien. Pas d’homme chat!!!Pas de crocs, de griffes. 9a la suite de La Féline? hahaha !!! C’est assez Cucu avec la petite fille blonde qui a pour amie un fantôme ( Simone Simon ) Bon mais moi, s’il y a un décor avec une grande maison, un grand escalier, une ombre furtive. Ca me va…

chats-

Reprenant le livre de Mc Carthy, comme par enchantement voilà les chats de la nuits, immenses et menaçants!J’ai corné les pages et prêté le livre à E. Je vais lui demander de me scanner la page et la mettrai là.

Oui, donc, je livre/ Je vous écrirai après votre mort…

C’est ce que j’aimerais faire . Une sorte de livre à plusieurs voix et point de vue même s’il n’y a que deux personnes( ages)… Dans mon cas ce serait:

La lettre Elle disait ( les cartons)  Les descriptions de photos de moi Paysages Les tasses ( la cérémonie)  La Nekkuia  La cape (un peu comme le casque en peau de chien de je ne sais plus qui et qui rend invisible )

Comment mélanger mythologie et interview?

◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊

Vélo dans les bois ( hum ça grimpe plus que la rue des Martyrs ) gorgés d’eau mais la boue me plait. Je monte à Ferreol. Cet été je dois reprendre un entrainement plus sérieux ( négligé l’an dernier ).

La maison du Diable de Wise.

Je ne sais pas pourquoi j’aime ces petites hideurs, ( Stafforshire pottery). Je rêvasse là devant. C’est un mystère que cette attention à la laideur, qu’elle vienne d’objets de cette sorte ou de s tableaux et portraits dans les films.

stafford2

stafford1

Puisque nous y sommes pourquoi ne pas ajouter à cette petite collection une théière coquillage. Il me semble bien qu’elle est déjà quelque part dans ce blog. Et de ravissantes jeunes filles qui s’ébattent lors de je ne sais quel anniversaire ( Wedgwood bicentenary)

portland vases 1930

Tien en parlant de mort, je pouffe de rire même si ce n’est pas charitable. X m’annonçant le décès de sa mère, je rappelle. Et elle me dit dans la conversation que l’enterrement blabla , et ajoute ” Tu pourras venir voir le caveau un jour si tu veux “. 

Les bras m’en tombent et j’en ris encore.

“Kancékonvaokavo ?”

Wilde est un bifteck

C’était agréable ce moment passé à N.

Il y fait très chaud. Nous parlons en buvant un café ( moi deux ) et G.A m’emmène visiter la Bibliothèque en me racontant plein d’histoires des soeurs qui vécurent là, dans une sorte de Grey-Gardens à elles:

Capture d’écran 2013-04-18 à 22.30.20

J’attrape un livre jaune. Oscar Wilde. On le feuillète en souriant car il contient des “truffes” amusantes. Je ne savais pas ce qu’était une truffe: Ce nom désigne tout ce qui s’ajoute au livre: Billet de spectacle entre deux pages, notes, fleur séchée, dédicace etc…). Celle ci est bien et c’est presque le titre de l’exposition de Juin prochain.

“J’ai vu Wilde. Sa face était rouge comme un bifteck”

Capture d’écran 2013-04-18 à 22.31.44

J’adore ce genre de petite bibliothèque personnelle à étages et en boiseries. Rien n’y est vraiment rangé et un livre Pierre Benoit est rangé à côté de Baudelaire, ou d’un truc écrit en allemand. Beaucoup de livres d’art, d’architecture, etc.

Puis je me promène dans les salles, fais des photos des espaces, regarde le parc par la fenêtre. Immense.

G. me ramène à République en poursuivant le récit de ce qu’il découvre à la BN. Il me raconte aussi l’effroi au 104 alors que c’était encore “Les pompes funèbres générales” avec les cercueils rangés par catégorie, les chevaux etc. c’est immense en plus le 104.

Je m’achète un jus de coco et une petite bouteille d’eau. Des madeleines pas bonnes du tout.

Capture d’écran 2013-04-18 à 22.30.45

Comme je suis en avance , je me pose près d’une borne vélib. C’est super désagréable les bip bip. Je note deux trucs que disent des passants, commence un livre, regarde la vieille femme avec son chien et son chat et son drôle d’instrument à une corde.Elle a une longue jupe noire plissée qui doit en couvrir une autre. Le chien a une sorte de petit habit rouge déplumé, le chat idem avec un noeud blanc. Ca me fait penser à Vitalis…Je les ai déjà vus. D’habitude il y a un vieux aussi.

L’instrument ressemble à une gadoulka ( Roumanie je crois ) qui n’aurait qu’une corde et la façon dont elle en joue si on peut dire est si répétitive que je me demande comment elle peut le supporter .

Puis j’y vais…

ADN au soleil

Je commence “les Mémoires d’un vieux dégueulasse”. Je ne sais pas quel est le titre en Anglais.( Notes of a dirty old man-1969 )

Pas de majuscules après les points et de la bière et du Porto partout.

Ce que j’aime c’est cette vivacité d’écriture sans “allumer les néons ” comme c’est traduit. Allumer les néons c’est faire de la littérature, c’est écrire comme on ferait si on voulait être écrivain et qu’on voulait mettre tout de son côté.C’est écrire en se disant je suis écrivain. L’exact contraire de ce qu’il faut faire. Pas facile, mais faut-il suivre son petit style?  Y a t’il des types d’auteurs genre Picabia? Des types qui tapent partout, se contredisent, savent être horribles, cultivés, insolents, peindre comme des pieds. Pas mal d’auteurs ont des warnings quand même.

Bukowski , j’en reviens pas de ses idées . Des trucs inattendus en permanence, des visions. Des choses extrêmes immondes, puantes mais on sourit souvent. Ce sont des récits désespérés et pas déprimants. Des bagarres toutes les deux pages. Du football Américain et du cricket, des filles aux jambes écartées, des types qui se branlent en picolant méchamment. Ca fait mal au coeur cette quantité d’alcool, de mauvais vin à capsules, de whisky, de tout ce qui passe. Ce doit être super dur à traduire.

Ces temps-ci , j’ai trop vu d’intellos. j’en ai par-dessus la tête de ces précieuses intelligences qui s’obligent à vous aligner des pensées plaquées en or. et par-dessus la tête aussi de devoir batailler pour m’assurer un espace de  liberté créatrice.c’est la raison pour laquelle je me suis si longtemps tenu à l’écart des masses, et maintenant que je recommunique avec mon prochain, je me dis que je ferais mieux de m’en retourner dans ma tanière. il n’y a pas que l’intelligence: il y a les insectes et les palmiers et les moulins à poivre.et dans mon souterrain, marrez vus , j’apporterai un moulin à poivre… 

Mémoires d’un vieux dégueulasse

Il y a des tas de trucs auxquels je pense en marchant et que j’oublie. Je me dis , tiens ça c’est plutôt drôle, je vais l’écrire et puis, pfft plus rien, comme le rêve de cette nuit qui était pas mal mais dont j’ai tout oublié.

Hier soir prenant à nouveau le RER , je me trompe et atterris à Bourg-la Reine. Sinistre cette ligne. Je descends et repars dans l’autre sens. Je croyais que V. se moquait de moi  en me demandant si j’était dans EXIL. Mais c’était vrai, j’étais dans EXIL et vu qu’elle m’avait dit de monter en tête et qu’en fait elle s’était trompée, j’ai du quitter la proue d’EXIL où je me tenais avec ma mauvaise humeur et remonter tous les compartiments pour être en queue. Mauvaise humeur parceque le train ne s’était pas arrêté à Gentilly et parce qu’un mec mangeait un fish.J’en voyais tout l’intérieur comme une doublure panée. La couleur était celle de l’or quand il est mal imprimé dans les bouquins. Avec une pointe d’orange en plus. Bref, au moment où je parle tout le monde même sur la banquise sait ce qu’est un fish-burger. Le sien avait l’air quand même mieux que ceux qui sont enrubannés d’une substance crémeuse avec des points verdâtres censés représenter des herbes…  Mauvaise humeur parce que dans le métro un type plein de percing ( le correcteur suggère pressing ) et qui sent la frite me corne dans les oreilles sa conversation. C’est trop. Je me rebiffe, suis franchement désagréable et le gars tout doux me dit:

“Mais vous pourriez le dire autrement!”

Il était sincérement peiné derrière ses crochets X. Il a cessé sa conversation “jte rappelle dans 5 mn “et il m’a donc  dit ça:“Mais vous pourriez le dire autrement!” 

Je me suis sentie un peu coupable ” de ne pas l’avoir dit autrement!”  mais je n’ai pas baissé la garde. Je suis restée odieuse et j’ai replongé le nez dans les cahiers rouges de Grasset. Mais finalement le plus grave c’était les frites. Cette odeur est plus écoeurante que la pire saloperie scatologique de Bukowski.( quoi que….)

On a beau dire, la banlieue c’est pénible même si…

Bref Le Bukowski rend les voyages en “transport” possible. On a ‘impression d’être dans sa gueule de bois et quand il cogne on a pas les gnons mais l’énergie du combat. On s’en sort propre et sans mal de crâne. On a des chaussettes impeccables, des vêtements possibles…

ADN

structure de l’ADN

Enfin…

un article là-dessus

C’est J. qui me le signale!!! Depuis le temps qu’on rigole avec ça.

Bravo à David Caviglioli

“Lorsque l’écrivain, qui a par définition un esprit tranchant, regarde l’objectif, il ne le regarde pas comme vous et moi. Il le transperce avec son regard d’acier. “

Et yen a d’autres… ET des meilleures…

Mais à part “ça”…No new Job????

Je ne sais pas pourquoi j’écoute si peu de musique. Même pour écrire “ça” , ça me dérange.

Je suis contente que JW ait une bonne critique dans les Inrocks, mais il faut vraiment manquer de délicatesse pour écrire ceci: “En ouvrant ces Six photos noircies, premier livre d’un garçon de vingt-sept ans sans emploi…”

Ca me rend dingue. ( Ca plus la photo extraite de Tim Burton= Rien à voir !!!!)

Un journaliste digne de ce nom  est un journaliste et ne peut se permette des gaffes d’auteur de blog ( comme moi !!! ).

Je pense qu’il n’y a pas de mauvaise intention mais…. Que vient faire ici la vie privée de J. Pourquoi cette précision? Nous sommes à la télé ou quoi? De quoi vit-il le J.? Est-ce un parasite?

J’envoie, verte de rage des SMS révolutionnaires à JW  qui me répond ” Heureusement que le tableau de la couv s’appelle My New Job !!!

C’est réellement monstrueux quand on y pense. Cela veut dire que Jonathan et les autres en l’occurence les écrivains, artistes, réalisateurs, metteurs en  scène passionnés par leur truc n’ont pas de métier.

Ben tiens!!! C’est vrai que niveau horaire, à priori ont est à l’aise au double du temps de travail des autres mais ne soyons pas mesquins ou aigris. Que des vacances on en prend pas vu qu’on y est tout le temps ? Pas vrai?

Mais qui n’a pas entendu déjà ” Et vous faites quoi comme métier…” ou plutôt “Mais vous faites quoi à part ça?…”

Mais ça quoi Ducon?

Je vais demander à Rochefort ce qu’il fait à part ça. Et je me demande ce que faisait Langlois dans la vie. Quant à Pierre Niney, Pascal Quignard et tout le défilé qui suit….

Bon sinon le principal est qu’on en parle comme on dit … Et qu’on en dise du bien.

Elle s’étouffa soudainement.Puis vivement réussit à monter dans le canoe de Lewis et Clark qui passaient par là fort heureusement

Ce dessin me réjouit/

canoe lewis et clark

L’origine de l’âne

Je ne commence jamais par où je voulais. Ainsi , je n’avais aucune envie de parler de l’image qui suit. J’aurais plutôt attaqué avec les fumées blanches, le souvenir que j’en ai quant à Rome; chez A. nous guettions. ( c’était en 1978 pour Jean Paul I  et j’étais allée en reconnaissance avant de séjourner quelques années plus tard).

Ces cérémonies m’épatent littéralement. J’aime le théâtre et les rituels, j’aime qu’il y en ait. ( Récemment les cloches de Notre-Dame…)

Mais je me dis que tout ça quand même… En plus j’ai l’impression que la vérité c’est le film de Moretti et que ce que j’ai vu hier soir en rentrant n’en est qu’un reflet!!! Les images de Piccoli et de François I se superposent . Je ne dis rien du portrait de Francois Ier  par Clouet!!!

Et puis tous ces gens place Saint-Pierre. Tout n’est pas perdu si on croit en quelque chose … Le Vatican doit être néanmoins un joli panier de crabes , avec les enjeux politiques, le pouvoir etc…

Si j’aime l’apparat, les Suisses sont quand même grotesques. Bon bref.

Tiens la rudologie c’est quoi…

( Oh Sinatra, c’est bon, ça… such a lovely day... Nananan… fly with me -et pas to the moon-Orchestre de Quincy Jones).

Tiens… on va filer des armes aux rebelle Syriens…

“Diable soit de l’âne et de qui me le bâta”

Mais en la rangeant, cette image  dans Documentation 2013 je trouve ceci que j’avais mis de côté sans vraiment regarder;

Capture d’écran 2013-03-14 à 09.09.32.

Voyez dit la bonne commère quand le bonhomme fut de retour , l’âne est témoin de ma fidélité

Der Packsattel ce qui veut dire bât

Tiens tiens, Subleyras. Je ne connais rien de ces images. Jamais vu ça??? Quelqu’un sait quelque chose?

âne-nu

Celui ci est au Musée de l’Ermitage

Ce qui est génial avec le net, c’est justement cela: trouver, chercher, fouiner.

Sur Google books:

Capture d’écran 2013-03-14 à 09.22.27taxte âne-nu

… Donc le mari-peintre avant de partir en voyage peint sur le bas-ventre de sa femme un âne.

A peine a t’il le dos tourné que l’apprenti et l’épouse -à-l’âne … On aura deviné. Hum hum !

Ah mais voilà que l’âne est effacé à moitié et qu’il n’en reste que la tête et la queue. Ils y sont allés un peu fort semble t’il!

L’apprenti répare .

“Ce jeune homme lui dit qu’elle ne se mit point en peine et qu’il en savait assez pour en repeindre un autre:

Il prit aussitôt les couleurs et le pinceau et se servant de ce qui restait de l’âne, acheva le reste.

Mais comme il n’avait pas vu auparavant comme il était fait, il le peignit tout bâté, au lieu que le Maitre l’avait fait tout nu.

Au bout de deux ou trois jours le Maitre revint… Damned!!

C’est drôle non??? En tout cas moi je suis contente de cette découverte.

Bon, si le mec qui contrôle le chauffe -eau rappliquait je pourrais aller continuer cette horrible peinture.

Hier , Plateau. Assez belle expo je trouve puis un verre avec V. à Pyrénées. On rit encore après s’être quittées en s’envoyant des emoji évocateurs.

Pluie et Méprise

Capture d’écran 2013-03-11 à 10.03.16

Capture d’écran 2013-03-11 à 10.03.04

S’emparer avec plaisir d’un livre ( le choisir dans une librairie comme la récompense de je ne sais quoi, se voir déjà installée dans un fauteuil pas trop mauvais, le savourer).

Se” caler” avec délices, mais-puis rapidement s’impatienter, puis-mais attendre au moins 20 pages, le fermer, regarder vaguement la quatrième, refeuilleter, jeter un oeil à la préface puis se résigner à reprendre la lecture après avoir envoyé un SMS inutile. Se dire que quelque chose va crépiter dans une ou deux pages et que l’on va tout oublier. Mais non. Rien. Je commence à sauter des mots, lire en zig-zag, aller plus loin, soupirer et être mécontente parceque ce livre s’écoute écrire.

Voilà ce qui m’est arrivé avec La méprise que je  décide de fermer p 146.

Je déteste arrêter un livre commencé. J’en veux et à l’auteur qui m’a ennuyée et à moi-même qui, peut-être  ,suis passée à côté d’une chose essentielle.

J’essaie vainement de m’intéresser à ce récit bavard . Le double me plait je dois dire, puis les doubles. Mais  je déteste dans un livre  lorsque l’auteur dit :” tu vois cher lecteur que ci que là…”. Puis qu’il ajoute: “J’aurais pu commencer ainsi ou comme cela. ” Et des digressions, des digressions: “Mais je fais des digressions , des digressions …” P90

Sur le net je trouve cette information erronée disant que c’est son dernier roman alors qu’il est de 36. Et la fiche du films de Fassbinder.

Quelle déception après Pnine. Pnine c’est trop bien et Lolita aussi d’ailleurs…

Cette nuit je suis passée chez Cocteau qui n’était pas en forme. Il avait ses sortes de chaussons à damiers et quand il a tendu la main, berk c’était une main-poisson.

Il y avait deux villages de montagne, des chemins, mon vélo, une femme qui me parlait de plantes. J’ai tout oublié. AM qui dessinait des plans pour son exposition et soudain une tristesse terrible. La voiture était décapotable et ouverte et il neigeait à l’intérieur. Je n’arrivais pas à la refermer comme un jouet en plastique.

Il fallait que je trouve R. pour lui dire que ça n’allait pas du tout. C’était assez mouvementé mais je ne me souviens pas bien. Il y avait une autre personne chez Cocteau… Sais plus…

Samedi soir dîner sympathique et familial chez A2G.

Je suis à vélo et il fait bon pédaler dans la nuit. Dimanche matin hop tennis puis  J. passe vite fait .

800px-Rozhdestveno

Le château de Rojdestveno appartenant à la famille maternelle de Nabokov, dont il hérita en 1916.

“La taupe au nez étoilé”

salvatore rosa

 

Pas facile de lire le livre de Caillois , “les cohérences aventureuses”, sans avoir les images à disposition. Alors je cherche les ouevres de Joos de Momper, Salvatore Rosa, Erhard Schön,Luca Cambiaso, Lorenz Stoer, Ghisi, j’en passe et des meilleurs.

Mais j’aime bien aussi l’idée de cette quête d’images, de l’effort à fournir pour y parvenir.

Je suis restée jusqu’à présent éveillée. Pas dormi. Sortie au soleil ce matin. Ca va mieux. Toujours difficile de manger autre choses que du bouillon ou des yaourts ou des clémentines.

J’adore ce tableau. Il est vraiment mystérieux avec ses drôles de créatures en vol ou en envol et cette grenouille monstrueuse qui saigne de la bouche….

suite de:

LES HOMMES d’AFFAIRE SONT DES « DANDYS-CONSO 

Brummel devait à ses ancêtres une singulière combinaison d’esprit, de gout, d’insolence, d’indépendancecar il ne fut jamais un courtisan-qui n’était sans doute pas assez fine pour s’appeler une philosophie de vie mais n’en tenait pas moins le rôle

p106-107

virginia woolf/ Suis-je snob

Quelques heures après me suis échouée chez M .

Le magnifique Monory et ses chaussures bicolores était là. Le Fromanger était là. Le Adami était là. Le …

Hum. le temps passe…

Le temps a passé…

Ils ont fait ce qu’ils avaient à faire, et continuent…Mais…

Impossible et trop tard de retrouver A.

Quelques heures après ai fini la soirée avec des Polonais à la station Rue du bac. Demain je dois amener un pack de Pivo.

Maintenant je vais dormir.

RIEN

Je pouffe de rire en lisant Bouvard et Pécuchet. La description de leur collection est irresistible.

Et si… Non, non, je ne dis rien…

D’autres bouquins à la traîne. Et j’ai intercalé dans mes lectures le 14 de Eschenoz. Je n’arrive pas à savoir exactement ce que j’en pense. Autant Ravel et Des éclairs m’avaient plu, autant le sujet si dramatique de 14 raconté de la sorte ( une simplicité désarmante) me perturbe.

Hier j’accompagne R. au théâtre et on me trouve une chaise d’appoint car c’est archi-plein.Incroyable les réactions des gens.

Lis un article sur Malraux. C’est le bordel sur ma table. Hier tard, regarde un truc interessant sur les “gorilles ” de de Gaulle ainsi que les reporters et leurs techniques de planque.

Ecoute l’interview intéressante de la réalisatrice de “Would you have sex with an arab“. Les horaires des séances sont pas marrants. Genre 16h.

Hop, je file.

Villa Diodati

Capture d écran 2012 10 12 à 19 11 47

Ah oui ” les moisissures…les pharaons…”

Je lisais ce matin en buvant mon café des pages du monde Science&techno qui trainaient là.  Et j’ai souligné deux phrases de Josef Schovanec atteint du syndrome d’Asperger:

“J’ai commencé à parler en CE2, mais seulement des sujets qui m’intéressaient: Les moisissures , les pharaons, les processus de fossilisation…”

Ethan Frome

Je pensais en commençant ce livre poursuivre ma vie dans l’aristocratie Américaine, me balader dans l’Italie du Grand Tour, ou écouter les soupirs d’une femme qui ne peut divorcer, ou a des problèmes avec sa garde robe… 

Rien de tout cela. 

L’hiver, la neige, la pauvreté et 3 personnages ( 2 femmes et Ethan. )

Si je faisais des films, je ferais ça.  Ah il y en a dejà un!!!!

Mais bon….On peut rêver.

BenjaminWestNGA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Benjamin West

(En rapport avec Morse)

PLUIE PLUIE PLUIE

Charles brocken brown

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le son du “pape” refait , je fais le transfère sur bande. Mon magnétoscope sort de chez Loca image. Et ça donne des carrés vert et rose.

Un franc succès.

Je réussis quand même mais je vais le reporter pour d’autres soins.

R. est enchanté de ses répétitions donc moi aussi.

J’ai terminé Heu  Edgar Hunty ou les Mémoires d’un somnambule, qui devenait quelque peu ennuyeux. C’est qu’il y a le récit puis le récit du récit puis une lettre où on lit ce même récit. Quand on sait qu’il s’agit aussi de situations double sou symétriques ( les lettres déplacées par des accès de somnambulisme, quand on sait que chacun est en permanence au bord d’un gouffre mental projeté dans un gouffre géologique, on a singulièrement l’impression de tourner en rond et encore en rond. En rond sur terre, en rond sous terre, en rond dans le fleuve et ses profondeurs

 

Precipices dans Wieland:

Precipice

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et en recherchant rien je trouve ce qui sonne un peu comme notre cher ORLAMONDE

Ormond, ou le témoin secret ( au bord d’un précipice glacé? )

Capture d écran 2012 05 21 à 19 09 53

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Specchio

Capture d écran 2012 05 19 à 10 08 36

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 clip Pope of Dope ( assez ridicule je dois dire – le pope)

La lecture de Edgar Hunty ou les Mémoires d’un somnambule est plus aisée que celle de Annie Lebrun, qui le cite. Et c’est un bon pallier avant la reprise des Châteaux de la subversion. Mais que c’est bavard et que d’aventures, de grottes, de précipices, de bêtes sauvages ( que l’on mange crues) d’indiens ( que l’on tue), que de jeunes filles ligotées, de frères immondes, d’amis sortis de nulle part.

Ah, j’ai le souffle coupé.

Regardé Blow-up . C’est vraiment bien.

Poursuis les chapelles en changeant le son de out fit-Panoplie.

 

Entre 2 tours

15 avril-29 mai

Descendue à l’école

neige

promenade dans les bois avec raquettes/ visite à Janne/ Diner devant la cheminée avec P. et E / lecture et France Musique

Navet : Les adieux de la reine

SMS de guy qui s’annonce à l’expo. Puis SMS de commentaire quelques jours plus tard. je suis contente

projection a Cinétoile

passage à chalon pour prendre les elements construits par D.

remontée à 100 à l’heure pas plus avec le bardas sur le toit

Dernier jour expo à la galerie

Passage d’Edit Scob .Penser à quelque chose avec elle.

Soirée improvisée au bar du coin.

Argenteuil photos pour cet été.

prends la voiture car il fait trop mauvais/ radio émissions sur la mode intéressantes.

Penser à un projet hum hum pas facile.

diner chez CA.

lecture du dernier Roman de Dickens ( Mystère Edwin Drood )

Une année studieuse de Anne Wiazemsky

Ecrits de Tacita Dean

Vernissage Galerie puis Unesco avec Alice.

Anniversaire D

Transport ce matin . Camion à 15h

Alain Cavalier sur France-culture. Hier soir je me lance et déclare détester “Pater”. Complaisant narcissique et suffisant.

Courses. Poulet. Maria T

Passage de C.


J’oubliais LES ELECTIONS

Sarkosy encore pire que pire/ Ironie, mensonges, débats impossibles avec ces teignes.

J’espère qu’il est bel et bien foutu mais prudence


Demain matin:


tennis court.jpg

Yeux

Bronte.jpg

 

Ai terminé le J.Coe. C’est très agréable, étonnant que tous ces personnages épars se retrouvent plus ou moins au même endroit. Drôle aussi l’invention de ce réalisateur aux films perdus ou détruits ( ne reste qu’une seule image ) . Il aurait inspiré à Pasolini Salo. C’est une bonne idée.

Pour les transports c’est l’idéal ( si j’étais écrivain, je n’aimerais pas entendre cela. Disons que pour les transports c’est l’idéal aussi. J. Coe est né en 1961 mais il a l’air plus âgé d’après ce que j’ai vu??

Presque fini Forêt noire de V. Mrejen.

Dentiste.

Courses de bouffe. Queue.

Demain Maison des A.

Allez chez Otrad, chez Ikea,Argenteuil.

RAS.

Pris billet Nice Rennes pour Juillet . Ouf je n’aurais pas tout ce train , toutes ces heures dans des trains aux périodes de vacances qui plus est .Restera quand même Rennes Pontivy…

Le prix est le même à peu de choses près.

 

Tiens comme par hasard je choisis cette image avant de parler de Coe. Il y a tout un passage où il est question d’yeux, de fantasmes, de regard. Tiens tiens.

Et alors qu’hier je trouvais un titre à des histoires que je voulais écrire, et me disais que l’une d’elle serait le retour de ma mère et une promenade avec elle, je trouve une situation semblable dans Forêt Noire.

 
bronte manuscript.jpg

Written when Charlotte was 14, and dated 1830, The Young Men’s Magazine, Number 2 measures only 35 x 61mm.

However, its interest to scholars – who, following the manuscript’s purchase by La Musée des Lettres et Manuscrits in Paris, will be able to study the work – is not proportionate to its size.

Contained within the Magazine’s 19 pages is a vivid tale of murder and madness entitled “A Letter from Lord Charles Wellesley”, which includes an episode prefiguring one of the most famous scenes in fiction:

whenJane Eyre’s Bertha – the so-called “madwoman in the attic” – sets fire to her husband Mr Rochester’s bed.

Courir plus vite

C’est amusant que des gens intelligents qui montrent leur travail, que ce soit des artistes ou je ne sais quoi, prennent la mouche quand on n’approuve pas forcément. Je vais au théâtre , aux expositions, au cinéma…

Libre à moi de réagir et de penser ce que je veux.

Sinon. Que chacun reste chez lui ( soi ?) et ne risque ainsi aucun commentaire flatteur ou désobligeant, injuste ou plaisant.

C’est marrant ça quand même. Bon. Et puis les cases: On aime la peinture alors on ne peut pas aimer le reste. Mais c’est quoi le reste? Et c’est quoi la peinture et l’un est il le reste de l’autre.. Ben tiens! Ben tiens tiens!!!

Le problème est que tout cela n’est pas une question de forme mais de fond. Alors peinture ou autre chose.. Et certaines oeuvres ont un costume de concept. C’est comme les père-Noel quand on voit leur pantalon qui dépasse du manteau rouge.

Une autre fois j’avais réveillé la foudre d’un rocker un peu connu que j’avais entendu sur France Culture. Sa suffisance était un chef-d’oeuvre en soi. Je n’en étais pas revenue.

Bon, on s’en fiche.

La première heure j’ai joué au tennis comme un iguane et je ne m’en apercevais pas. C’est drôle de ne pas avoir la conscience de son corps.

—Qu’est ce qui se passe?

—Tu peux penser à bouger?

—Je bouge, je ne fais que ça.

—Ah bon…

Il faut dire que ça commence à s’accélérer et mes jambes parfois ne m’obéissent pas à 100 pour 100.

Je crois que et Roland Garros et le Goncourt sont fichus pour moi

Oh et puis merde.

Revenons à cette histoire de concept pictural bien plus passionnant .

Celui de cet article concernant les éléments grotesques sur les Quatre portraits.

Allez je finis Miss Mackenzie le peu passionnant livre de Anthony Trollope, mais je l’aime quand même. Oui je dois l’achever car il y a la queue derrière: Le Muss de Malaparte, le livre de V.Mrejen, les Didi-Hub, la leçon de peinture du duc de Bourgogne, un Jonathan Coe, le dernier Ellory, et j’en passe.

Je pense parfois a cette image de Jason Dodge et à son exposition il y a longtemps chez Yvon Lambert

Capture d’écran 2012-04-03 à 19.35.51.png

cendrillon / le tigre.net+ LIGHTS OF CIVILISZATION

La pantoufle de Cendrillon était-elle de vair ou de verre? Perrault écrit verre, Balzac écrit vair, Disney retransforme en verre la pantoufle.

C’est à l’origine un adjectif issu du mot latin varius signifiant «moucheté, bi- garré». Au sens moral, le mot s’employait au sens de «divers», «inconstant, irrésolu». Cet adjectif a d’abord été utilisé en français pour qualifier des yeux d’une couleur indécise. Il signifiait entre autres gris-vert ou gris-bleu. Une étoffe multicolore, ou encore les reflets changeants de l’acier, pouvaient ainsi être qualifiés de vairs. L’adjectif a disparu de la langue contemporaine. Le substantif est resté: le vair désigne la fourrure de petit-gris, un écureuil au dos gris et au ventre blanc réservé aux hauts dignitaires pendant le Moyen Âge, ou bien une «matière fourrée de petit-gris», qui peut servir, par exemple, à fabriquer une pantoufle. Ce nom appartient également au vocabulaire de l’héraldique, où il désigne l’une des couleurs des blasons, alternant des clochetons d’argent et d’azur. Le mot a donné vairon, adjectif qui désigne les êtres ayant des yeux de couleurs dissemblables, ou frappés d’hétérochromie. Parmi lesquels l’histoire a notamment retenu Alexandre le Grand, l’actrice Jane Seymour, et beaucoup de chiens de race husky. Enfin, si vous voulez ne pas passer pour un âne, préférez à Cendrillon un vers de Claudel: «Les cieux sont de vair, et la terre est recouverte d’une broderie.

Chaque chemin d’herbes foulées sous la gelée blanche est comme une traîne lamée.» (Tête d’Or, 1890.)

test ligths.jpg

ligths of civilisation.jpg

ligths of civilisation2.jpg

ligths of civilisation3.jpg

MARY DARLY 1756-1779

Macaronis

The macaronis were an ephemeral phenomenon, as well as an extension of the fops and beaus of the earlier part of the century. They were called, among other epithets, ‘noxious vermin,’ ‘that doubtful gender,’ and ‘amphibious creatures,’ and were compared variously to monsters, devils, reptiles, women, monkeys, asses, and butterflies.
“Their concern for elaborate clothing, including tight trousers, large wigs, short coats, and small hats made them the ridicule of their generation, who focused on their gender ambiguity and the dangers of their conformity to foreign and effeminate fashion. A contemporary pamphlet, The Vauxhall Affray, sums up this view: ‘But Macaronies are a sex Which do philosophers perplex; Tho’ all the priests of Venus’s rites Agree they are Hermaphrodites. This gender ambiguity is the aspect of the representational life…’ (West, The Darly Macaroni Prints and the Politics of “Private Man.” Eighteenth-Century Life 25.2 [2001] pp.170-182).

“…the marks that had been codified into the macaroni type [were]: fine sprigged fabric, tight clothes, oversized sword, tasseled walking stick, delicate shoes, and, most recognizably, an enormous wig. This wig, combining a tall front with a fat queue or “club” of hair behind, was the feature that epitomized the macaroni’s extravagant artifice during London’s macaroni craze of the early 1770s. Named for the pasta dish that rich young Grand Tourists brought back from their sojourns in Rome, the macaroni was known in the 1760s as an elite figure marked by the cultivation of European travel. But as The Macaroni and Theatrical Magazine explained in its inaugural issue in 1772, ‘the word Macaroni then changed its meaning to that of a person who exceeded the ordinary bounds of fashion; and is now justly used as a term of reproach to all ranks of people, indifferently, who fall into this absurdity.’ Macaroni fashion was contagious, and as it spread beyond its original cadre into the rising…” (Rauser, Hair, Authenticity, and the Self-Made Macaroni.Eighteenth-Century Studies 38.1 [2004] pp. 101-117)

.201110161453.jpg

James Akin (1773-1846). The Pedlar and his Pack or the Desperate Effort, an Over Balance. Philadelphia, 1828. Etching and aquatint with hand coloring.

(Fausses) conférences: Mnemosyne rase/NUIT BLANCHE

FAUSSES CONFIDENCES39 .tiff

FAUSSES CONFIDENCES 01025411.tif

FAUSSES CONFIDENCES 01052006.tif

(Fausses) conférences/ En finir avec l’extension du pire

Du CAC 40 aux points Aveugles

Du crâne rasé au bataillon de la mort

De Cocteau à Buzz Aldrin etc…

Continuer à lire “(Fausses) conférences: Mnemosyne rase/NUIT BLANCHE”

Retour en haut