TRIER DES NOTES/ surprises vocales

Université Américaine/ photo trouvée dans une revue/ sais plus

Ne me souviens pas d’avoir noté cela:

« Je n’ai rien rien rien cela ne me fait pas mal cela me tourmente seulement.

Tout, je pense, n’est qu’une géométrie des dissensions, des doutes, des souffrances, du tourment enfin dit le prince.

Je me tiens à la fenêtre et je me vois dans la cour, sur le mur intérieur. Je m’observe je me comprends tandis que je m’observe je ne me comprends pas.

  page 202.

« Je suis âgé de quatre ans je suis âgé de 40 ans je joue avec moi-même je joue je sens( le? ) monde je pense. On m’appelle. 

Cela se passe un soir d’été. Ma grand-mère m’appelle, mon grand-père, ma mère, mon père. Ils m’appellent. Posté à ma fenêtre je les vois les uns après les autres, mon grand-père, ma grand-mère, mon père, ma mère, ma femme. Les saisons se suivent, tandis que je me tiens à la fenêtre, indéfiniment. Tout ce ma pelle ( tous m’appellent ? )

Pendant une heure entière je me tiens à la fenêtre et j’observe cette scène qui se déroule très loin, très loin à l’arrière plan, et que je transforme selon mon goût et à sa guise. Si je lance un appel dans cette direction, la scène s’efface, dit le prince. Je ferme la fenêtre et me détourne de la scène en question, elle se poursuit. Je l’oublie et elle se poursuit. Sans que je mens mails constamment de la transformation, de l’irriter. À présent cette scène se poursuit en l’absence de toute irritation.

Nous contractons l’esprit des murs qui nous entourent. »

vues les fautes j’ai dû recopier cela ? dans le train? Sais plus.

ENCORE THOMAS B

Ou bien, dit le prince je marche sur le mur extérieur là où nous marchons à présent et je ramasse une feuille de marronnier, les feuilles de marronniers me rappellent ma mère ,comme je vois la feuille je la vois elle le parfum de la feuille me rappelle Mesure pour Mesure

Mesure pour mesure me rappelle une vieille paire de chaussures que j’ai porté étant enfant etc.

Perturbations p211 ?

AUCUN SOUVENIR DE CE QUI SUIT

« Pas rat lis the qu’est-ce que Sexa « Pourquoi ça parle comme ça / je dicte et ça n’écrit pas comme je le souhaite. 

J’ai rêvé du bâtiment de la morgue il y avait le pont et au milieu du pont à droite une rue SFX . Qui a écrit SFX!!!! ???

Ce qui est quand même étrange car cela voudrait dire que l’endroit où j’allais était le fleuve. J’allais bel et bien dans l’eau. Je suis donc entrée dans une sorte de quartier et j’ai aperçu une boutique qui vendait des oiseaux.Il y en avait un légèrement plus grand que les autres , une sorte de perroquet très beau et absolument pas criard. Il y avait une petite fenêtre au fond de la boutique des oiseaux. Il n’y avait pas de cages et les oiseaux se tenaient tranquilles surveillés par deux vendeurs. Bizarrement c’étaient des tout petits hommes à tête d’oiseau avec une sorte de blouse grise. Ils étaient deux. Et plus petits que l’espèce de perroquet pas criard. Par la fenêtre j’ai aperçu deux petites filles jumelles coiffées un peu comme dans les années 30 et qui m’ont fait immédiatement penser à Qu’est-il arrivé à baby Jane. Leur mère était très grande et on ne la voyait qu’en partie. Sur mon écran d’iPhone j’entendais la voix d’un homme qui voulait me parler et moi je ne voulais pas lui répondre.

C’était un inconnu et il paraissait très vieux avec des vêtements recouverts de plâtre comme dans les grottes italiennes. Il était un peu pétrifié et cela me faisait peur. Quand je suis repassée devant la boutique des oiseaux  peu de temps après, elle était entièrement vide. Tout avait disparu. Je suis allée dans d’autres endroits mais je ne m’en souviens plus. Roger était injoignable au téléphone. Puis je l’ai appelé, mais je sais que je n’ai pas fait son numéro de téléphone mais un autre où il y avait 16 . Je n’arrive pas à faire le numéro.. Effacer effacer / je n’arrivais pas à me souvenir de son vrai numéro que je connais toujours par cœur 06 03 79 99 32. Finalement je l’ai eu au téléphone et il m’a dit qu’il était Au Bon Marché. Ca m’a semblé ordinaire. Je le croyais en Belgique. 

J’ai traversé le pont et je suis arrivé place Monge. C’est-à-dire que je suis arrivée à l’opposé de l’endroit où j’avais prévu d’aller.

ATELIER

Chaque jour c’était un peu un supplice . ( L’utilisation du passé est bizarre/ c’est le Dictaphone qui se trompe ) Parce que je suis complètement paralysée sans aucune idée et avec un écœurement certain de la peinture. Ce n’est pas nouveau. C’est déjà arrivé mais cette fois-ci j’ai vraiment l’impression que quelque chose s’installe et que je ne peux pas m’en sortir. Peindre comment le faire et pourquoi le faire? Je n’ai de satisfaction finalement que face a des œuvres minimales comme celles de Kelly ou celles de Barnett Newman ou encore Robert rat imagine. Rat imagine c’est le mot de passe pour Ryman . Rails man, voilà comment ce Dictaphone parle du monochrome . Je suis allée voir l’exposition Mac à Mac ,merde ,le « Blue Right heures » à l’Orangerie et ça m’a ennuyée. Blaue Reiter/ Cavalier Bleu.

Ensuite Musée Marmottan les Orientalistes avec des très beaux dessins de 1,01 g gramme, mot de passe pour Ingres!!!  La peinture se transforme en grammes en poids!!!! INGRES imbécile. 

Résultat des experts pour le jury de la Villa Médicis. 

Me faire un café. 

Ne pas rester assise toute la journée. 

Tenter de trouver du plaisir à peindre. 

Et un peu de curiosité. Ai lu , j’ai lu je voulais dire dire, Le papier peint jaune d’un auteur américain une femme que je ne connaissais pas. C’est un tout petit livre très beau. Contrariété après le coup de téléphone de M. Contrariété parce que la succession n’en finit pas. Allez je fais ce café ! Enfin.

BLOG

C’est pas mal finalement d’écrire comme ça et je corrigerai ensuite. C’est drôle les hésitations de cette machine. Ça frôle l’absurdité. Je n’ai   pas écrit le blog depuis quelques temps. Et je ne prends pas de notes. Peut-être cette solution est idéale. Je dois envoyer (Espace)( ??? )des pages du livre Perturbation pour que l’acteur autiste puisse faire des essais. Mais il ne sait pas lire. Je n’ai pas terminé la lecture de ce livre extraordinaire en tout point. J’étais fâchée contre cette artiste polonaise qui déclare que les romans ne servent à rien. C’est absolument stupide et prétentieux et bête surtout d’affirmer avec autorité de telles sottises. Dire que l’on préfère les essais aux romans, je le comprends parfaitement. Mais… 

Hier je suis allée chez BB. L’immeuble qui a remplacé le Cirque Médrano est abominable tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Il y a une fresque en mosaïque hideuse qui évoque le cirque ,le sol est en marbre et il y a du placage bois marron qui rend tout cela aussi sinistre qu’ un lieu de pompes funèbres où on présenterait des modèles. L’appartement est petit, saturé et surchauffé. Il y a des tasses dorées, de la porcelaine de Limoges, des lourds objets en cristal, c’est affreux. C’est étouffant. Un tableau avec des vaches, des images pieuses dont une qui garantit la protection en voiture: une vierge est représentée avec une Fiat 500 légèrement floue car elle roule. 

Des roses des sables, une soucoupe avec des bagues en toc à l’intérieur. BB dit qu’il attend des meubles qui viendraient du château. Il y a une photo de ses parents en noir et blanc sur un meuble chinois qu’il veut mettre à la poubelle. Des lustres en cristal. Il y a une sorte de jardin qui pourrait être agréable mais on ne peut y aller. Un type traverse la baie vitrée en poussant une tondeuse. C’est insolite. Ça me fait penser au défilé de Tom B dont j’ai vu le clip assez drôle avec les nains de jardin et le mannequin qui pousse une tondeuse avec un petit chapeau gris. 

J’ai encore recouvert les peintures. Avec des taches. Parfois j’ai l’impression que ça se débloque et pas du tout ! Alors je m’endors je soupire. Je viens de regarder des images d’un peintre horrible et vaniteux. OM. Ca ne me fait pas vraiment rire et en même temps si. Tant de satisfaction et tant d’aptitude à la réalisation de croûtes, c’est quelque chose. Ridicule. Émission intéressante sur France Culture à propos de Lewis Carroll.

PLUS TARD 17h38

J’écoute une émission qui me distrait et qui est intéressante. Ce sont les hommes qui imitent le brame du cerf. C’est assez impressionnant de constater qu’un corps peut générer une aussi grande puissance sonore. Je ne sais pas si les cordes vocales sont vraiment très contentes. Il est 17 heures presque 40 je reste encore une heure ici. Une heure de résistance. Une heure assise sans doute. Une heure à fixer les peintures en attendant qu’elle se construisent elles-mêmes, mais un miracle est impossible. C’est vraiment extrêmement pénible ce blocage. Je couvre et je recouvre. Je projette… rien finalement parce que je n’ai aucune idée de représentation. Que je ne vais pas répéter ce que j’ai fait. Rien ne me satisfait c’est moche.

“Pas de capuche ni de chaussettes à l’intérieur du temple.”

Me voici , me voici.

A rebours:

Hier tennis moins nul et contente de commencer les cours particuliers demain matin.

Café aux artistes, épinards, puis partir au Palais des Congrès pour voir le spectacle de Chantal. Incroyable. Tous vus depuis la création en 1980 !!!! ???. Ça m’a fait bizarre, je dois dire que ça m’a émue de me retrouver dans ce Palais atroce, dans cette salle archi pleine , et de revoir des gens croisés avec R. la dernière fois. J’ai eu, il faut bien le confesser au début du spectacle, la larme à l’oeil au souvenir de ces moments passés en studio. Moments où l’on a tant ri. A propos de rire j’ai bien gloussé lorsque Chantal arrivant des coulisses avec un objet bizarre (entre la lourde ceinture d’un roi avec des pierres précieuses, et le harnais de cheval), s’écrie:

—Mais qu’est ce que c’est que ça??? On dirait la ceinture de Line Renaud.

Dans ce contexte rose avec des animaux, des chouettes, cigognes et autres souris, l’effet pavé dans la mare était désopilant. Elle est franchement incroyable et le spectacle a beaucoup de tenue: Toiles peintes et imagerie traditionnelle parfaite, costumes et masques soignés. On peut parler d’un goût proche du goût Anglais en devinant les sources. Ça c’est l’oeil de Jean-jacques dont on peut dire qu’il a ” bon goût “. A propos de “bon goût“, je suis toujours sous l’emprise de “Corrections” et de ce qui s’y dit: Le cône, la soeur, la mansarde, la forêt, les papiers, le suicide, Cambridge, les architectes, le point rouge, les frères, Altensam, le goût, les oiseaux, le torrent, le bruit du torrent…. J’adore ce livre. Je viens, en même temps d’en commencer un autre. On ne peut pas dire que cela soit d’un grand optimisme, est-ce déprimant à notre insu?? Je ne sais pas si cela ne nous  gangrène pas un peu, si cette lecture ne ressemble pas à une petite blessure qui s’infecte. Est ce que soudain la peau noircit ou verdit-à peine / non j’ai cru que , mais non, Est ce que le mal s’étend et faut-il croire que la vie n’est que cette pourriture qui nous envahit imperceptiblement  jusqu’à la mort. Il dit que nous ne sommes qu’attente de mort, ce qui est vrai.

Cette idée est franchement désagréable.

France-culture replay Wittgenstein/ Correspondance:

“Le journal de Kafka n’est nourri que dans les moments où il n’arrive pas à écrire” FC émission Wittgenstein
Celui qui écrit un journal est celui qui n’arrive pas à être à la hauteur de lui même.

Bon. Vendredi quoi? Le soit théâtre pour voir A. Encore une fois , je n’étais pas retournée dans cette salle. Bref. l’après-midi, Lycée au Bourget. Le truc est un atelier décor de théâtre en lien avec ce que je viens de faire à Bobigny.

J’accepte ça ( deux heures le Vendredi en me disant que peut-être ça ouvrirait les esprits.)Je passe par la salle es profs qui est en fait à 13h  la salle micro-onde à l’odeur désagréable des différentes substances réchauffées. Puis, je me demande ce que je fabrique en racontant et en parlant du théâtre. J’admire les profs!!! Quel boulot. Emmener des élèves au théâtre, faire le gendarme, expliquer, râler, être patient, donner envie. Bon. Le Bourget est plus près que je ne l’imaginais, 4 stations depuis Gare du NORD. Quand je sors de la gare, j’ai l’impression d’être un touriste. Café Istambul, en haut de la façade une sorte de mascaron que personne ne regarde ou ne voit qui avait choisi ça au siècle passé?, puis un bout de conversation ” alors là il lui a mis le calibre dans la bouche ” et je poursuis mon chemin en me disant que / pas de surprises / la banlieue est quand même un peu telle qu’on la raconte. Vieilles bagnoles, rap à fond, “gens de couleur”, Liedl, café sans aucune femmes, auto-école et pompes funèbres, temple Sikh, immeuble bourgeois et prétentieux avec ferronnerie et surveillance, maison en construction qui semble abandonnée et bâtiments à tourelles. Tour rose… Puis le Lycée tout neuf avec sa première cour-sas sécurisée avant d’entrée. Je trouve que c’est immense et on me dit que c’est un petit lycée. Misère. Pas le droit d’avoir de capuche sur la tête à l’intérieur. En seconde, avec ceux que j’ai-18 personnes , il y a un garçon de 12 ans. Ou il est brillant ou le niveau est férocement nul en France !!!!

BON. Préparons nous. Direction Bobigny MC 93 pour rencontre avec votre ministre de la Culture.

Jeudi c’était la première du spectacle et on a passé un bon moment avec tout le monde et surtout Benoit et Isabelle.

Mercredi répétitions, je traficote la tour et donne RV à 14 h à quelques étudiants. Le soir, générale. Je ris beaucoup avec Catalyse.

Mardi , beaux arts et ” performance” pour le moins explosive. Puis bibliothèque pour présenter la suite.Verre avec V au Fumoir , puis G qui a gagné au loto nous invite . C’est sympa. Neige au retour.

Lundi Argenteuil puis Orsay/ Le talisman. Des Bonnard très bizarres et presque monstrueux.

 

Retour à Argenteuil…

La maison de Wittgenstein

Pas besoin d’Ostermeier pour montrer cette journée. Il y a eu une mauvaise critique de son Retour à Reims dans Libé. Je ne sais plus trop ce qui est dit mais de toutes façons je suis pour toutes les critiques négatives de ce truc. Tiens je saisis ça pendant que j’y pense. C’est le site des bibliothèques des Musées comme celle du centre Vivant Denon.

J’avais envoyé un SMS à CG en lui disant:

Je suis dans le train pour A.J’espère qu’i l n’arrivera jamais. 

C’est vrai. J’avais envie que ce transport ne cesse pas, et me permette de lire jusqu’au bout Corrections. Corrections est un livre fou, que je n’ai pas terminé encore mais qui vous envoûte littéralement. Thomas Bernhard est purement génial. C’est quand même une autre pointure que H. ( je ne mets que l’initiale car il a eu tellement de presse, que je n’ai ni envie de lire, ni de parler du livre même si je ne l’ai pas lu!!? ). C’est Asphixie plutôt que Corrections, ou Extinction ou je n’en sais rien.Le livre des mondanités. Le livre qu’il faut avoir lu. Basta. C’est chiant . On ne peut pas sortir sans en entendre parler. Moi je ne suis pas bornée mais il n’y a quand même pas que Houellebecq. Si? Bon. C’est pas… non plus??? Si. Bref je retourne à Wittgenstein et Thomas Bernhard et son écriture proprement ahurissante. Ces répétitions progressions par cercles et cercle et cercle qui soudain s’agrandit un peu et on glisse un peu ailleurs, on sort de l’enfer de cette répétition ( ça me fait penser à la musique de qui. Zut je n’y connais rien. Heu je vais trouver. Ce sont des cercles aussi et vous en êtes prisonnier. Zemlinsky.) pour entrer dans une autre. Je ne sais pas on dirait des anneaux de chenille. Non? La mansarde Holler. Cambridge. Altesam. Le cône. Le torrent. Le bruit du torrent la deuxième maison Holler. Et le cône, les plans du cône, cette construction démente au coeur d’une forêt. La mort de la soeur à qui est destiné le cône. Roithamer qui descend vers la maison Holler, l’autre qui monte vers Altesam. Chacun cherchant ou respirer et se croisant parfois par hasard au niveau d’une clairière où Roithamer se suicide.

Je ris en écoutant l’histoire de Bichofberger qui invite Basquiat à Saint Moritz pour se reposer et quand l’autre arrive il se trouve face à des châssis et de la peinture. C’est quand même dégueulasse. Je ne sais pas, pas bien suivi, s’il a peint sur le canapé chic. J’espère qu’il a tout salopé.

On est allés au cinéma. On a vu une histoire de famille. Hier on a bu un verre Aux oiseaux. Depuis l e temps je n’y étais jamais allée. J’aime bien, c’est un bar démodé d’Anvers. Et il y a beaucoup de portugais qui boivent une bière à 2,50 euros.e patron est Portugais et il donne des cacahuètes  avec leur enveloppe.

Une femme refaite, un homme? Non une femme est entrée avec des lunettes noires et je la regardais parler avec une femme noire plus petite avec son turban sur la tête. Les Portugais de ce soir là, ont les cheveux drus et implantés bas. C’est très peu cher. Puis on est rentrés et on a mangé des bons trucs préparés par R.

J’ai donc retrouvé A. et rangé l’atelier. Sorti les sacs poubelle, allumé le chauffage. Me suis assise. J’ai regardé… Rien. Lu un peu… Déplacé des trucs, mis des plastiques propres au sol et ça m’a fait plaisir ce semblant de propre. Il y a beaucoup de choses à expédier à SB. Dans le premier atelier on ne peut plus rien faire à cause du rail de la MR et des trucs revenus d’expo. Puis je suis rentrée à Paris à vélo. J’aime bien faire ces 12 km de traversée de banlieue moche, qui arrivent dans la rue de Levis qui est très commerçante.( j préfère passer par là plutôt que par l’avenue de Clichy ) Il y a là une épicerie italienne qui vend des tout petits babas au Rhum ou au Limoncello. Miam.

Trouvé Georges Salles dans l’exposition au Centre Vivant Denon

Tout oeil est hanté, le nôtre aussi bien que celui des peuplades primitives. Il façonne à chaque instant le monde au schéma du cosmos.

J’ai recommencé aussi à dessiner à la maison. Mais je me demande à quoi cela sert. Suis un peu démotivée à vrai dire. Je vois beaucoup de choses qui me semblent être plus des événementiels que des événements. Ce n’est pas facile de faire comme si ça n’existait pas. De continuer tranquillement. Car tranquillement rien ne peut se faire. Mais c’est pénible. Et terrible de geindre comme je le fais.

Les oiseaux se baignent avec beaucoup de plaisir dirait -on.

Au fait le cours de tennis de Samedi c’était bien car on n’était que 2. Voilà. Je n’aime pas du tout les cours collectifs. Ça m’ennuie. En plus comme j’ai beaucoup régressé, ça me décourage. Je me crispe et c’est pire.

Toujours ce mal de dos persistant sauf quand je bouge.

 

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