Karamel beauty

C’est un plaisir de raconter des ennuis passés ( proverbe Yiddish )

Il y avait un neon dans la nuit de Clichy qui disait Karamel Beauty, un salon de bronzage! Je croyais que ça n’existait plus ce genre de truc, tout comme ont disparu ces mini boutiques qui vous assuraient les dents blanches. Pfff plein , puis Pffff plus rien. On a ri . Nous rentrions du spectacle May B de Maguy Marin, au Théâtre de Genevilliers . 40 ans que je voulais voir ça. Et enfin c’était sous mes yeux. Pas tellement vieilli. 15 mn de trop à mon sens. Mais ce qui ne marche plus selon moi c’est le son. On a la sensation, et c’est une réalité de passer de la plage 1 à la plage 2 etc d’un CD qui n’existe plus. La musique des Gilles de Binche m’a toujours enthousiasmée. Mais.. Donc c’est de la musique sur un spectacle et pas un travail sonore qui pourrait se repenser me semble t’il. Bon. Suis toujours un peu perdue dans le temps. Est ce Dimanche soir dernier que l’on est allés à Belleville manger au Vietnamien , mon ancienne cantine qui a triplé en surface. Avant on a bu un verre à la Vielleuse et vérifié que le miroir brisé était toujours là. C’était amusant de changer de quartier et de regarder les gens: un homme qui ouvrait son portefeuille et embrassait le petit portrait photographié d’une femme. il est venu nous en parler comme si on était de vieilles connaissances, puis un couple est entré assez Hot pourrait on dire et l’activité qu’ils allaient exercer dans l’heure à venir était assez évidente. Tout cela a eu lieu il y a15 jours. Zut alors. Déjà. Mes chaussures se sont démultipliées dans le miroir du bar et cela a fait de moi la réincarnation du grand nu descendant l’escalier. A ce propos ma dernière peinture s’appelle Grand nu remontant l’escalier. A voir certaine peinture j’ai effectivement l’impression qu’on ” rembobine ” et qu’on revient au 19 eme siècle sans pour autant être Bonnard ou un Nabi, ou Manet ou Courbet ! . J’ai fait une photo qui est le néon rouge du bar Le Zorba rue du faubourg du temple. Les néons les plus drôles en matière artistique sont ceux que j’ai vus hier à Metz. 9 carrés qui définissent des figures géométriques disant à un moment donné CON et NON et je ne sais plus. Morellet bien sûr dans l’exposition Lacan. Le Lundi 19 Mars à 9h 16 -Où étais-je-je n’ai pas le souvenir d’avoir enregistré cette peinture de Richter ( sans doute dans un catalogue de vente ) On voit ce qui me semble être deux policiers qui portent un cercueil et sur le côté gauche il y a le profil d’un homme . Il porte un chapeau et parle ou plutôt dit des chiffres écrits dans une bulle. 1962. Sargträger qui signifie à la fois cercueil et croque-mort. En cherchant le tableau j’écoute une archive de 2011 je crois, sais plus, concernant une de ses expositions. L’image qui suit est violette et c’est la couverture du livre de Sepulveda: Le vieux qui lisait des romans d’amour. C’est d’une lecture plaisante. A nouveau un plateau s’est cassé à la troisième cuisson . Zut. J’ai aussi photographié des bestioles très bizarres ,des sortes de grenouilles et crapauds noirs dégoutants. Les Grumpy- faces amphibians . Ensuite une citation d’Annie Lebrun envoyée je crois par CG:

“Méprisant depuis toujours les maitres qui ont des moeurs d’esclaves comme les esclaves impatients de se glisser dans la peau des maitres, j’avoue que les affrontements habituels entre les hommes et les femmes ne m’ont guère préoccupée. Ma sympathie va plutôt à ceux qui désertent les rôles que la société avait préparés pour eux ” .

Passage rapide à la Bourse du commerce pour le vernissage ( je revois avec plaisir l’impressionnante installation de Sun Yuan et Peng Yu 2007 Old People’s home ) .On déambule au milieu de vieux dignitaires, généraux, popes, plus vieux que vieux dans leur fauteuil électrique. Il y a une peinture de Kippenberger que j’aime bien et toujours Fischli et Weiss, entr’autres.( General Idea,.. ) On file au Jeu de Paume pour ” le diner des amis”. J’y vais à reculons mais la table est sympa et on ri beaucoup. ( le dessert en chocolat est une sorte de grosse boule qui renferme une glace je crois. C’est moche. J’attrappe au vol mon cadeau= Chanel N°5 et Hop dans le métro? C’est fait !

Photo de l’atelier puis une monnaie d’Alexandre biscornu ( Alexandre le grand en Syriaque ), d’où sort il celui là. D’une boite de documents dans mon atelier? C’est possible … , un costume traditionnel Bulgare avec des cloches et des miroirs. Ma peinture ” l’Historien d’art, en cours “, une pub pour un pull à manches longues bleu marine qui me plait, une critique du Berenice de Castellucci, ma tasse à café à côté des Echos à la BNP où j’avais RV, catalogue Lacan, l’adresse de la galerie Goodman, ah oui j’ai vu l’exposition Annette Messager, bon, ça ne me passionne pas.C’est beau, l’exposition est belle mais quoi. Puis le sous sol avec l’ampoule et l’oiseau empaillé. Vu Dezeuze chez Templon ( j’avais écrit Tampon ) , là à mon sens c’est carrément la cata. Soleil. Il fait super beau et chaud, on se traine avec CR jusqu’à l’Orangerie pour voir Ryman que j’aime beaucoup. Mais l’exposition est moche, il y a trop de tableaux ou plutôt pas assez d’espace… Et c’est chapitré avec des grandes lettres ( en plus ) et du texte ( en plus). Alors que je me penche pour voir la matière de près, ça sonne alors hop je me remets bien droite et tente à nouveau une approche: Re-sonnerie. C qui me regarde rit et je continue ce micro ballet à la Keaton jusqu’au moment où un jeune gardien vient me gronder. Je regarde les gens. Certains nous font rire. La fin de l’expo avec 3 cathédrales de Monet c’est un peu lourd. Mais c’est vraiment de la peinture qui me donne envie de peindre. Drawing now, brocante dessin dirait on; c’est moche, il y trop de monde, on embrasse VS qui montre de beaux dessins sur son stand et on file. On dine à la maison et C dort là car elle enregistre le lendemain sa critique Ryman, justement. Dans la cuisine on en parle avec R. presque toute la soirée . Reçu le Professeur et la sirène de Lampedusa ( j’aime bien les dessins, les plans plutôt à l’intérieur ). On m’envoie une photo de P et A du Repenti qui posent toutes les deux en présentant le Art Press avec moi en couverture !

Atelier et expo Helion. Dans la file je parlotte avec BM qui me saoule en ne parlassant que de lui. Je rencontre avec plaisir la fraichement veuve de Francis Limerat qui fut mon professeur à Amiens quand j’avais 18 ans et que j’aimais beaucoup. Hélion c’est assez difficile à mes yeux mais ça m’intéresse. Il y a de belles saloperies aussi vers la fin. ( et parfois au milieu et parfois au début !!!! ) Toujours trop je trouve. Les expositions sont usantes. J. vient le 22 Mars que je crois être le jour 1 du printemps et peint. C’est une ancienne étudiante et elle y reviendra le WE. J’enregistre des photos des vases Sainte Radegonde de Asch que j’aime beaucoup ( je regrette de ne pas avoir acheté celui trouvé à Saint Bonnet le Chateau à la brocante. Il était ébréché et il ne coutait rien. Je ne savais pas que ça pouvait se restaurer. Salon du dessin dimanche dernier. Contrairement à Drawing now, c’est très bien et lisible. Stands un peu petits mais tous identiques. C’est pas mal; Felix Valloton, Enrico Albricci, Helion, Michaux,Francesco Revesla et son portrait phallique, des magnifiques dessins de petits maitres , et des miniatures indiennes. Céramique Lundi avant de courir à Argenteuil pour le RV avec ORC. qui m’offre un livre de Robert Menasse auteur autrichien que je ne connais pas. Article à propos de Jim Shaw ( The electronic Monster and 13 ghosts ), Claude Gillot, photographie dans la rue l’affiche Wild God de Nick Cave et les Bad seeds… Photos d’un film de série B dont j’ignore le nom. Il y a des figurines qui sans doutes vont être transpercées d’aiguilles … En buvant un verre au Bar de la Cantine, on se dit en même temps que ce truc bizarre ( une sorte de four d’environ 50 cm de large et qui diffuse une lumière blanche et glaciale pourrait être une scénographie, de Castelucci par exemple ( Avais vu ce genre de truc chez Nordet me semble t’il ) . Oui glacial, neon, vide. en fait c’est un frigo à RedBull, objet inutile par excellence et en l’occurence vide comme un jour de relâche. Mais c’est beau je trouve et mystérieux même si un peu Morgue atmosphère. Je filme . Gravures de chez Hogier( John Bulwer’s Chirologie ou le langage naturel de la main 1644… )….Visite de l’atelier 2. Travail toute la semaine. Pluie et triste. Hier Samedi journée à Pompidou Metz Lacan et Masson. Demain Rothko. Aujourd’hui rien fait. Vu Le maitre des Ténèbres de Carpenter et lu un peu de l’énorme Horcynus Orca ( Plus plus tard)Bon, allez me bouger un peu et accueillir MM qui vient avec la bouffe !

TRIER DES NOTES/ surprises vocales

Université Américaine/ photo trouvée dans une revue/ sais plus

Ne me souviens pas d’avoir noté cela:

« Je n’ai rien rien rien cela ne me fait pas mal cela me tourmente seulement.

Tout, je pense, n’est qu’une géométrie des dissensions, des doutes, des souffrances, du tourment enfin dit le prince.

Je me tiens à la fenêtre et je me vois dans la cour, sur le mur intérieur. Je m’observe je me comprends tandis que je m’observe je ne me comprends pas.

  page 202.

« Je suis âgé de quatre ans je suis âgé de 40 ans je joue avec moi-même je joue je sens( le? ) monde je pense. On m’appelle. 

Cela se passe un soir d’été. Ma grand-mère m’appelle, mon grand-père, ma mère, mon père. Ils m’appellent. Posté à ma fenêtre je les vois les uns après les autres, mon grand-père, ma grand-mère, mon père, ma mère, ma femme. Les saisons se suivent, tandis que je me tiens à la fenêtre, indéfiniment. Tout ce ma pelle ( tous m’appellent ? )

Pendant une heure entière je me tiens à la fenêtre et j’observe cette scène qui se déroule très loin, très loin à l’arrière plan, et que je transforme selon mon goût et à sa guise. Si je lance un appel dans cette direction, la scène s’efface, dit le prince. Je ferme la fenêtre et me détourne de la scène en question, elle se poursuit. Je l’oublie et elle se poursuit. Sans que je mens mails constamment de la transformation, de l’irriter. À présent cette scène se poursuit en l’absence de toute irritation.

Nous contractons l’esprit des murs qui nous entourent. »

vues les fautes j’ai dû recopier cela ? dans le train? Sais plus.

ENCORE THOMAS B

Ou bien, dit le prince je marche sur le mur extérieur là où nous marchons à présent et je ramasse une feuille de marronnier, les feuilles de marronniers me rappellent ma mère ,comme je vois la feuille je la vois elle le parfum de la feuille me rappelle Mesure pour Mesure

Mesure pour mesure me rappelle une vieille paire de chaussures que j’ai porté étant enfant etc.

Perturbations p211 ?

AUCUN SOUVENIR DE CE QUI SUIT

« Pas rat lis the qu’est-ce que Sexa « Pourquoi ça parle comme ça / je dicte et ça n’écrit pas comme je le souhaite. 

J’ai rêvé du bâtiment de la morgue il y avait le pont et au milieu du pont à droite une rue SFX . Qui a écrit SFX!!!! ???

Ce qui est quand même étrange car cela voudrait dire que l’endroit où j’allais était le fleuve. J’allais bel et bien dans l’eau. Je suis donc entrée dans une sorte de quartier et j’ai aperçu une boutique qui vendait des oiseaux.Il y en avait un légèrement plus grand que les autres , une sorte de perroquet très beau et absolument pas criard. Il y avait une petite fenêtre au fond de la boutique des oiseaux. Il n’y avait pas de cages et les oiseaux se tenaient tranquilles surveillés par deux vendeurs. Bizarrement c’étaient des tout petits hommes à tête d’oiseau avec une sorte de blouse grise. Ils étaient deux. Et plus petits que l’espèce de perroquet pas criard. Par la fenêtre j’ai aperçu deux petites filles jumelles coiffées un peu comme dans les années 30 et qui m’ont fait immédiatement penser à Qu’est-il arrivé à baby Jane. Leur mère était très grande et on ne la voyait qu’en partie. Sur mon écran d’iPhone j’entendais la voix d’un homme qui voulait me parler et moi je ne voulais pas lui répondre.

C’était un inconnu et il paraissait très vieux avec des vêtements recouverts de plâtre comme dans les grottes italiennes. Il était un peu pétrifié et cela me faisait peur. Quand je suis repassée devant la boutique des oiseaux  peu de temps après, elle était entièrement vide. Tout avait disparu. Je suis allée dans d’autres endroits mais je ne m’en souviens plus. Roger était injoignable au téléphone. Puis je l’ai appelé, mais je sais que je n’ai pas fait son numéro de téléphone mais un autre où il y avait 16 . Je n’arrive pas à faire le numéro.. Effacer effacer / je n’arrivais pas à me souvenir de son vrai numéro que je connais toujours par cœur 06 03 79 99 32. Finalement je l’ai eu au téléphone et il m’a dit qu’il était Au Bon Marché. Ca m’a semblé ordinaire. Je le croyais en Belgique. 

J’ai traversé le pont et je suis arrivé place Monge. C’est-à-dire que je suis arrivée à l’opposé de l’endroit où j’avais prévu d’aller.

ATELIER

Chaque jour c’était un peu un supplice . ( L’utilisation du passé est bizarre/ c’est le Dictaphone qui se trompe ) Parce que je suis complètement paralysée sans aucune idée et avec un écœurement certain de la peinture. Ce n’est pas nouveau. C’est déjà arrivé mais cette fois-ci j’ai vraiment l’impression que quelque chose s’installe et que je ne peux pas m’en sortir. Peindre comment le faire et pourquoi le faire? Je n’ai de satisfaction finalement que face a des œuvres minimales comme celles de Kelly ou celles de Barnett Newman ou encore Robert rat imagine. Rat imagine c’est le mot de passe pour Ryman . Rails man, voilà comment ce Dictaphone parle du monochrome . Je suis allée voir l’exposition Mac à Mac ,merde ,le « Blue Right heures » à l’Orangerie et ça m’a ennuyée. Blaue Reiter/ Cavalier Bleu.

Ensuite Musée Marmottan les Orientalistes avec des très beaux dessins de 1,01 g gramme, mot de passe pour Ingres!!!  La peinture se transforme en grammes en poids!!!! INGRES imbécile. 

Résultat des experts pour le jury de la Villa Médicis. 

Me faire un café. 

Ne pas rester assise toute la journée. 

Tenter de trouver du plaisir à peindre. 

Et un peu de curiosité. Ai lu , j’ai lu je voulais dire dire, Le papier peint jaune d’un auteur américain une femme que je ne connaissais pas. C’est un tout petit livre très beau. Contrariété après le coup de téléphone de M. Contrariété parce que la succession n’en finit pas. Allez je fais ce café ! Enfin.

BLOG

C’est pas mal finalement d’écrire comme ça et je corrigerai ensuite. C’est drôle les hésitations de cette machine. Ça frôle l’absurdité. Je n’ai   pas écrit le blog depuis quelques temps. Et je ne prends pas de notes. Peut-être cette solution est idéale. Je dois envoyer (Espace)( ??? )des pages du livre Perturbation pour que l’acteur autiste puisse faire des essais. Mais il ne sait pas lire. Je n’ai pas terminé la lecture de ce livre extraordinaire en tout point. J’étais fâchée contre cette artiste polonaise qui déclare que les romans ne servent à rien. C’est absolument stupide et prétentieux et bête surtout d’affirmer avec autorité de telles sottises. Dire que l’on préfère les essais aux romans, je le comprends parfaitement. Mais… 

Hier je suis allée chez BB. L’immeuble qui a remplacé le Cirque Médrano est abominable tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Il y a une fresque en mosaïque hideuse qui évoque le cirque ,le sol est en marbre et il y a du placage bois marron qui rend tout cela aussi sinistre qu’ un lieu de pompes funèbres où on présenterait des modèles. L’appartement est petit, saturé et surchauffé. Il y a des tasses dorées, de la porcelaine de Limoges, des lourds objets en cristal, c’est affreux. C’est étouffant. Un tableau avec des vaches, des images pieuses dont une qui garantit la protection en voiture: une vierge est représentée avec une Fiat 500 légèrement floue car elle roule. 

Des roses des sables, une soucoupe avec des bagues en toc à l’intérieur. BB dit qu’il attend des meubles qui viendraient du château. Il y a une photo de ses parents en noir et blanc sur un meuble chinois qu’il veut mettre à la poubelle. Des lustres en cristal. Il y a une sorte de jardin qui pourrait être agréable mais on ne peut y aller. Un type traverse la baie vitrée en poussant une tondeuse. C’est insolite. Ça me fait penser au défilé de Tom B dont j’ai vu le clip assez drôle avec les nains de jardin et le mannequin qui pousse une tondeuse avec un petit chapeau gris. 

J’ai encore recouvert les peintures. Avec des taches. Parfois j’ai l’impression que ça se débloque et pas du tout ! Alors je m’endors je soupire. Je viens de regarder des images d’un peintre horrible et vaniteux. OM. Ca ne me fait pas vraiment rire et en même temps si. Tant de satisfaction et tant d’aptitude à la réalisation de croûtes, c’est quelque chose. Ridicule. Émission intéressante sur France Culture à propos de Lewis Carroll.

PLUS TARD 17h38

J’écoute une émission qui me distrait et qui est intéressante. Ce sont les hommes qui imitent le brame du cerf. C’est assez impressionnant de constater qu’un corps peut générer une aussi grande puissance sonore. Je ne sais pas si les cordes vocales sont vraiment très contentes. Il est 17 heures presque 40 je reste encore une heure ici. Une heure de résistance. Une heure assise sans doute. Une heure à fixer les peintures en attendant qu’elle se construisent elles-mêmes, mais un miracle est impossible. C’est vraiment extrêmement pénible ce blocage. Je couvre et je recouvre. Je projette… rien finalement parce que je n’ai aucune idée de représentation. Que je ne vais pas répéter ce que j’ai fait. Rien ne me satisfait c’est moche.

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