MAGIQUE

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Evelyn Waugh, whose manuscripts and 3,500-volume library are now at the Harry Ransom Center, University of Texas at Austin, was an inveterate collector of things Victorian (and well ahead of most of his contemporaries in this regard). Undoubtedly the single most curious object in the entire library is a large oblong folio decoupage book, often referred to as the “Victorian Blood Book.”

Its decoupage was assembled from several hundred engravings, many taken from books of etchings by William Blake, as well as other illustrations from early nineteenth-century books. The principal motifs are natural (birds, animals, and especially snakes) and Christian (images of the crucifixion, scenes from the Bible, and crusaders). Drops of red india ink and extensive religious commentary have been added to many of the images. The craftsmanship is exquisite, and after more than 150 years, the adhesion of the decoupages is still perfect. The book bears an inscription by one John Bingley Garland to his daughter Amy and dated September 1, 1854: “A legacy left in his lifetime for her future examination by her affectionate father.” Shortly afterwards, she married the Reverend Richard Pyper, so the album was probably an early wedding present. A 2008 Maggs Brothers catalog includes a group of eccentric decoupages taken from one or more albums, described as being in the style of the Pre-Raphaelite artist Edward Burne-Jones. The style and content of these works, which feature groups of angels and blue or gold doves, are aptly described as “weird” and “rather elegant but very scary.” They are unmistakably from the same hand as the Waugh book.

The existence of other such items suggests some kind of mass production, yet internal evidence indicates otherwise. John Bingley Garland was a prosperous Victorian businessman who moved to Newfoundland, went on to become speaker of its first Parliament, and returned to Stone Cottage in Dorset to end his days. A document still in the Garland family bears the same sanguinary ornamentation along with his signature. J. B. Garland’s will mentions in passing “all the mythological paintings in the Library purchased by me in Italy”—perhaps a small clue to his artistic interests? Most importantly, the inscriptions in the dedication and the text are in the same hand. In recent years scholarship has focused on the significance of Victorian scrapbooking, which was almost exclusively the province of women. Scrapbooking was largely a means of organizing newspaper clippings and other information; the esthetic aspect was entirely secondary. In the lack of any information to the contrary, this apparently conventional paterfamilias must be regarded as the principal, if not the only, begetter of the decoupage, and if it was his alone, he must have spent hundreds of hours at the task.

How does one “read” such an enigmatic object?

We understandably find elements of the grotesque and surreal. But our eyes view it differently from Victorian ones. As Garland’s descendants have written, “our family doesn’t refer to…’the Blood Book;’ we refer to it as “Amy’s Gift” and in no way see it as anything other than a precious reminder of the love of family and Our Lord.”

The first plate contains a short table of contents and the title “Durenstein!” (Dürenstein, the Austrian castle in which Richard the Lionhearted was held captive). The title and the theme of many of the plates relates to the spiritual battles encountered by Christians along the path of life and the “blood” to Christian sacrifice. According to the Garland family, “it is full of symbols of both Human and Non-Human ‘Crusaders and Protectors’ of God and Christianity and most of the Verses, Quotes, etc are encouraging one to turn to God as our Saviour.”

Je me fais des potes

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Sur la quai à 16h il n’y a jamais grand monde. Là un black , et un petit qui roule des mécaniques, allume une clope, taquine le grand, lui dit “qu’il suce des bites “, crache et recrache et me regarde et tourne autour de mon vélo. Il me fascine parce que je me dis qu’à 12 ou 13 ans, il est déjà cuit. C’est tracé. Il a du shit dans la main, il l’égraine.Ca le passionne déjà le shit: “J’vais tirer 3 barres de ton joint et jle tej, c’est dla caille ton shit…” Je ne sais pas ce qu’est “d”la caille” Bon. Et un molard de plus , et il tourne et il vire. Il y a de la mousse blanche de salive ici et là sur le quai. On peut le suivre à la trace. Je lui fais un grand sourire et ça l’étonne on dirait. Du coup il s’approche et me propose une taf. Puis il reste un peu, chante son rap-il a l’air défoncé- il lève la jambe comme à la boxe Thaï à côté d’un pépére qui ne sourcille même pas.

C’est certain qu’on est pas rue du Bac

Puis il partent en tête avec leurs bonnets, leur survêt . Le grand calme et lent. Le petit qui frétille et saute.

Finalement c’est moi qui me prend une prune de 50 euros. Pas de ticket comme d’habitude.

Je ris.

RV

MAIL DE A./HERZOG ECRIVAIN

“Chère Hélène,

Au vol (je fais cours demain matin sur Fischli & Weiss)

OUE!!!!

Herzog a écrit deux livres magnifiques (vraiment), à l’opposé l’un de l’autre.
Conquête de l’inutile 
(capricci), journal de tournage de Fitzcarraldo, en 1981, est aussi dense et foisonnant que Le Chemin des glaces (Petite bibliothèque Payot), écrit en 1974, 
est limpide.
J’aime également les deux, ai lu d’abord Le Chemin des glaces… mais tout dépend de ton humeur et de ton envie.

Enfin le Manuel de survie paru aussi chez capprici, qui réunit plusieurs entretiens de Herzog, n’est pas inintéressant – très loin pourtant de ce que sont les deux autres livres qu’il a “vraiment” écrits.
Amitié vive,”

A

UN CURE DENTS POUR LE CHEVAL

Weegee-Hats-in-a-pool-room-by-We-0151

C’est ce que j’ai entendu cette nuit et qui m’a bien fait rire. Je dresse l’oreille mais seule cette phrase était intelligible. mais où est -on lorsqu’on dort? ! Je ne suis certes pas la première à me poser la question. la nuit c’est un peu angoissant je dois dire d’avoir à côté de soi quelqu’un qui semble vraiment” de l’autre côté”

Viens de lire un article sur des jeunes garçons qui tentent de revenir de Syrie. terrible.

J’en ai marre d’entendre ces mots 100 fois par jour: Daesh, EI, mécréant, mauvais musulman, combattants, califat, Abou machin  etc… Mécréant est le plus stupide.

EN COURS

P. n’a pas joué depuis 7 ans, mais vu ce que j’ai vu, je vais sérieusement souffrir car je n’ai jamais vu arriver sur moi des balles à cette vitesse.

Bon. J’avais l’excuse de cette grosse gerçure au doigt . Excuse assez mince je l’avoue.

Hier soir on a bien ri avec J. quand elle décrivait le room-service.

Moi je n’ose pas aller à Arg de peur de voir ce que j’ai peint l’autre jour !!!Cet aprem, visite de la sans doute nouvelle galerie. Et sans doute une saut à la bibliothèque après avoir déjeuné avec Anne.

Le livre de Lacan est très drôle ( 3 conférences je crois ) même si tout cela m’échappe un peu je le confesse. Tant d’abstraction me déstabilise, et j’ai l’impression de ne pas avoir de repères en lisant. Dans le Coeur de verre de Herzog qui se termine sur des images dignes de Caspar D Friedrich, les personnages sont ils sous hypnose ( on le dirait ) mais est ce une légende. Parfois ( vers le milieu c’est un peu ennuyeux mais peu importe. J’adore. C’est toujours assez extrême et excessif. a. M’a suggéré un livre , il faut que je retrouve et le commande. Je cherche. A suivre

Waves…Last wall

C’est assez impressionnant de voir les séances d’hypnose de Erickson. que je découvre.

Ca me fait penser à Spellbound cette histoire de neige.

C’est envoutant je dois dire. Ca dure 30 mn. pas toujours facile à comprendre.

Tout est relié en fait car l’hypnose ou une certaine hypnose soutend aussi le livre de DH, Atlas, ou le Gai savoir inquiet qui est un livre passionnant. Entre Goethe et Aby Warburg, Walter Benjamin

Different people in a room. Austria.War.

SA voix est extrêmement douce et lente. L’image très mauvaise mais assez belle je trouve.

C’est filmé derrière un miroir sans tain.

Skiing is very nice

You can’t ski on lakes

Shadows are changing and I see a girl

Snow on the top

Its a strange experience

I can dream that et you are a small child Thats right. What is your name. Who am I.

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Que ferez vous en 1952?

Skiing is very nice

You can’t ski on lakes

Shadows are changing and I see a girl

Snow on the top

Its a strange experience

I can dream that et you are a small child Thats right. What is your name. Who am I.

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Wide awake

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Je regarde pas mal de films abimés, dans doutes des vieilles VHS qui s’effacent.

j’essaie de brancher le video pro sur mon ordi ici pour vérifier ce qui ne va pas. Rien. Auparavant même avec mon vieux mac, ça fonctionnait. Là il ne détecte pas le moniteur externe et quand il le fait il y a “pas de signal” Est-ce le câble. J’en sais rien. Fait tomber mon appareil photo qui n’a pas aimé.

Hier peinture 8 heures de suite à me débattre. Epouvantable. l’autoportrait de Goya est une sorte de point de départ dont il ne vaut mieux pas voir l’arrivée.

Flemme de bouger.

 

 

DIMANCHE

 

Capture d’écran 2015-02-09 à 07.39.43Herzog

La ballade de Bruno-Stroszek- film dans lequel on retrouve une scène toute proche de celle dans “les nains…”: Le camion qui tourne seul, le cercle, la machine qui s’emballe, la poule qui danse, l’autre qui joue du piano.

Tennis pas mal. Pas mal du tout sauf que j’ai cru me faire un étirement de l’autre côté…. Décidemment.

On devait aller à la Master class de Malkovitch puis on est restés ici.

Kaspar Hauser

Bruno Schleinstein est le fils illégitime d’une prostituée qui le bat à tel point qu’il devient temporairement sourd à l’âge de trois ans. cela le conduit à passer son enfance dans divers établissements psychiatriques. Il y passera 23 ans. Autodidacte, en plus de la peinture, il apprend à jouer de divers instruments de musique, y compris le piano et l’accordéon. Musicien de rue, il travaille également en usine.

Werner Herzog le découvre grace au documentaire de 1970, Bruno der Schwarze, es blies ein Jäger wohl in sein Horn de Lutz Eisholz et s’engage à lui procurer un rôle dans un de ses films. Malgré son inexpérience, Herzog lui confie en 1974 le rôle principal dans son film L’Énigme de Kaspar Hauser qui raconte l’histoire authentique d’un jeune homme amnésique et sauvage découvert au début du xixe siècle en Allemagne. Trois ans plus tard, en 1977, Bruno S. jouera dans un autre film de Werner Herzog, La Ballade de Bruno.

Après la mort de Bruno, Werner Herzog a déclaré « ‘In all my films, and with all the great actors with whom I have worked, he was the best. There is no one who comes close to him. I mean in his humanity, and the depth of his performance, there is no one like him. ». (« ‘Dans tous mes films, et avec tous les grands acteurs avec qui j’ai travaillé, il était le meilleur. Il n’y a personne qui vient avant lui. Je veux dire dans son humanité et la profondeur de sa performance, il n’y a personne comme lui. »).

CROUTES et NOIR

Magritte-Seekrankheit-1948

Magritte / Le mal de mer

C’est vraiment atroce mais… Je n’en reviens pas qu’on ose en pleine conscience, faire cela. C’est balaise de s’écarter de son savoir, de sa “manière” et d’oser regarder l’horreur en face. C’est l’absolu contraire de lui: Le geste, le baclage, la peinture qui salit et éclabousse, le mouvement que l’on sent nerveux. C’est vraiment ” du prenez ça” ou du ” Je vous emmerde ” pour sa première exposition à Paris. Periode Vache c’est moche comme mot aussi.

Gasiorowski et les croutes, Magritte et la période Vache. Il y a forcément si l’on veut avancer cette question de l’irregardable; Pas au sens de l’histoire comme les petites photos des Sondercommando que décrit Didi Hub dans son livre ( pas lu)

Rideaux de scène? Oui? Non?Quelles scènes. Figures? Je me sens assez tentée par des représentations académiques et en même temps j’éprouve une flemme énorme à l’exercice du modèle et de sa représentation. Mais pourquoi pas essayer ce qui va donner des trucs passablement ringards ou réactionnaires ( c’est toujours la première idée qui vient: Le retour à l’ordre. Le problème étant que dans “les arts” l’ordre règne déja, que je ne vois aucun désordre finalement à part quelques petites poussées de fièvre ici où là qui ne dépassent pas vraiment le 38°) et qui sont immédiatement avalées par des dollars qui bâillonnent ( comme le jambon. Heu heu pardon..)

Je pense souvent à Stingel. Et à son élégance en quelque sorte.

Moralité je ne peux plus fonctionner sur “mes réserves. Il en faut d’autres. De plus risquées qui vont me déplaire encore davantage.

Il est (certain) que l’on se sent tout de suite mieux ici

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Ad ReinhardtCapture d’écran 2015-02-07 à 10.17.49

Il est bien ce site

Films de la conférence J2P

 

Capture d’écran 2015-02-06 à 12.58.19Liste des films pour Visions Excessives/ Helene Delprat

 

 

Lacan Louvain 1972

Sa voix:

—”Je n’ai nullement l’intention de faire une conférence”

1948 Macbeth Welles

Lacan Louvain 1972

Don QUICHOTTE

Welles Francisco Reiguera 1955-1973

Pasolini Salo

Magritte Periode vache

Chapman/ Goya

Chano Urueta El espejo de la bruja  Bach Films1962 Mexique

Les époux Arnolfini, détail avec le miroir concave, Jan van Eyck, (Londres, National Gallery).

Chano Urueta El espejo de la bruja  Bach Films1962 Mexique

Bunuel Dali Chien Andalou 1929

Hideshi Hino. Guinea pig 1985 Flowers of Flesh and Blood

GericautNANNIBAL

RIDLEY SCOTT 2001 Anthony Hopkins

Cannibal Holocaust Ruggero Deodato 1980

Herschell Gordon Lewis.  The Wizard of Gore 1970

giovanii di paolo 15eme

SPELLBOUND

La Maison du docteur Edwardes1945

Artaud En finir avec le jugement de dieu 1947

Le moine de Lewis 1930

Ce cliché fait partie d’une série de « tableaux vivants » réalisés par Artaud au Studio Forest de Montmartre,

grand guignol de la rue Chaptal

Messerchmidt 1736-1783

Boris Karloff / Jekyll et Hyde

Peter Lorre

M le maudit/ Fritz LAng

les MAins d’Orlac   Karl Freund  1935

Painter Mc CArthy

Frank Tashlin 1955 ARTISTES ET MODELES JERRY LEWIS ET DEAN MARTIN

freres Chapman Hitler

CHAPLIN DICTATEUR 1940

Guillaume-Benjamin Duchenne déclenchant une expression de frayeur par la stimulation électrique.

TOD BROWNING  1932 FREAKS OU LA MONSTRUEUSE PARADE

HERZOG MEILLEURS ENNEMIS

HERZOG LES NAINS AUSSI ONT COMMENCE PETITS 1970

MONTEIRO 1995 Comédie de Dieu

Claude Cahun What do you want from me

Tondues en 1944

David Nebreda

Sigalit Landau

Gina Pane

Gisants Autriche

JD POLLET (1973) l’Ordre

Mascaron 17 eme

Fellini au travail SATYRICON 1969 Ciao Federico Gedeon Bachman

Fellini Casanova 1976

Costume Ziegfield follies

Defilé Craig Green 2014

Picasso PARADE

Ed Wood 1953 Glen or Glenda

Liberace Las Vegas  1981

Sacre de Bokassa 1er 1977

PROTAZANOV 1924 AELITA REINA DE MARTE

Robert Wiene 1920.  Le cabinet du docteur Caligari

KEATON 1920 ONE WEEK

Les Blume

Oskar Schlemmer dans des bâtons

1912 Nijinski L’Après midi d’un faune

VADIM 1968 BARBARELLA

Pierre Cardin

Melies

Paul Bullock  Carmen Miranda: Beneath the Tutti Frutti Hat

MANCKIEVICZ 1967 GUEPIER POUR 3 ABEILLES

Tous en scène Minelli 1953

Dancing Masters 1943 LAUREL ET HARDY

“Heidi, Midlife Crisis Trauma Center »

“Negative Media-Engram Abreaction Release Zone,” 1992  Mc Carthy

Pasolini Salo ou les 120 journées 1976

HAIR SPRAY 2007 Adam Shankman

John Waters 1974 female trouble

Rien

DH m’a fait peur en m’annonçant que le J2P c’était demain. Nullement envie de travailler ce soir. Demain je me lève très tôt et j’achève la bête. Bête à plusieurs têtes, non Vitruvienne!Bête vulgaire parfois, gore aussi et sanguinolente, et en apothéose Pasolini bien sûr.

Bon aujourd’hui OK Bozar. Que c’est drôle “le modèle”, l’académie, le nu!!! Ce qui est amusant c’est que ça semble plaire aux étudiants.

Heu… Donc pas mal travaillé à ce truc. Re-regardé hier  Fitzcarraldo. 

C’est extraordinaire.

Joué Dimanche et gagné. Raide de partout et RV chez O.

Fini la peinture immense.

Temps passe . Merde.

Dimanche soir. U et C et D qui dort ici car il travaille au théâtre des Abbesses. Ce soir campement dans ma pièce car un collègue à lui dort aussi.

Je n’ai vraiment rien à dire.(:

 

Grand échiquier

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broderie

Hier je suis rentrée tard d’ARG, ayant enfin ( je crois ) terminé cette peinture de 8M X 3, 50M

On verra quand j’y retourne. bref. SMS avec Jean, M et V.

Clafoutis très bon. J’ai mal sur le côté: déchirure intercostale que je me suis faite en jouant horriblement mal il y a quelque jours ( le jour où il faisait si froid). Claquage en m’étirant pour me chauffer. Paf comme dans le mollet mais c’est plus douloureux quand on tousse par exemple. Après ces considérations médicales de femme vieillissant et grimaçant dès qu’elle fait un mouvement… En parlant de ça, hier en rentrant je trouve dans la rue et selon la tradition un type qui pisse entre deux voitures. je gueule bien sur en passant sur mon vélo mais le type ne veut pas en rester là. Donc, menton appuyé sur ma main, modèle penseur de Rodin à vélo, je l’attends.

—Va chercher ton keum qu’on s’explique

—Pardon? Vous savez, je pense que je peux traiter l’affaire moi-même. Je ne vais pas déranger tout le monde pour un enfant qui fait pipi. Vous avez?……… 12 ans?

Le garçon, qui est mignon d’ailleurs, métisse Viet et très en colère me dit furieux:

—j’ai 15 ans, j’ai pas 12 ans et j’ai un scoot. Toi tu a 30 ans tu es vieille et tu as un vélo!!!

Je trouve cela délicieux. Il est vraiment très sympathique.

A son copain je dis

—Il ne tient pas l’alcool ce joli bébé.

L’autre est fou de rage.

Dans l’ascenseur je souris encore.

Donc grand échiquier que j’avais oublié. C’était la messe à la maison Jacques Chancel. Mon père détestait ça et montait se coucher en râlant parce que nous, avec ma mère, on voulait TOUT voir. Je consomme peu la télé mais hier, je me suis dit que c’était possible le mélange des genres que Chancel avait introduit et qu’on pouvait aussi faire une télé sans Chevaliers du fiel et autres marrades déprimantes, vulgaires, glauques dans leur franchouillardise limite. Je l’ai déjà dit, mais se marrer partout et tout le temps c’est pénible. Les comiques me saoulent. Le niveau c’est blague et blague, de celles qu’on ne supporte pas.

Escapel / phil glass

J’ai fait le programme du deuxième semestre. Je suis contente.C’est réglé.

Je rattraperai Mardi après midi, Mercredi en morpho chez Valérie et dans les collections.

Je lis Didi Huberman, Atlas… J’avais commencé. Puis mis de côté. l’histoire des foies divinatoires m’interesse énormément tout ( rien à voir ) comme celle des silènes dont parle N. ordine

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foie e Piacenza

Et j’ai acheté Bergougnoux que je n’ai jamais lu. ce sont des entretiens: Exister par deux fois.

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détail 

Je recule le moment de préparation de Visions excessives. Ah oui dans la série que sont ils devenus, je me demandais en faisant une pause: Et James Brown… James Brown le peintre beau et élégant des années 80 .Je suis donc tombée sur une interview d’il y a deux ans. Oh lala. Terrible de prétention. Oups… Atroce. Il avait dejà à mon sens trop collaboré avec l’élégance et les mondanités…

on voit le résultat. Ne pas râter le début.

Je pense qu’il en a été de même pour J.C Blais. Adulé, exposé partout  et disparu des radars. Un étudiant ne sait pas qui est J.B pas plus que JCB.

Pour un étudiant, 1980 c’est la préhistoire. Ils ont raison.

Donc n’oublions pas cette phrase de Celine:

La postérité? C’est la polka des asticots…

Salut Will

FRANCE : Opera de Paris "Un jour ou deux"

Tout le monde est concentré. Merce C. Will et Jean à gauche. Jean a toujours cette expression quand il réfléchit. Quelle beauté…

Will, voilà c’est fini pour toi. Que dire.

Rien.

Tu laisses Jean en plan sur votre île

Nous aussi. Avec tes éclats de rire, des coups de gueule, tes grands dessins pour expliquer les mouvements, ton cocktail Martini Vodka, je crois imbuvable épouvantable qui nous a tant fait rire un Dimanche. Et cette soirée à Châlons après le spectacle ( nous on nous avait mis dans une petite salle car on arrivait plus tard avec les chorégraphes des 7 dernières paroles  -on devait être 12 )

L’équipe de l’exposition organisée par Yvon Lambert était à côte et ne riait pas des masses. On s’est installés et on a hurlé et ri comme des bossus. Les histoires de Jean et Will sur les danseurs et l’opéra étaient désopilantes.

Je garde ça et le déjeuner en Juin à Poissy, où tu n’avais pas l’air si mal. Je t’avais même trouvée en forme.

Et la Belle-notre première rencontre- dans la Belle et la Bête de Andy à Fontevraud… Et les costumes pour les danses de Laurent de Médicis et nos chamailleries souvent pour ci ou ça. Tu ne me croyais jamais. ( Quand je t’ai dit que j’adorais tes dessins tu disais —arrête de te moquer.

J’ai dû plaider pour te dire à quel point je les trouvais merveilleux.

Ca avait même bardé à Aix.

W—” Mais on doit voir la taille du danseur”

Moi —”Non, un danseur n’est pas un prince “.

Et quand je vous ai rendu visite au studio lors des inondations, tu te souviens Jean tu m’avais raccompagnée en barque ! En barque!!!.

Mais comme on a ri encore une fois. Et à l’ecole du cirque et … Et….

Bref. Mardi on viendra t’accompagner aux côtés de Jean

Wilfride Piollet

les gants invisibles parfois

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C’est vraiment bizarre que l’image ou le titre concernant cette image d’une édition de gants par  la maison heu?? n’apparaisse pas. c’est toujours le problème avec Cocteau…

Et pourquoi c’est écrit si petit et  mon titre: Les gants invisibles parfois  eh bien fait comme le titre l’indique…. disparait . Puisque ces événements nous blablabla…………….instigateurs!

 

 

le carnet d’un anonyme

Mardi:
– matin: jean, boots Dior, tee-shirt blanc, pull laine (doudoune + veste)
– soir: costume bleu, chemise blanche mousquetaire, boutons de manchette Paul Follot, cravate marron Charvet, épingle cravate (?), cho7 marrons Charvet, chaussures marrons Berluti montre chrono suisse papy

Mercredi :
– costume bleu, chemise blanche simple, boutons de manchette Paul Brandt, cho7 bleues, Charvet, cravate Club Dior, chaussures marrons
Gabardine bleue, écharpe Benghali, montre Oméga marron

Tenue de sport, ordi, livre etc…

Il fait encore nuit.

Marx Weinold,

Le café m’attend dans la cuisine. Un corbeau crie dans la rue. Hier c’étaient des mouettes que l’on entendait.

On a ri cette nuit. R parle en dormant:Il doit aider quelqu’un à passer  la douane avec des  noisettes!!

Puis d’un escargot à qui il parle???

Note= Coupe de corporation, objet de corporation

Marx Weinold,

Marx Weinold,2

J’appelle Jean ou je ne l’appelle pas. … Grrr

OUF

Le disque FOURMI contenant ” tout Nicole ” faisait un tout petit clic. J’ai froncé l’oeil…. Zut. Puis il a patiné… J’ai éteint, rallumé et il ne montait plus. Grr… J’ai changé d’ordi et l’ai branché sur le vieux mac réparé…. Sauvegarde presque terminée. Ouf!!! Même si j’ai fini le film, il y a pas mal de choses que je n’ai pas utilisé.

Ceci étant dit pour la récupération de données, c’est fou ce que les prix sont fluctuants. le mieux que j’ai trouvé c’est chez SOS master, qui m’a très bien réparé l’ordi avec des pièces de rechanges d’occasion, carte mère et carte graphique.

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