Flipper le dauphin…

C’est moi.

Même pas envie d’écrire.

Tout est prêt.

croisons les doigts pour que l’infiltration marche.

Humeur sombre. Peur. Repenser à Avant…

Le pire comme disait G.de M c’est de projeter, d’inventer le futur …

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Frans Zwartjes

http://www.ubuweb.com/film/zwartjes.html

The incomparable Frans Zwartjes is a filmmaker, musician, violin-maker, painter and sculptor. In the late-60s he was one of the first Dutch visual artists to take up film, initially to document his performances and soon after as an independent medium perfectly suited to his way of creating visual art. His mind-bending works caused a furor, with psychological black-and-white imagery of heavily made-up and over-dressed actors from his circle of friends. Focused on sexually-loaded power games, hysteria, psychosis and cruelty, his films are largely edited ‘in-camera’. “My own motor system determined the film style”, Zwartjes stated in an interview. Zwartjes’s oeuvre includes over forty films and his style has left a strong stamp on at least two generations of experimental filmmakers in Holland. You’ve never seen anything quite like this. – Film Anthology Archiv
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Tension

répétition ce matin. Jamais simple et R. souffre avec sa jambe. j’essaie de ne pas m’inquiéter mais. Le mec qui devait faire le costume m’annonce que ce ne sera pas prêt. Je file à Charenton, attrppe un sandwich au passage, repars avec le tissu, trouve Bas et Hauts avec qui j’ai déjà travaillé il y a longtemps… Tout cela n’est pas grave. Mais cette douleur est entêtante.

Je sors d’un verre avec C. Nouveau Costes à Pigalle. Assez sinistre je dois dire. Bar de n’importe quel hôtel n’importe où. Anonyme vaguement chic et pas grand monde. Bar avec lumière assez aveuglante et blanche, musique. Des frites passent. Elles ont l’air bonnes. Je superpose à cet endroit, l’ancien PMU, enfumé où les types du bonto se précipitaient après avoir plumé une victime.

Du monde dans la rue ce soir. Du vent.

Je suis inquiète. Le fait de ne pas travailler pour moi ces jours ci n’est pas ce qui me préoccupe.

Bon. Je vais manger un truc; C. n’a pas tellement le moral.

France Culture vient d’appeler pour ” Guerre et paix”. Moi j’ai écouté un peu le procès de Pétain qu’interprète Roger. c’est balaise quand même.

Bon pas le temps n’y l’envie de m’étendre sur aucune question.

V. m’a fait rie. Il dit qu’il m’a croisée “vieille” . Moi à 80 ans. Incroyable disait il. Hum…

Allez…

Doublure Lumière

Cette nuit j’étais à Moscou .

Je visitais je ne sais quoi de la taille du Vatican et j’achetais des médailles.

C’est ce que j’ai fait ( en plus ). Je veux dire la mise du décor.

Et en rentrant j’ai R. qui continue à en parler.

Plein les bottes mais raisonnablement.

Bien aidée par Guillaume et Camille + l’intermittent et évidemment Christian qui travaille comme une bête. je ne sais pas comment il tient.

Croisé J.V qui venait jouer en face.

Transmis par les machinos du Grand Hebertot ( merci Eric et Yannick et;zut… qui m’ont aidée ) … transmis mon bonjour à Edith Scob.

Gaelle de M. qui travaille aussi comme une bête.

Décor de la pièce d’Ibsen ( Solness …) magnifique ( je ne l’ai vu-le décor- que des coulisses. Jean Haas . Tout blanc.

Ils en chient niveau température là-dessous; Jacques dit : “On est a 39 degrés mais ça va”.

R. râle pour tout . Puis il y a cette sciatique qui ne s’arrange pas.

Je gueule parce qu’il n’a rien préparé; j’ai faim.

Il gueule je gueule!!! et tout va pour le mieux, cher Pangloss!!!!

Parce que demain récré, tennis. miam.

Oui, et rien ne m’arrêtera même pas Joe Dassin….

Pas encore pu voir Christophe car j’arrive. R. au téléphone avec Arnaud. N’ai pas défait ma valise depuis une semaine.

Ma vie de Machino

Je rentre à l’instant . Aider à équiper. Mais je n’ai pas la force nécessaire pour soulever les projecteurs.

Pa pu boire un verre avec C. pour fêter la bonne nouvelle par rapport à son film; Demain filage technique.

Soit. Un coca et au lit Leslie

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Note juin 2010

Palimpseste.SELON BRUNO LATOUR

Le débat Bergson/Einstein
Bruno Latour, Olafur Eliasson, Elie During, Jimena Canales
21 juin, 18h30, grande salle
Le 6 avril 1922, Henri Bergson et Albert Einstein se rencontrent à la Société française de philosophie de Paris pour discuter du sens de la relativité.

SOSIE/vieux post

En regardant une image sur le site ??? , me vient à l’esprit ma surprise à Innsbruck dans une exposition de photographies.

Je regardais un peu passive les tirages en Noir et Blanc de je ne sais plus quel photographe quand je fus attirée par ce cliché sue lequel on voyait une montagne. mais sur celle ci en m’approchant, j’y reconnus ma propre personne en alpiniste; Incroyable c’était moi. Accrochée à la paroi avec des lunettes de glacier me semble t–il

Fin

il y a des post non publiés par faute de connexion
Aujourd’hui, dernier jour.
Encore corrections du texte de R.
Aspirateur et rangement de la maison pour garder les meilleurs moments de la fin.
Chausson aux pommes. Achats de saucissons pour offrir et d’autres trucs demain sur le marché.
Passer chez Jane, passer chez Janot hum, pas trop le temps.
Envie de rester et de continuer à dessiner dans cet endroit Génial que me prête D.
L’atelier idéal c’est celui qui est intégralement vide.
Vais manger ma cuisse de poulet pic-nic
Continuer un peu à dessiner. Puis ranger et , supplice, rouler le papier. Brrr

Demain départ pour Chalon sur Saône. Peindre le décor; C. devait me rejoindre mais elle est réquisitionnée pour les répétitions
Comme chaque année au moment de partir j’ai envie de musées, et de musées Italiens. Venise. Miam.
Rurik. si tu lis ça, je n’ai plus ton mail ici.Je voulais répondre à ta photo..

Me que tout le monde se recoiffe je serai à Paris Mardi au plus tard ( j’espère avoir fini dare dare )

reprise

Reveil à 7h
Dessine deux marches pour le décor et dois acheter des timbres. Ridicule ce petit fascicule où il faut chercher les timbres, qui ne ressemblent pas à des timbres pendant deux heures;
Travaille toute la journée. Grignote une cuisse de lapin qui restait et un morceau de fromage au soleil. lis quelques pages de Jules Verne et Libé.
L’article sur les mineurs coincés à 700 mètres. Vont ils tenir le coup…
Dessine. Pas de radio rien. téléphone de l’imprimeur: Les épreuves sont parties à Paris et il faut donc les rapatrier
J’entends le tracteur de Bouli.
Hier c’était étrange? Délicieux de voir Blue Gardenia.
Temps magnifique et encore plus. Tentée sérieusement par la chaise longue que me propose le diable fourchu toutes les secondes.
Les ombres de la maison sur le pré .
A. est vraiment un type délicieux et si facile à vivre. On a passé de bons moments lui avec Roger à répéter, moi ici et là, puis lui avec moi pour le tennis et le VTT.On a beaucoup ri aussi. Il s’est goinfré des meilleurs chaussons aux pommes du monde. c’est moi qui l’ai initié et il est tombé acccro en une seule fois…

Dans la maison vide, dans la chambre vide…

Je dois dire que ça fait quand même bizarre de se retrouver dans la salle de classe, seule avec comme seul bruit, le moteur du frigo qui ressemble au vent dans la montagne.
Bizarre après Taiwan, bizarre après le Repenti, Emilio, les Feles, les bals, Hélène et Franck ,les nouveaux nés, ceux qui commencent à marcher. Avec O. et S qui promène Sarah dans un chariot très drôle, avec les pistes des Maures magnifiques, Porquerolles au loin, le velo pourri aux vitesses déréglées,moi qui hurle en grimpant, les sangliers, les pizzas d’Alain, la mer, la monopalme, le tennis, la lecture de Lucien, le début de lecture des Mémoires de Casanova, le café allongé sur la place, Cathy la boulangère et ses petits pains aux raisins délicieux, les quelques jours avec U. et sa confiture de fraises, le passage de M.M et des ses enfants,le nouveau boucher,la femme de l’ancien qui est revenue, la fenêtre de la décapotable de D. qui ne ferme plus, les atermoiements amoureux de D.P.
Avec l’absence de Maria T et de C. et Y.
Tout , tout mélangé avec les beignets de fleur de courgette: Ceux que je fais sans enlever le pistil et qui sont tout gonflés, ceux que fait P. tout plats et délicieux, ceux que nous offre G. la femme de J. accompagnés dans l’assiette de merveilleux beignets d’aubergine…
Les nouveaux noms des nouveaux chats et qui nous font rire avec E, les ados de la piscine municipale, “les beaux gosses”, les mêmes toujours les mêmes.
La disparition de Sacha Briquet, de Bruno Kremer, la femme qui a tué ses huit enfants, le dentiste de Gonfaron qui s’est fait ligoter, le président qui recommande à son gouvernement de ne pas se faire remarquer en partant sur la lune… La guêpe qui m’a piquée sur le nez, l’autre sur le bras, la sciatique de R., le dos douloureux de B. qui m’offre trois énormes truffes, Draguignan. La vie comme ça. Et ..; pas travaillé.
Ici, C.M et E. S. L’altitude. le temps pas mal. Le bon vin. Le marché. La fraîcheur. Mon installation comme l’an dernier chez D. L’arrivée d’ A le 14 en direct de Long Island. Mais ils montent tous -pour voir- au ball-trap nocturne. Le 15 Août, le froid, la soupe aux choux et avant C. qui vend toutes les enveloppes gagnantes. Jane qui cette année ne monte pas, ce qui rend moins précieuse cette journée. Le bal, le pied brisé et le quadrille qu’on danse lamentablement avec la Marcelle et sont ami. 170 ans au moins à eux deux. Il tourbillonne avec son pull Jacquard et son sourire Stéradent, il m’épuise. J’ai mal aux mollets. Ceux que nous observions l’an dernier sont là. JP a le bras abîmé, G. genou à opérer
Puis le départ de M. et E, le départ de tout le monde,. Nous restons à 3. R. et A répéte. moi je fais la maquette du livre, me bats avec l’internet de brousse, avec les PC. Ils répétent. Le temps est sublime. Je relis W. Storitz et commence Hector Servadac. je n’ai commencé que deux grands dessins. On est loin du rythme de l’an dernier…
Tennis. A joue bien . Vélo. Quadriceps…
promenades sur les plateaux, coq noir et vielle en fin de journée
Départ de R. hier.
Lapîn grillé et soupe de courgettes devant ” Les vendeurs de bibles” de Maysles.
Pluie zut. Grey Gardens
Nous montons avec A les vélos aux Supeyres. c’est magnifique..Le brouillard, le vent, le pic-nic… le pain et le Saint-nectaire
Saint Etienne, acheter des DVD pour ma vie d’ermite jusqu’au 3, l’enterrement de Marcantoni à Toulon à la radio…
Là R. me parle de lui, de Delon de Markovitz ( ortho?), de ce que  Marcantoni lui a dit….
Hop
Demain, travail??? Oui parfaitement

Pas relu

Retard

Post non publiés plus tard
Lecture de Lucien. C’est délicieux surtout les histoires vraies.
Tennis un peu
Demain vélo/je redoute
Casanova
Ventilateur
Pas allée à la bergerie
Décide de ne rien faire jusqu’au moment de l’école la semaine prochaine ( déjà) Trop rapide cette année avec Taiwan qui a mangé la moitié de Juillet.

OHOH

Pas une minute.Nous sommes encadrés avec chauffeur et accompagnateur permanent. Vite je descends de la chambre j’ai 5 mn de retard… Enroute pour Taishung

A86

Ce matin je suis quand même allée au tennis sous un pluie plus que battante et par le métro. Pas fameux. Puis MT m’a prêté sa petite voiture-chic-pour un passage éclair à A. Vérifier ici ou là, vider les poubelles, fermer les rideaux. Chaleur terrible.

C’est sur l’A86 que j’ai entendu annoncer la mort de L.T.

Vraiment. cela m’a peinée. Je pleurais toute seule derrière les essuie-glaces.

Je me disais qu’en ces temps de peu d’élégance, peu de dignité, peu de scrupules, une personnalité comme celle-ci était indispensable ( pour tenir l’étagère en quelque sorte)

J’ai écrit un petit mot à C.T. Je me souvenais de son attitude voûtée et de ses deux mains bandées le jour des Molière. Son élégance .

Je me suis aussi souvenue du Bistrot rue de la Gaité après le spectacle et des choses drôles racontées.

Bagages . Courir ici et là. Je déteste partir.

A l’instant SMS de Guillaume:

Terzieff est mort. Aie Aie Aie, ça fait mal…


Le tour de Paris

1 chercher une valise. Bof c’est moche

2 Marché Saint -Pierre. Une vendeuse à l’air d’une de ces petites figures lilliputiennes et démodées qui servent de présentoir aux étoffes. Elles sont si petites . Elle est âgée et minuscule? Très nerveuse aussi. La Ménagerie du Marché Saint Pierre ( j’en ai déjà parlé) est intéressante. Du trop nerveux au trop lent, de l’agressif au dormeur qui s’appuie sur son mètre, du “liftier” difforme et disparu, monstre de fable pas encore écrite, où bien sûr les motifs s’échapperaient des tissus pour dévorer les tissus en poil synthétique, de l’homosexuel caricatural et qui ne cache rien, au viril teint en aile de corbeau mais homo sous les plumes.

Virevoltant avec leurs mètres par dessus les tissus, conversation passionnante avec accent de folle ( sans homophobie ) . On dirait une imitation de mauvais goût.

—Oh la la..; Quelle déception hier chez Flinche!!!

Moi intra muros: Chez Flinche, c’est quoi ce truc chez Flinche? Ah… Flunch…

—Oui il fallait chercher le gruyère avec une loupe

—Et le jambon aussi

—Et le jambon aussi…

—Enfin, je me suis rattrapé, j’ai mangé plein de légumes

—Oh , oui , tu vois ça a équilibré…

—Oui mais moi je dis qu’elles arrivent toute faites ces salades

—hum … Ca m’étonnerait pas.

J’ai pris 10 m de tissu noir bon à taillader un jour ou l’autre. Rien de passionnant pour le costume de R. J’irai cet aprem chez De Gilles .Du sérieux.

Je regarde des types qui portent sous le soleil des longues plaques métalliques pour les faux plafonds je suppose.

Je savoure de ma balader dans Paris. Il fait chaud. Ca me rappelle après le Bac. On est content. Ouf, c’est fini quel que soit le résultat.

Chasse au Vert Wagon. Aller chez Sennelier c’est la honte. Je plaisante mais c’est un peu le Flore de la peinture. Pas de chance. Le Vert Wagon n’est plus ce qu’il était. Celui de chez Starcolor ( n’en restait que deux kilos). Le vendeur est d’accord. Il est maintenant plus jaune…

Je décide de passer devant Agnès B. Mêmee en soldes , tout cela me semble peu intéressant et trop cher.

File dépenser mon fric aux Belles lettres. Les fables d’Esope bilingue, Lucien ( 3 volumes : Portrais philosophique, Comédies humains et Voyages extraordinaires que j’ai perdu, un truc sur les monstres dans l’antiquité, ( Monstres et Merveilles )un Tertullien traduit pazs Klossowski : Du sommeil , des songes de la Mort.

Recu le Kepler: L’étrenne ou la neige sexangulaire.

—Facture, quel nom?

Le type a une tête de vendeur de livres aux Belles Lettres. Ca tombe bien. Il fume parfois sur le pas de la porte adossé là.

—Delprat

Il remplit Helene Delprat et je le regarde.

—Tu vas bien?

—……… Oui mais je ne vois pas??

—A.R, la peinture que j’ai de toi..

— Mon premier acheteur!!! Ca alors en 77 sans doute..

Il a toujours le tableau.

—A.? Revu il y a 5 ans. Mal. Défiguré. des bosses, des trucs. Sans doute les médicaments..;

—Oui il était dingue. Carrément dingue. Bizarre et cutivé avec ses costumes en tweed gris-vert genre fils a papa

—Bon. Et bien au revoir. Tu écris toujours?

—Tout le monde écrit… Non non. Je n’écris pas..

— Ah bon…Au revoir


Un short à 10 euros chez H et M. Pas grand intérêt non plus et sans forme mais ça va.

RV pour donner la clé USB à la jeune fille Taïwanaise. J’attends devant la Poste rue Hallé. Et comme elle est en retard je m’installe au Petit Hallé ( ?)

Le club sandwich poulet est très bon avec une énorme salade pas en paquet ( Flinche!!!)

A cöté ce que je suppose être une mère et son fils:

_ alors mardi on était à Nîmes et P. est venu me chercher. Mercredi… mercredi j’ai visité l’église… Et là il faut que je te dise quelque chose….

Elle chuchote

— Tu me jures, tu me jures que tu ne dis rien…

Moi évidemment je tends l’oreille.

— surtout pas un mot à ton père…

Moi je me tourne discrétos pour voir à qui appartient la voix. Je me dis/ elle a fait une petite expérience fille-fille et elle se confie à son grand;

Lui qui a entendu:

—Jte crois pas, ça m’déchire total…
—tu dis rien…

— Non mais quand même / et même si j’y connais rien, les colliers en bois , tout ça….

Je suis songeuse en faisant semblant de lire Lucien.

— Initiée. Mais je ne sais pas encore si je choisis une loge mixte ou non. Au début je serai Apprenti. Tu sers, tu obéis, tu apprends….

Ah dac me dis-je.

Et je ris intérieurement en me souvenant de J. et de nos conversations quant à la Maçonnerie.


+ et + sauf qu’elle dit ceci en montrant sur son iphone….

— Là son carrelage est tellement beau qu’on croirait un tapis ( ah ha Piazza Armerina où es tu????)


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Apres j’attaque le surplus qui donne dans une impasse du 15 eme puis De Gilles à Voltaire.

De Gilles ce sont des tissus qui donnent envie de savoir coudre.

C’est magnifique. Ils bossent surtout pour les films et le théâtre; Chaleur à crever là- dedans; Coca zéro en sortant…

Je roule je roule. Ca sent les bagnoles lorsqu’il fait chaud comme ça.

Allez. Pause Piqure Kenacort. Puis maison
C. annule. U. vient dîner.

C. déménage


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Des choses

Jeudi conduire, le Sud, voiture pleine, youpi , le beau temps. Un beau sandwich.

Fais gaffe au + 130. C’est dur.

Passe à La Chapelle. Bien sûr pas la Porte mais le village…

Sur ma gauche /glance/

Bébé Rose est dans l’abri d’autobus ? Non sur le banc Public ? avec ses lunettes de solei-Star .

Elle traque l’événement, Bébé Rose…

Bébé Rose c’est un sacré nom quand même!.

Je l’aime bien. Qui est elle? Qu’a t’elle vu, aimé, ? Sais pas. Qui sait?

Arrivée Ecole.

Ouvrir la maison mais pas trop.

Endormie au soleil, sur le perron arrière avec Barrie et deux tartelettes délicieuses achetées sur la route .

Poires et pommes. Plus un thé. Délicieux. ( bis )

J’enregistre les oiseaux. Ca me semble tellement fort ces chants d’oiseaux. Repense à Messiaen . Et a Farid-Al-Din Attar

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Paolo Uccello

19h je descends, passe à la pharmacie en quête d’antihistaminiques,ce qui faire rire la fille qui me connaît bien ( plutôt en mode gros yeux elle me connaît!!) puis verre avec E.

Les Amis ou la Porte? C’est un sacré dilemme…

La place.

Nous avons de la chance:

Exceptionnellement chacun s’assied sans rien demander. Dire que personne ne nous interrompt serait mentir. La bise, la bi- bise.

Grrr…

Arrivée de P.

La ville se vide sur se nouveaux équipements: Passages piétons flambants neufs, comme si on était au grand carrefour de Tokyo. Quelle bêtise de rassurer les gens de les tenir, alors qu’il n’y a aucun danger. C’est vraiment le ton actuel. La sécurité, le balisage… Déjà qu’un imbécile a massacré la rue principale avec des plots de béton du meilleur effet.

La corde! La corde pour les ânes. On devrait faire la même chose à San Geminiano, Florence, dans toute la Toscane. Et rajouter des lunettes de soleil aux profils peints, et repeindre surtout et mettre des flèches pour indiquer le nez, la bouche, les oreilles.

Remonter


Faire du feu.

La maison. Le vert autour. Les vélos dans le couloir.Des mouches mortes.

Les fenêtres ont été peintes.

Un article de journal qui date de notre dernier passage.

Des spaghettis à la carbonara que je me concocte et … La télé. Oui.

Tiens , Le jour le plus long.

Puis lire, puis départ demain. Vendredi.

Marché, mais avant passer embrasser J.

Je colle mon nez au carreau de la porte:

— Coucou, c’est LN, tu ne dors pas?

Rires . Yeux – sommeil encore mais rire devant le bol.

— Je passe vite, je file.

— Embrasse tout le monde….

Voiture dans la cour. M. comme une grande arrête qui guette à moitié caché. Je regarde droit devant moi et démarre… Pas le courage…

Un kilo de cerises. Ah celles là sont plus sucrées? Alors je change.

Un café Aux Amis avec D. Un chausson aux pommes. Elle m’a rajouté deux croissants. C’est gentil.

12 mouchoirs blancs pour R, bien blancs- à la dame que je dirais Arménienne.

Un SMS d’E. Un café à la Porte cette fois. Avec E.. Confiture de pissenlit-Ah bon? Départ.

Route sans sandwich.

Brignoles-Flassans-Les propriétés-

Les vignes

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Apollo and Dionysus

Marseille. Brignolles… Flassans… Gonfaron… La maison. yes!!!!

Couper contact. Portière. Clé. Petit portillon-Terrasse Décharger la bagnole.

C’est tout petit.

“C’est tout petit.”, c’est ce que je me dis à chaque fois . et puis ça grandit….

Ca grandit terrible; Après le 14 Juillet, ça a doublé. Les chambres sont immenses .

+ + tard

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