PIZA * et le crocodile de Rurik

“Mais Olivier, mais Olivier, d’habitude tu m’attends”… J’arrive à la….Tu … et on…parc….. ex… Avant tu venais me…Pchhhhhhh PRR ( ça c’est le bruit du train).

Ah zut. je tendais bien l’oreille et elle, elle sanglotait bien, criait… Et comme elle s’était “isolée” en haut j’en ai râté pas mal.

C’était une aubaine. Pas envie de lire, Même Stevenson.

Journée laborieuse….

Alors je ruminais quant à mon existence… Ca , jamais!!! Là j’ai raison, là j’ait tort… Je devrais ci je devrais ça…

Alors un bon malheur des autres et qui plus est un peu cucu,un truc pas grave au fond, mais bon, l’amour…

Donc ça tombait bien.

J’ai adoré le téléphone portable qui hurlait l’intimité d’une rupture à venir vite fait et que la copine d’Olivier semblait ne pas voir. J’avais envie de lui dire:

Ne pleure pas, cesse de crier. raccroche et laisse dormir le temps qu’il faudra. mais elle avait l’air d’être du genre 1000 SMS et messages répondeur.

Ce qui a été pas mal ensuite ( à ce que j’ai compris , c’est qu’elle a appelé sa copine en chialant franco pour lui raconter le truc). On est arrivés à la gare Saint-Lazare, mais elle n’est pas descendue et a dû repartir dans l’autre sens. A l’heure qu’il est une bonne copine doit souffrir d’entendre et réentendre les détails…

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PIZA est le nom du train de ce soir.

Coursettes. Et contact avec Meriem pour les corrections de Tea-Time. A se demander qui peut avoir envie de faire de l’animation tellement ça prend de temps.

R. débarque du Luxembourg. Heureusement qu’il a des heures de vol, car sur le scénario, il y avait l’inquisiteur et le rapporteur. On lui a dit qu’il était l’inquisiteur. Et sur place , surprise, inquisiteur et rapporteur étaient une même personne… Une erreur de 8 pages à apprendre à toute vitesse…

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Stevenson

FLIF FLAC

Rêves, cauchemars et insomnie à 4h.

Appartements; mains recouvertes de terre, d’un gant noir, mains crispées. Parents vivants et qui vont mourir,

J’ouvre la fenêtre de l’appartement que nous venons de louer et en face comme des marionnettes dans un castelet je suis au milieu de mes frères et soeur.

On sourit comme des masques. Et en même temps c’est le décor de la maquette de la Banque de Londres au Soane Museum,à Lincoln’s Inn Fields ( Avec les Hogarth )

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Perdu les coordonnées d’Elisabeth Gogois. Si tu lis envoie moi un mail.

Un avenir radieux

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Ca me rappelle Le film de Borzage. C’est quoi? Mortal Storm .

Oui

Pas lu le livre d’A depuis plusieurs jours. Ca y est ; Le temps s’échappe. Pas lu d’autres livres non plus.

Rangé à A. Pizza avec C. H. et H. On a demandé et redemandé des carafes d’eau. Presque la honte.

Bois de l’eau.

J.M.M m’a déposé le livre Fellinicittà. Il est beau(le livre) Je suis contente de mes pages.

Parlé avec D. Delouche au sujet de la lecture de son livre.

Thé chez D. en arrivant.

Récupère mon vélo qui a passé la nuit à Palais Royal

Reçu encore des corrections de Tea-Time. Je suis contente. je crois qu’il me faut un peu de son. ( Bourdonnement d’une mouche? bzzzz )

R. à la chambre 1703 au 17 eme étage au Luxembourg.

Lave – vaisselle en panne.

Dans le coffre de l'homme mort

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Journée grisou à tout point de vue. ( attendre le verdict de la banque ou chercher dare-dare un appartement, déménager…

Et puis trop bu de vin hier soir avec U. et C et E. J’étais contente de les voir Je ne suis pas contente de moi ( et de me voir).

Hier aussi CND pour voir la présentation de Valérie.

Elle a énormément progressé et ses chorégraphies sont très bien.

Plaisir de revoir Daniel Dobbels à la voix très douce. J’ai décidé derechef d’avoir moi aussi la voix basse et douce, mais pas la moustache.

Je ferais mieux de continuer Stevenson, quand il raconte comment il a écrit l’ile au tresor

Trottoir

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Elle était petite , un peu grosse. Elle était de dos , dans le renfoncement d’une entrée d’immeuble. Dans le coin. Collée au coin comme si elle ne voulait plus voir le monde. Un manteau avec des motifs géométriques.

Elle m’a croisée. Elle boitait de façon saccadée et portait droit devant elle une grande fleur rose bien emballée par le fleuriste. Elle ne voyait personne

Trottoir et métro.

C’était ça le truc. Je passais sur le boulevard, et le type écrivait en terrasse dans un carnet. Au moment où je suis passée il a levé les yeux et dit en fixant le vide

_ Oui, un gâteau…

puis en recommençant à écrire il a répété doucement:

_un gâteau.

Et un peu plus loin un type derrière la vitrine du café notait des trucs en regardant une chaussure qui prenait tout l’écran de son ordi.

Dans le métro. Père et fils , ronds et tous deux ayant sur la joue des traces de piqûre de moustique:

_Papa, est ce que ça a un zizi une pomme de terre?

Rangement. Je décroche toutes les peintures suspendues; Yen a marre. Je suis de plus en plus convaincue qu’il faut changer souvent de lieu de travail.

Et en trouver des entièrement vides pour éviter la sensation du recyclage. ( Et plus que la sensation, le recyclage lui même. )

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Je m'écrie Ah NON

Pour me consoler d’une morose journée, replonger dans l’ordi pieds et poings liés… Je picore entre deux recherches Google inutiles, “les essais sur l’art et la fiction” achetés hier. Et soudain, cette envie qui couvait d’entendre à nouveau le Freischütz, est ronde comme une bulle et s’épanouit dans l’Itunes store-achat un click. je reprend ma lecture, ces magnifiques pages à recopier, sur le théâtre Skelt ( nom que je vais m’empresser de voler pour Le cerf des tranchées..) Bref je reprends ma lecture:

C’est véritablement par cet art infantile, trivial, voyant, indiscret, fait de clichés que j’ai forgé me semble-t-il, mon appréciation de la vie;que j’ai rencontré les ombres des personnages que plus tard je devais connaître et aimer;découvert la romance de Der Freischûtz bien avant d’entendre parler de Weber ou du puissant Formes… p72

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ANe

En fait c’est un âne-léopard si on y regarde bien.

Vélo dans Paris. Les ponts ; Bleu et bateaux. Touristes penchés.

Je tousse et une dame me fixe, soupçonneuse.

M. a énormément grandi. Mûri. Quelle force et quelle affirmation. Troublant. Ressemble à son père terriblement.

Quand quelque chose ne va pas c’est sur le carrelage de la cuisine que je me penche; A. vient de laver le sol, et il y a déjà des traces de pas. Le carreau gris est brisé. Encore brisé en trois morceaux et il incarne tous mes soucis. Ces derniers , viennent d’un au-dessous menaçant et comme des insectes serrent les ailes et les antennes pour se glisser dans les interstices et me S(contenter)=m’apporter déplaisir.

Japonais.

Amedée Doublemard, je passe sans te regarder

Sauter du coq à l’âne, de l’autoroute à Paris 8 eme pour l’exposition d’Enki.

On y va en taxi après avoir monté les affaires. Mon plateau de confitures de prunes est sur le trottoir. Je repère l’Egyptologue de retour , et qui essaye de m’en voler une. J’aime beaucoup Vincent et c’est le premier , lui et Florence , à se dessiner dès que j’ai éteint le moteur.

Puis ce sera Eric qui rentre guilleret de ses cours; Puis…

On attrape un taxi devant le Fourmi qui est toujours la fourmi et nous passons par la place Clichy, toujours elle, toujours ronde, autrefois ronde mais Place de Fructidor. Je me dis en écrivant cela que je suis bien incapable de décrire la statue-monument en son centre. Un personnage lève une couronne de laurier?? Hum. Allons voir…

Monument au maréchal Moncey, groupe en bronze élevé en 1870 par le sculpteur Amédée Doublemard

Défendre la Barrière de Clichy contre les Russes? Diable!! Et c’est la ville de Paris qui lève le bras sans lauriers.

Bon. En devisant nous avons traversé les mêmes quartiers qu’avant et les mêmes quartiers qu’après je suppose. E. est délicieux,Ses dessins présentés-L’album animal’z– magnifiques et gris.

F. aussi, K. me fait rire. Nous rions et ce n’est pas à cause du champagne qui coule à flots plus que petits. Il faut trouver ( c’est vite fait) la voie d’accès, c’est à dire la sortie du plateau, se poster ni trop loin ni trop près et dès que la poignée d’une porte de bois clair s’abaisse, par un petit bon délicat aimanter un verre.

Papoter ici et là. F. et son splendide pantalon à carreaux qui me fait frémir de jalousie et V.

Il y avait beaucoup de monde au Rond -Point. J’ai lu sur une affiche que c’était la soirée Vogue.

Nous nous moquons de deux “beautés” blondes et bien ordinaires, qui tiennent leur sac à main sur l’avant-bras replié bien haut et poing fermé, et allons dîner en face au Théâtre.

D. sort de répétition-salut. Il n’y a pas ce soir de cheese-burger. Zut.

Quand nous sommes sortis, j’ai aperçu sur le trottoir d’en face, un fashion-homme à costume d’arbre. Je m’explique, dans l’obscurité j’analysais son costard slim comme feuillu et jaune et noir. Il se confondait un peu avec les (arbres-quelle sorte d’arbre?) de l’avenue. mais ce qui est le plus drôle me disais-je, c’est quand un arbre, cherche un arbre pour y pisser. Car c’est bel et bien ce qui se passait. Notre fellow, “Voguait” -sans jeu de mot-, il voguait feuillu et hébété, cherchant son équilibre au bord du trottoir pour évacuer sans mouiller ses feuilles imprimées à la Hantaî le Champagne en excès ingurgité. il avait l’air absolument perdu. monde et taxis rares. Je me mets dans la file et deux pepitas parlent de Saint-Trop. Au secours. R. court vers la rue M. et nous hijackons glorieusement une voiture à la barbe. des mondains et mondaines.

Ce matin RV avec Tom. Dans le café, il y a au fond posé sur une table un Cantal entier qui vient d’arriver. Mon vélo ne s’est pas trop dégonflé et je roule comme ça.

Au retour arrêt place Fructidor. Librairie:—

Consuelo

Essai sur l’art de la Fiction, de Stevenson

Ernestine de Sade

Etj’achète aussi le livre déjà feuilleté à Lyon: Le dernier deHélène Sixous dont les mots m’émerveillent. Eve s’évade/La ruine et la vie.

Envie de lire. Poursuis avec admiration la lecture du livre d’Anne.

J’admire sa concision,; ses images et sensations. Je vais finir par aimer les fleurs. C’est ce qu’elle dit de Consuelo qui me donne immédiatement envie de lire:

Madame Sand, je ne vous connais pas, mais on m’a parlé de vous. Introduction stupide mais on peut, en, écrivant se le permettre.


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Récupéré de l’été tout frais passé:

Cerf des tranchées

Incroyable. J’ai écrit cela il y a dix ans déjà et laissé dormir dans le tiroir.

Relecture. Hum. Mauvaise structure. Situations trop littéraires, trop abstraites. Que faire d’Armure et Pelisse.

Les transformer en Wolf et Julius changera t’-il quelque chose; mais est ce qu’ils sont aussi Soldat assie et Soldat couché.?

je ne comprends plus ce que j’ai écrit.

C’est mauvais signe.

Lu ce matin d’une traite le livre de Samuel. j’ai parfois éclaté de rire comme je l’avais fait en lisant Sallnger. Même rire qu’à la lecture de “au léger masque en pétale de coquelicot”, qui nous a fait pleurer des heures entières.


Daniel passe boire un verre hier et parle de sa pièce à lui. Il me file les infos pour le documentaire sur les bals par ici.


Oh la la Piero de la Francesca c’est quand même parmi les choses les plus merveilleuses




Journée sans sortir. Pas le nez dehors.

Cheminée et feu. mais il ne fait pas si froid.

Je reprends la lecture de Scrap Book. c’est une écriture intense, persistante ( je me comprends) . J’aimerais bien avoir ce style, très concis et à la fois ouvert. Voilà qui est fort mal expliqué . Bref.



Ma conclusion est celle-ci.

Le génie est un excellent plat qui a besoin d’une sauce.

Il ne suffit pas de dominer les hommes par ce qui est en nous, il faut les dominer aussi par ce qui est en eux.Il faut faire coup double, avoir ce qu’ils n’ont pas et avoir ce qu’ils ont…p440 Le trou de l’enfer.



Julius Samuel Lothario Frederique Eberbach Gretchen Cristiane Olympia etc







Pétain et la confiture

Les 8 kilos de prunes noires, qui ouvertes sont jaunes, redevenaient rougeâtres sous ma cuillère en bois . En tournant et en écumant, je me promenais dans New-York, Coney island, sous l’orage où à l’aube, avec en fond des éclairs d’images de Robert Franck. Toujours ce Scrap book énorme dont je n’ai emporté que la première petite moitié.
Temps magnifique. Rêve de la jeune fille au Lynx. Quand je m’approche, ses cheveux sont ras mais comme le pelage du léopard.
Sous l’herbe du jardinet sous mes pas chaussés, des méduses molles et roses.
R. a reçu les Minutes du Procès de Pétain qu’il va” interpréter ” à France Culture. Je chercherai encore en rentrant les archives INA dont il a besoin.
Repense à l’émission entendue dans la voiture l’autre nuit alors que je rentrais du bal. J’aime bien rouler dans le noir avec la radio.
rangé hier le local prêté par D. et me disais que j’aimerais louer pour un mois un endroit du même genre. L’important est ” de ne pas si retrouver”. ne pas avoir d’affaires ou de choses en cours qui empêchent d’avancer, se rapportant trop à des moments, des atmosphères, des gens,des saisons.
Arrivée de S. Promenades et montée sur les plateaux.
Ai noté l’expression de J. “Fermer “un homme pour le tuer. Ca me fait rire.
ET “TAPE DOH Christian”, risque t-il de se faire “fermer!!!:
Ca me réjouit toujours ce genre de mail. j’en ai reçu un autre du même genre cet été.
Bonjour,
D’emblée, je voudrais trouver auprès de vous une attention particulière concernant mes préoccupations actuelles.
Je me nomme TAPE DOH Christian , fils de TAPE DOH LUCIEN ancien Président du Conseil d’Administration de la Bourse de Cacao-Café (BCC). En effet, mon père est emprisonné depuis bientôt deux ans la maison de correction d’Abidjan.
On lui reproche d’avoir détourner plus de 600 milliards de francs CFA (Six cent milliards de francs CFA). Lorsque je suis allé lui rendre visite dans sa cellule de prison, il m’a confié qu’il y a une caisse bien gardée dans une societe de gardiennage a Abidjan contenant des fonds pour un montant de 4.000.000 Euro (Quatre millions Euro) dont je suis le beneficiaire et que je pouvais prendre cette caisse pour aller me réfugier à l’étranger où je serais en sécurité et chercher un partenaire etranger pour les investir. En un mot, c’est mon héritage. Pour une raison de securite je me suis refugie a Accra (Ghana) ou je suis mes etudes.
Après avoir eu des renseignements et informations fiables avec le directeur de la societe ou mon pere avait faire le depot, il m’a fait savoir que cela est possible de pouvoir effectuer un transfert de colis à l’étranger car il dispose d’un service de courrier pour ce genre de transfert, et pour ce faire nous devrions établir des dossiers légal et conforme aux règles d’un tel transfert car je lui ai fait comprendre que je souhaiterai que le transfert soit effectué chez mon partenaire à l’étranger.
Je demande honorablement votre aide de la manière suivante: Pour me fournir une adresse ainsi qu’un numéro de téléphone à laquel le colis sera expédié, servir de gardien de ces fonds puisque j’ai seulement 16 ans enfin m’aider à immigré dans votre pays afin que je puisse poursuivre mes études.
Ainsi dit, votre effort après la réception des fonds sera récompensé de 15% de mon héritag et vous serez mon partenaire dans n’import quel investissement que nous ferons. En outre, vous indiquez votre option pour m’aider sachant que pour moi, j’ai la foi que cette transaction peut se faire le plus vite possible.
Dans l’attente d’une suite favorable à ma demande, veuillez acceptez mes sincères remerciements.
TAPE DOH Christian
Alors qui veut garder la grande caisse pleine de sous?????

Bizarre

“( t§lé/innomable/saleté/camp/faire l’amour devant tous/”
dans Soudain les limbes je trouve ça. Mais d’où ça vient. Je n’ai pas écrit ça????

Auguste ferme le temple de Janus

Ca y est je veux rentrer. Hier en ouvrant les yeux, c’était pluie battante. Brouillard toujours. R. m’a appelé pour dire qu’il arriverait un peu plus tard alors j’ai eu la soudaine envie d’aller dans une ville. Lyon.
—Je viens te chercher à Lyon?
—Oui c’est encore plus simple.
J’étais contente en conduisant d’aller où j’allais. C’est à dire au Musée des Beaux-Arts, jamais visité, aperçu avec J. il y a quelques temps. Pas vu quand G. y était comme conservateur.
J’ai marché après m’être garée à Perrache. des gens, des magasins des cafés des terrasses des marchés…
L’entrée et Le Perugin. L’ascencion du Christ… Puis se laisser glisser ça et là. Les salles de sculptures et les plâtres de Rodin, des académies ( Paul Chenavard) qui me plaisent toujours car le les trouve monstrueuses: des yeux exorbités, des bouches grandes ouvertes, des cris et des gesticulations, des douleurs de cinéma muet , des énormes corps effrayants comme dans des séries Z ( cette sculpture en pied d’un homme-le sculpteur romain -je crois ,et qui porte dans chaque main une tête sculptée.
Notes/chercher des infos sur:
Le maître du monogramme A.H
La fête des couronnes de roses: Durer
Saint Jean Baptiste et sa peau de bête
saint François, magnifique Zurbaran ( et à côté la réplique peinte et offerte au Musée par Buraglio. Il fallait oser risquer la confrontation… hum hum)
Jonas sortant du ventre de la Baleine de Vernet.
Belle expositopn de dessins néo classiques; J’adore:
Marie-Phillipe Coupin de La Couperie= Jamais entendu parler; Mais déjà le le nom est une oeuvre en soi.
Jean-Jacques François Monanteuil d’après Prud’hon
Barthelemy Roger

Joseph Désiré Court et sa scène de Déluge m’évoque dans sa grandiloquence, Le trou de l’enfer que-Eureka- je viens de terminer toute essoufflée.
Deux jeunes filles parlent des Métamorphoses d’Ovide.
Une gardienne à la Mrs Danvers de Rebecca.
Pas pu tout voir.
Passage dans une grande librairie où sont présentés plein de “romans de la rentrée”. hésite a acheter le dernier d’Hélène Sixous et repars sans rien
Une vieille avec des longs cheveux gris roulés dans une couverture épaisse. Elle porte deux gros sacs accrochés au guidon de sa trotinette. Je la regarde s’éloigner.
Halte sur un banc en attendant le train. Dumas.
SMS hier:
—Je stresse a fond de passer en Cinquième. Je t’aime et t’embrasse
Moi:
—C ki?
—C Pia…
—Pia, d’où sors tu? D’ou arrives tu? De la lune???
Et tout à l’heure alors que je prenais des nouvelles elle m’a appris que c’était super, qu’elle était avec ses amis mais s’était fait plaquer.
Je lui dis
—”Mor le” et la réponse est
—=P
Quel est ce mystère?
—Ca veut dire koi?
—sa ve dir kelk1 ki tir la langue en Sourian

Ca me plait que d’un système aussi sec que le SMS les gosses trouvent des belles inventions;Je dirais que = est le nez et que le rond du P c’est la bouche?
R. est emballé par le livre de S.
Je vais commencer un des livres que U. nous a envoyés (Javier Marias)
Continué à taper Le cerf des tranchées. je suis épouvantée par les corrections à faire.Je crois que je vais aussi changer le titre.
Pas de photos , ni hier ni aujourd’hui. je sature un peu et me répète.

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Soudain les limbes

Après une journée de travail_je remonte pour débrancher l’ordi. Le ciel s’obscurcit… Ne rien risquer. Je monte chez J. Elle est merveilleuse; Elle subit elle aussi, l’inflation des courgettes. Qu’en faire ? ( t§lé/innomable/saleté/camp/faire l’amour devant tous/

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