Je m'écrie Ah NON

Pour me consoler d’une morose journée, replonger dans l’ordi pieds et poings liés… Je picore entre deux recherches Google inutiles, “les essais sur l’art et la fiction” achetés hier. Et soudain, cette envie qui couvait d’entendre à nouveau le Freischütz, est ronde comme une bulle et s’épanouit dans l’Itunes store-achat un click. je reprend ma lecture, ces magnifiques pages à recopier, sur le théâtre Skelt ( nom que je vais m’empresser de voler pour Le cerf des tranchées..) Bref je reprends ma lecture:

C’est véritablement par cet art infantile, trivial, voyant, indiscret, fait de clichés que j’ai forgé me semble-t-il, mon appréciation de la vie;que j’ai rencontré les ombres des personnages que plus tard je devais connaître et aimer;découvert la romance de Der Freischûtz bien avant d’entendre parler de Weber ou du puissant Formes… p72

skelt freischutz.tiff

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