I ultimi giorni

Quand c’est la fin, je n’y pense plus maintenant. Avant ça me rendait malade: “Plus que, plus que…”, et hop on était dans la voiture
Je ne veux pas y penser.
Et puis Septembre sera vite là avec Franck et sans doute Camille qui a la baraka et passe première assistante sur un court dont la première tombe malade..
Le Repenti c’est toujours sacré. On y est heureux. Avec les amis choisis, avec La famille Feles, les petits de M et X, vifs et malins. E. est une institution, J aussi à sa manière. Enfin, c’est vraiment l’endroit dont on rêve toute l’année: Une petite maison, un petit hameau, une petite terrasse avec deux chaises longues d’il y a cent ans
.Pas d’éclats, pas de bagarres. Des rires, des soupirs de chaleur, des grognements d’aise quand la température baisse…
Trop bien.

Zorro

a disparu de l’article “le monde de Noa Zorro”. je le remettrai à Paris. Ici internet c’est trop la guerre.
Tom m’annonce que l’on est dans l’express en page 20 à Orsay.
Photos aujourd’hui encore.Pas facile de ne pas se répéter. D. va me prêter un endroit à Saint-BO; La chambre froide où il range ses plants de sapins. Ou un appartement. Il y a aussi la salle des fêtes qui peut être bien.
R. à paris. Je crois que le film ne reprendra pas….
Ce soir encore pain grillé+ huile d’olive+lamelles de truffes.
E. et F. ont lavé la voiture.

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