«  Ma brochette de caprice. “

Fin des sous-titrages en Anglais du film sur Nicole Stephane. Youpi. Camille Morin assure!!! Là c’est ce qui précède Mourir à Madrid.

Raphaël Enthoven , ce n’était pas désagréable de l’écouter. Mais, là, fuyant les Papous et trouvant un truc sur Arte ( Diogène et le cynisme) je le vois parler et là c’est autre chose. Car il se pense très beau je crois. Oui, ben oui il n’est pas raté mais quand même. J’aime bien à côté de lui, Jean-François Balaudé comme un professeur qui n’a pas l’aisance d’un homme de télé mais que l’on a envie d’écouter. Bon il n’est pas Rock ’n roll mais il ne fait pas le malin avec des tours de poignets pour appuyer ses dires.

Sans rapport avec ce qui précède:Dans le domaine du con, Bartabas brille. Mon Dieu quelle prétention modeste. Quelle humilité. Il est vraiment un peu primaire et ses philosopheries font sourire. Pour lui ,remarque la vie est simple: Un salaud ne peut pas être un grand artiste. Bon. Il y a les méchants, les profiteurs, mais aussi les vrais artistes , les purs. Misère et peau de banane. Qu’il s’occupe de ses chevaux et qu’il la ferme. Ce serait mieux que ces leçons de vie.

Je reçois le mail d’un étudiant qui sera absent Mardi:

 Veuillez m’excuser ma brochette de caprice. 

J’adore.

 

Putain je tousse comme un chacal

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