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141 (Minaggio 101) The masked Trapelino, one of the “zanni” type of clown, was played by Giovan Paolo who retired in 1630.

The more celebrated Beltrame, a typical Milanese character, was created by Nicoli Barbieri, an author of both plays and works defending the theatre. In 1625 Barbieri performed at the French court where he was much admired by the king.

Je ne connaissais pas du tout ce “livre des plumes”The Feather Book was created by Dionisio Minaggio, the Chief Gardener of the State of Milan in 1618.

Bon, bon, bon. Nous devions nous voir avec Edith mais on a reporté le rendez-vous à Mardi. Je suis revenue dans un train assez laid :” Le train des impressionnistes”. Une chose est certaine c’est vilain mais sans doute un peu plus gai que le train de banlieue ordinaire. Quoi que…

Cela doit être de la famille des Baux de Provence où dans les carrières sont projetées des peinture de Van Gogh etc…

Je me disais que l’ordinaire se glissait partout. Hier j’étais contente d’avoir réservé mes places , et incité J. à en faire autant pour assister à la présentation publique du cours de Mario Gonzalez au conservatoire ( au consse comme disent les acteurs!!!)

Bon. Bon. Quelle déception. Tant est si bien qu’en sortant (enfin!) avec mes oreilles ( sauvées-celles-ci, les deux  par je ne sais quel miracle, Saint des Tympans bienveillant…) , oui tant et si bien que je me suis dit:

— ” A quoi ça sert”?

C’est horrible de penser ainsi. Non, je n’ai pas le droit. Mais que peut-on faire quand on assiste à des scènes somme toute ordinaire, dans lesquelles sont glissés avec complaisance des mots de tous les jours, des gros mots aussi  là où on ne les attend pas. Je ne suis certes pas un modèle du bien-parler mais disons, que ” ça va avec l’ensemble”… La complaisance à vouloir “rendre plus actuel” m’a toujours fait bondir. Je ne vois pas que Titus Andronicus ait besoin… Bref

Puis c’était moche nom d’une pipe en bois de masque. C’était moche. Et hurlé. C’était hurlé. Je me suis bouché les oreilles parfois.

Finalement en constatant que le masque n’apportait qu’un parfum déplaisant des Guignols de la télé, je pleurais le manque de mystère de tout cela. C’est pas possible nous disions-nous. Toutes les 4 du même avis.

Je disais cela à Edith Scob qui en connait un rayon niveau masque . Le masque c’est une chose rare, effrayante parfois. Pourquoi ce double, qui parle, qui est-il.?

Je préfère finalement le masque de la commedia dell’arte, bien tradi.

Dommage que le grand Mario Gonzalez que j’ai déjà vu jouer et qui n’est pas n’importe qui, ne fasse pas plutôt une Master Class. Ce serait plus intéressant de voir le travail . Et puis quand on est content ce n’est pas gênant , mais quand on est grincheux, les réactions des “copains” du cours, les rires, cette joie forcée sont insupportables.

J’ai eu un bon fou rire à la fin, trouvant qu’un masque ressemblait ( et c’était faux ) à Yannick Noah. J’ai réussi à entrainer C.

C’était pendant un Shakespeare.

PS oui oui il y a eu un téléphone portable invisible dans les mains d’un acteur. Qu’on se rassure.

Bloups. J’ai encore dans les pupilles le jaune atroce d’un costume,

Pis les masques, heu… pas que des chefs d’oeuvre.

C’est horriblement délicat les masques.

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