Ininteressant

Hier marche de 4 heures . Supeyres et lac des Pradeaux.
Passage chez Jane.
Nous buvons un verre au retour à la Pd’A. La ville est déserte, la place silencieuse. Je lis à une table, C.écrit à une autre.
Ah voici que Samuel accompagne maintenant Nostradamus. Oh oh, chez la Duchesse de Berry.
J’aime vraiment les ogres de Dumas.
Restautant. Bonne volonté du chef mais pas terrible ( sauce, trop copieux, dessert glups-la tarte au citron est fabriquée je ne sais où.
bref.
Pour la 100eme fois « Rebecca ».
Photos maintenant mais c’est difficile de renouveler le « procédé ». Hum/
Mal dormi. Agité.
Hier qui parlait du Peyotl: Carlos Fuentes?Des chamans…
Vital est seul au château de M.mais il sait absolument tout ce qui se passe alentour.
Il nous montre la trajectoire de la foudre qui l’a aveuglé.

En passant

je crois qu’un des tableaux que je préfère est le combat des Centaures et des lapithes de Piero di Cosimo.
Piero di Cosimo peut être un des peintres que j’aime le plus.
Hier VTT pendant deux heures. Je me suis un peu habituée à la route et par ici, les chemins c’est une toute autre affaire.
Arrivée à S.A puis R et C me rejoignent.
Nous partons au Droubliei et chantons dans la voitures  » Nous mettrons le grill sur le feu, et sur le grill les -es cotelettes… de Offenbach
C. m’a montré sa Princesse au Petit pois.
Elle passe des moments à La Porte d’A., à je ne sais quoi faire: Regarder, noter, écouter. Elle est très à l’affût. Ca sent le film qui se construit doucement.
J’avais gardé plein de SMS drôles d’elle. Commencé à en recopier certains.
Dans l’agacement de l’autre jour, ( loghorrées et passions, flots de paroles qui perdent tout sens et s’annulent, SMS en plusieurs tomes….) bref, j’ai tout effacé. Zut.
Je repense à ma soeur qui avait cette pratique du recouvrement des mots, de la rapidité excessive du flux..Ce qui la rendait dingue est qu’à ces torrents verbaux je ne répondais que par deux mots, ou par aucun mot, et que je parlais, si je parlais, très lentement.
En fait, on s’en aperçoit parfois selon une ou l’autre circonstance, mais peu parler est une posiition toujours plus forte. Mais on le savait déja…
Le lapin de M est drôlement bien et mon marquis qui le regarde passer très drôle. Je suis contente. Mais c’est incroyable le nombre de corrections, même infimes qu’il y a toujours.;
J’ai commencé, pour m’aérer de ce génial Dumas et du Trou de l’enfer, le bouquins de Garouste. Mais je ne suis pas certaine d’être très intéressée.
R. cherche comme un fou son billet de train, tout comme il le fit hier.
Cette nuit rêves. Changement de chambre pour essayer de dormir.
Hop, café et à la gare. Trouver le bi-i-llet

Trop de Vert

Même si je travaille chaque jour, le Vert commence à me lasser!!!!.
On se dit ça les jours de pluie, comme aujourd’hui.
Comme nous n’irons pas au Repenti terminer en beauté, Camille qui devait nous y accompagner est arrivée hier sans prévenir.
Je vois que R. a hâte de travailler,
C. aussi. A l’instant nous partons repérer au Chateau de Marandière pour les plans qui manquent à la princesse au petit pois.
Moi je suis assez inquiète sans en connaître la vraie raison.
Il va falloir chercher un appartement en rentrant, ça me barbe.
Donc encore cette semaine et le fils de R. qui viendra.
Puis retour et c’est très bien.
Mais j’ai travaillé beaucoup.
par contre le sport… pas terrible

Bal du 15 aout

C’était incroyable ce temps chaud. Les grandes tables, l’orchestre latino. Combien de personnes dur les bancs? 200?
Combien de personnes qui dansaient sur les tables? 3:
MT, E et moi, bien entendu. Etoiles feu d’artifice et bal des anciens. Le mot n’est pas trop fort. Je suis chaque fois sidérée par ce spectacle ( quand je ne danse pas le Pied-brisé ) .
Les couples incroyables, leur âge ( on dirait que si l’un se détache de l’autre, ils tombent, ils meurent. Les hommes en costume pas cette chaleur, le regard fixe, on ne rit pas. Un peu pour le quadrille, passer sous le pont, repasser sous le pont.
Nous avons terminé la soirée avec MT, regardant les étoiles dans le jardin.
Le trou de l’enfer/Alexandre Dumas.
RAS. Photo toujours tous les jours de 9h a 12h30
demain vélo.

Fantômette

Trop occupée à travailler dans le local que m’a prêté D.G; 200 m2 d’un côté, clean et blanc, 200m2 de l’autre ou je range mes affaires. C’est trop bien.
Hier Col des Supeyres, facile, déjeuner au Coq Noir.
Temps génial.
Demain le marché. ce soir, maison vide, personne.

I ultimi giorni

Quand c’est la fin, je n’y pense plus maintenant. Avant ça me rendait malade: « Plus que, plus que… », et hop on était dans la voiture
Je ne veux pas y penser.
Et puis Septembre sera vite là avec Franck et sans doute Camille qui a la baraka et passe première assistante sur un court dont la première tombe malade..
Le Repenti c’est toujours sacré. On y est heureux. Avec les amis choisis, avec La famille Feles, les petits de M et X, vifs et malins. E. est une institution, J aussi à sa manière. Enfin, c’est vraiment l’endroit dont on rêve toute l’année: Une petite maison, un petit hameau, une petite terrasse avec deux chaises longues d’il y a cent ans
.Pas d’éclats, pas de bagarres. Des rires, des soupirs de chaleur, des grognements d’aise quand la température baisse…
Trop bien.

Zorro

a disparu de l’article « le monde de Noa Zorro ». je le remettrai à Paris. Ici internet c’est trop la guerre.
Tom m’annonce que l’on est dans l’express en page 20 à Orsay.
Photos aujourd’hui encore.Pas facile de ne pas se répéter. D. va me prêter un endroit à Saint-BO; La chambre froide où il range ses plants de sapins. Ou un appartement. Il y a aussi la salle des fêtes qui peut être bien.
R. à paris. Je crois que le film ne reprendra pas….
Ce soir encore pain grillé+ huile d’olive+lamelles de truffes.
E. et F. ont lavé la voiture.

Du chocolat sur le maillot jaune

Arrivée
Vue la tête que j’ai  à l’arrivée, je préfère la couper et garder la coupe remise par E.
Elle a déjà servi, mais ce n’est pas grave.
Après 55 km , deux barres de céréales, un biscuit aux figues et un litre d’eau, j’arrive en miettes, comme le reste de mes provisions qui ont collé sur l’appareil photo.
Repenti, route de Sainte Maxime par Plan de la Tour. Village très beau et sans tourisme de La Murre, puis arrivée à La Garde-Freinet, déja ça montait.
Le pire est devant moi, la route de Crêtes Marc Robert monte sans fin, une splendeur, route défoncée, personne . Ca commence à cogner dur, et je mouline. Piste de descente sur les Mayons, horreur pleine de pierres et vibrations dans les bras, + trouille sans casque.
J’y vais à petite roue, c’est pitoyable mais ça passe,
Je fais comme je peux pour éviter les pierres pointues qu’on voit mal entre ombre et lumière.
Mange comme 5. Puis sieste

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Après la montée la descente

Et après la descente une montée.
J’ai les jambes en forme de danone après la promenade d’hier.Départ 8h. retour 12h30. J’ai cru ne pas pouvoir rentrer. C’est simple, je n’avais mal nul part mais les jambes ne m’obéissaient plus. Et à midi, en ce moment dans le Var, il s’agit de ne pas traîner sur les pistes. J’étais de mauvais poil, avec une envie de jeter la vélo au loin.
L’horreur ( enfin…).J’ai bu le Coca d’Emilio avec la boite et l’après midi,après une copieuse assiette de pâtes comme aurait sans doute fait Contador, je suis allée « lire », c’est à dire que j’ai plongé pendant deux heures au moins.
Aujourd’hui vélo jusqu’à Gonfaron,jour de marché et honte de moi-même ,je n’avançais pas.
Mais c’était absolument magnifique, ces montagnes qui séparent de la mer, les oliveraies, les eucalyptus, les chêne-liège et SaintTtropez que l’on voit de là-haut sur le golfe et sans les cons à l’arrière des bateaux.
Passage chez B. J’en ramène trois truffes. Une demi est mangée, une est dans le train avec R. pour C., le reste pour les jours à venir. Griller le pain, une goutte d’huile d’olive, du sel et des fine lamelles. Hum. C’est bon.
Photos comme chaque jour.
Aujourd’hui chaleur terrible ici dans les vignes.
Toulon gare et retour. Bavardages délicieux du hameau. Un verre de vin après la cure sans aucun alcool ( et comme on se sent mieux… mais comme le vin est bon…)
Un peu de France-Cul, il y avait longtemps. Pascal Quignard.Prejo… Et une fille compositeur au secours. Une somme de platitudes ( je ne parle pas de Quignard ) enfin, assez ennuyeux. mieux vaut un bel et fort âne d’Apulée, plutôt que ces platitudes quant à l’Antiquité, aux mythes aux contes…
Demain, photos et piscine. Pas de vélo. F. ira seul. Pas le courage après ces excès.
Samedi, lapin et polenta. La bête se prélasse dans la marinade.

Notre Dame de Anges

J’avais quand même une peu d’appréhension. La dernière fois, il y a au moins 5 ans c’était pour essayer mon vélo  de course neuf.
Je me disais ce matin et dès hier soir, il y a au moins cinq ans et en 5 ans des bouts de muscles ont dû s’effilocher; Alors que le dénivelé du Baracuchet est plus important.
Bref…. Si l’on n’y croit pas, on y croit pas. 2 barres de céréales, de l’eau et deux biscuits, et hop je retrouve F. devant chez Emilio.
Il a un VTT qui n’arrive pas du rayon vacances en promo de Decathlon, et pire il est tout fin et très musclé.
Un léger qui grimpe, me suis-je dit. Hum…
Maintenant que tout est fini, que je suis arrivée fièrement sur la place de Gonfaron, je suis contente de moi. Je l’ai fait, à mon rythme comme on dit, avec le dérailleur qui déraillait sur le petit plateau. Avec F. qui m’attendait en haut comme Droopy.
Si j’étais grossière, ce qui n’est pas mon cas, mes amis le savent bien, je dirais que j’en ai chié.
Surtout au début. Ca monte tout de suite. Et puis aussi à la fin , parce que ça monte raide et un peu au milieu car il y a des épingles à cheveux.
Mais c’est vraiment magnifique, et la récompense en haut, enfin presque en haut , c’est de découvrir de l’autre côté des Maures la mer et les îles Porqueroles etc, de les découvrir comme « terra incognita », alors que….
Il y a un peu de brume, quatre gouttes de pluie, et l’on ne voit aucun bateau au loin. Il doit y avoir des vagues. La mer cette année est bizarre, plutôt forte parfois.
Voilà. Redescente délicieuse et rapide vers Pignans, route, place, ombre , le marché et une orange pressée puis un café allongé offerts par V. « pour me récompenser ».
Demain une autre promenade.
J’ai emprunté le vélo de J. mais c’est un peu hybride ces VTC, parfait pour Paris ou je ne sais quelle terre un peu plate, mais trop léger pour les pistes surtout en descente.
Dos de rascasse et bergerie ensuite.
 Jdlf Img Photos 1578 1

Redemarrer

Le 22 juil. 09 à 02:36, AMR a écrit :
Encore a Repanti??? je meurs d’envie de parler avec toi sur tes photos, et de regarder d’autres, elles sont PODEROSAS, reviens vite!!!

OUI, je suis encore au Repenti et après avoir réussi à NE RIEN FAIRE pendant 10 jours je m’y remets aujourd’hui.
C’est dur . Car finalement NE RIEN FAIRE est la chose délicieuse.
Commencer un livre et s’endormir, rester au soleil en regardant les bateaux au loin, grignoter un morceau de fougasse aux olives en lisant distraitement les journaux sur la place du village, guetter le mûrissement des pêches dans le grand plat blanc…Oublier ce que sont les chaussures.
Rire avec U. et Y et R.
J’ai terminé il y a un petit moment les « Métamorphoses d’Apulée » en Italien-mais je te l’avais dit? et je vais commencer « Della Magia ». Quelques Simenon, Plutarque -« Sur les oracles de la Pythie- et Alexandre Dumas qui se lit comme un thé glacé.
Le rêve de l’immense horloge à eau, en bois précieux (?) et des souterrains, cette nuit le grand truc métallique ( un projecteur ancien?) que je portais à bout de bras, des photos sur un papier peint , plutôt SOUS un papier peint…
J’ai ressorti le texte sur Nicole, enlevé toutes les images et vais le corriger.
Maintenant je file à mon atelier-ruine pour reprendre ma place et ainsi déclarer aux hirondelles que je redeviens maître des lieux.
Le hameau ne change pas.
Emilio m’a apporté des haricots verts!
Bzz

Le chat, l'huissier et le squelette

Le concours de sosies d’Hemingway
Michael Jackson , les cheveux en feu danse
Sur la plage une femme avec autour de la bouche de l’écran total: on dirait une photo en Noir et blanc de Al Johnson sur laquelle on aurait fait un Pomme I
Une énorme tarte tropézienne
La monopalme
Les toreros morts
Banier et les sous.
Pauline de Alexandre Dumas: Chateaux, souterrains et poisons
Le coq
3 ventilateurs
L’horreur de Saint-Tropez, des grands bouquets ridicules à l’arrière des bateaux-palais des congrès, des Bentley rouge vif avec chauffeur, des godiches, des fils à papa avec col de Fred perry relevé, Ralph Lauren en veux tu en voilà, frotter le pont, astiquer. Eclats d’accueil des invités, cigares.Affligeant et triste
U. lit la Recherche
Y. demain.
Dumas: Les mille et un fantômes
« Vous savez un de ces romans interminables comme j’en écris, et dans les quels je fais entrer tout un siècle…. »
Confiture de coings de Madame Feles
R. chantonne
Portez la lettre à Metella…
Corrections du texte Fellini

Noel sans Christopher

Récital de Noel Lee, au Musée de la vie Romantique.

Il joue « CharlesT. Griffes »:

J’imagine une mère:

« Charles, tes griffes contre le piano, s’il te plait, arrête »….

Des cris d’oiseaux sur Ravel; 4 petites perles de menthe; un mouchoir en papier un peu froissé.

Des âges certains.

Une écharpe à pois.

Un tailleur Noir et blanc

Un panama blanc et des chaussettes noires

Plus tard Wok.

Un minuscule chien ciselé dans un corail; assis sur la table, et attaché au cou par une tout petit anneau d’or relié à une fine chaine.

Réplique exacte du gardien de Raray perché sur sa colonne

Demander à A. si je peux le photographier

froid soudain et vent.

Rue Victor Massé

Envie d’un Scweppes

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La barbe, réduire le texte sur Fellini de moitié. La grande barbe même

Correction des photos; Labo. Courses pour les autres photos. pas même eu le temps d’aller à A. Corrections du dessin animé.

Lettre au notaire, payer les PV, aller à l’agence,

LN, les blacks et le lacrimo

Mais en attendant , ma dernière découverte:

Pansy Craze

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: The Pansy Craze was a period in the late 1920s and early 1930s in which gay clubs and performers (known as pansy performers) experienced a surge in underground popularity in the United States.

C'est décidé

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j’arrête la clog dance

For our first exhibit, we present photos from the collection of Peter Cohen. Peter — one of the collectors featured in Other People’s Pictures — is an investment manager and lives in New York City. He has been collecting vernacular photography for fifteen years and currently owns about 6500 images. Peter searches for a wide range of subject matter, including (but definitely not limited to) kids in pedal cars, people in trees or standing on poles, ‘dangerous women,’ amateur nudes, double exposures, blurs and other ‘interesting mistakes.’

Visually, Peter’s photos run the gamut from the humorous to the sublime, but all of them exemplify the artfulness — often totally accidental — that can be found in snapshot photography.

Please join our mailing list if you would like to be notified when we post a new exhibition.

SAINT-CHARLES PRIEZ POUR NOUS/Marseille

La cafétéria, gare de Marseille

Un type devant moi pousse son plateau vide. Moi j’attrape un fromage blanc dans une coupe à glace, avec une cerise au dessus, et des crudités. Rien de dangereux.

Derrière les plats du jour dans des bacs en fer, un grand black avec un calot blanc.

Le type devant moi ( petit chapeau, et moustache noire à l’ancienne

_ Condoléances

_?

_Condoléances, si vous êtes des Comores…

_ Heu… C’est Allaah qui l’a voulu…

_Vous avez tout compris… Du riz et des calamars… Exactement … Oui Allah… Enfin. Mais vraiment c’est dur pour vous. Condoléances, vous pouvez m’en mettre un peu plus?

_ …. Du riz?

_Non, des calamars … Et du riz aussi. Un peu plus, parce que je ne fume pas…. Merci et condoléances…

On peut le croire « ça », le mec qui se permet « ça »? Ce con qui pour gratter 100 grammes de calamars gras d’une cafétéria ordinaire a la roublardise d’inventer « ça »?????

Je ne le crois pas. Un peu après il avale le tout, riz , calamars et condoléances en deux temps trois mouvements et achève son oeuvre avec une tranche de pastèque qu’il avale rondement.

On vient d’arriver et R. tourne demain. Coup de fil , ne tourne pas avant Jeudi. Merde . Remonté pour rien. Lui.

Assez contente d’être à Paris je dois dire surtout qu’Humphrey m’attend avec les raquettes de tennis.

humphrey B.jpg

Quand même les gens sont bêtes

_ 3 kilos…
_ 3?
Oui oui. 3 trois kilos cent , comme ça. C’est incoyable.Mais je les ai reperdu.
_ un diurétique?
_Non
_ Mais quand même. Je n’avais pas mangé grand chose. Le midi j’avais, écoutez bien, j’avais mangé une petite boite de sardines à l’huile, une merguez -une seule-salade ,un peu de fromage. Point. ..Non une banane aussi.Enfin une banane…. ( il ne parle pas du pain).
Le soir deux tranches de jambon, une salade.
Si on prend 3 kilos par jour en ne mangeant presque rien ça incite à se goinfrer.
C’est décourageant.

Mon beau château

C’est drôle et affreux en même temps le devenir de chacun. Un exemple, la pharmacienne ( collègue on s’en souviendra peut-être du sosie d’ Oscar Wilde ), et bien la pharmacienne de G. a cette année la bouche à peine tordue. Alors comme ça on peut avec les années se tordre. C’est bien ce qui est terrible. On est droit puis hop ( un hop assez lent) on est tordu. Ces pensées ne sont pas si philosophiques, je l’admet que les pensées de Sollers dans le dernier Journal du Dimanche.
Drôle je dois dire. Ca s’appelle Casino royal.
Le château de Kafka. Bon. Est il ridicule de dire que ( j’écris tout petit) de dire que ça me barbe. J’en suis à la page 120. Ce n’est pas une relecture. Mais je ne sais pas, c’est le système , c’est cette réalité magique qui me gênent. J’y vois une forme, et une pensée qui obeit à cette forme. Bon, je vais insister un peu, et continuer ma promende à contre-coeur dans l’administration, le pouvoir, l’absurdité.
Est-on, c’est ma question obligé d’aimer le Château de Kafka. En conséquence, je l’avoue la queue basse et la truffe posée sur mes pattes, je l’avoue, j’ai ressorti l’Ile mystérieuse. Pas d’arpenteur, pas de Frieda, pas de maire.
Pas de neige.
J’ai acheté une boule à thé neuve et un balai neuf.
La radio /un peu d’attente.

systeme D loin du Lubéron

Ci-dessous
La boule à thé astucieusement  réparée par mes soins avec un fil électrique et qui évite qu’on ne se brûle les doigts en la retirant car la chaîne  est cassée depuis mille ans
Dsc00020-1
L’antenne de la radio remplacée par un truc à brochettes metallique
Dsc00019
R. va hurler et me dire qu’il ne veut pas « de vieilles merdes »!!!!
J’attends avec impatience!!!
Sans image
Les deux trucs du parasol refixés avec deux gracieux boulons ( sortis d’une réserve spéciale car il manque toujours DEUX bouons au parasol.
Hop Lundi ;
_une boule à thé
_une radio
_un parasol!!!!

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