Rayon scénographie/ Rayon mise en scène

Ah encore une bonne critique pour le spectacle Le grand théâtre d’Oklahoma à Avignon. Pour info ce sera à Bobigny en Décembre et je pense que ça sera plein. Ils ont parlé du décor ! Cool. Ca me semble bien loin le temps où j’y allais franchement à reculons pour je ne sais quelle raison, je ne sais plus quand a eu lieu le premier RV. Le matin même il y avait zero maquette!!!?

Envie et pas envie ( le théâtre m’a toujours fait cet effet ) Mais là je suis bien réconcilié car l’équipe était super. Des constructeurs de Bobigny aux acteurs avec les quels j’ai tant ri. Bonne humeur et grande énergie malgré les handicaps. Ca donne à réfléchir à nos petits états d’âme.

Commencé comme je l’avais prévu des trucs moches en résine pour entourer la grande peinture et qu’elle soit encore plus chargée. Je fais des chaines. Mais ce serai mieux en une sorte de métal ou de bronze pourquoi pas.

Réenvoyé le projet de mise en scène pour la Scala (Je n’avais pas donné suite au RV de mai ou Juin ). On va voir.

bric a brac” ( de quel bric a brac sommes nous faits )”


Today pas brillant.

Est ce que quelqu’un a une recette pour que je speede un peu. Je tourne et vire. J’ai fait pareil pour le décor et tout d’un coup il était là sous mon nez. Mais la peinture ce n’est pas un décor !!!!

Je prépare l’expo de Berlin, maquette sous l’oeil ( qui voit mieux maintenant et RV pour contrôle demain à l’hôpital )

Tourne aussi autour de Guernica. Regarde le catalogue, ris au texte de Saura qui comme moi n’aime pas le tableau. Je me dis aussi en lisant les contemporains qui prétendent que l’oeuvre les a chamboulés, que c’est justement une oeuvre-mur, c’est comme Boris Karloff ( enfin bon je me comprends ) et James Whale qui ont bousillé l’oeuvre de Mary Shelley dans le sens où même si j’adore le film, il masque l’oeuvre d’origine, il empêche de lire le livre merveilleux et inattendu. ( Samedi 22h à Mauvais genre sur France Culture et Samedi 13h au collège de France )Le tableau pour moi s’impose aux seuls mots de Guernica et ensuite les images de guerre. Bon bref.

Bon.

Sieste non préméditée mais un peu quand même.

Pas sortie.

Ecrire l’exposition: Ben vazi fait le toi-même ducon

C’est ce que je conseillerais à un étudiant. Donc je vais le faire. Alors qu’est ce que je veux raconter? Hum hum. Ayant arrêté de peindre pour l’expo de Caen,et pour le décor j’en étais à la représentation du grand méchant loup nazi. Avec croix gammées à l’appui, ce qui rend proprement invendable-si on se positionne de façon mercantile- les peintures. CG n’en a pas parlé ce que je trouve délicat. Il ne m’a pas dit enlève les. C’est un drôle de truc la Svatiska et je comprends que seuls ceux qui ont été des victimes peuvent la citer, la dessiner, l’employer. On est tous néanmoins marqués par le nazisme, et les fantasmes qu’il a crée en chacun de nous, juif ou pas, allemand ou non. Pour moi, une promenade dans Berlin n’est jamais anodine. Je ne peux cesser de penser à la guerre.

Depuis Mars j’ai un peu la tête à l’envers à vrai dire et en plus cette histoire d’oeil qui m’a pas mal ralentie.

Rien à voir et je me demande comment j’en suis arrivée à regarder ça.

Vampyres sauteurs et ça, la fausse bouffe japonaise:

The fake food business got its start in Japan in 1917, when the first models were made out of wax, just like the artificial house plants of the time. Around six years later, a restaurant in Tokyo displayed artificial food to show customers what they had to offer and the restaurant saw a huge increase in revenue. Fake food on display meant more business, and that still holds true today. It does away with the guesswork and the need to use your imagination when looking at a menu. Aside from being appetizing, the food replica shows you exactly what you’ll get in terms of size and color, and assures the customer of its quality. If your food doesn’t look as good as its twin, send it back and tell the cook to try again.

 

Bref. Donc écrire. Oui . J’en étais exactement restée à la reprise de carnets de Mengele . Sortis de ses cahiers, des dessins assez joyeux, vraiment déconcertants. Des personnages,des meubles bavarois, des notes dans des cahiers d’écolier. Glaçant.

Glaçant, les images qui sont l’absolu contraire de ce qu’elles indiquent: figures amusantes sur les sous-larins nazis, dessins du médecin et accessoires pour les expériences avec les Bébé singes chez Harlow. ( je voudrais en faire quelque chose )

J’ai passé la journée sur l’ordi à en être ecoeurée passant de la guerre d’espagne, de la photo de Capa dans son bain, à de la fausse bouffe japonaise. Des maisons hantées japonaises aux paper-baloons très beaux

EN ATTENDANT

Post resté à l’état de brouillon.

Les livres de Kerr m’ont toujours emportée ailleurs avec délices. Quitter les années 2010 pour vivre sous le Reich, avec Bernie Gunther c’est quelque chose. J’apprends sa mort et aussi que l’on a le même âge. Hier diner chez D . On rit beaucoup à parler d’érotisme et de fantasmes. Pas bien dormi. Réveillée à 6h. Lire . Eteindre. Lire. Eteindre. Pfff … Vivement Mercredi… Mercredi c’est aussi le premier jour de FC . Cabine 3348. Puis RV en terrasse et je chantonne.

Jeudi, FC

Vendredi FC et RV au Palais de Tokyo. C’est sympa, on croise AP et BB et d’autres gens.Lesperformances sont assez lights,trop dirais-je.Elles ressemblent à des performances. Le tas de pommes de terre plutôt Beckettien est assez drôle, Les trucs dans la veine Dada font activité d’anniversaire<Bref c’est un peu Bozar tout ça. On va voirBelufa. Ça m’intéresse. J’ai un peu l’impression de Hirshorn dans l’espace. Le changement de place des présentoirs est drôle. J’aime beaucoup cette idée de se retourner et de ne plus trouver ce qu’on était en train de regarder. Il y a me dis-je un petit côté Tati là-dedans. Beaucoup de documents dont un album de photos, des oeuvres d’art évacuées pendant la guerre.

Samedi /S

Pas sortie de la journée

Dimanche travail/ Radio/S

Lundi/ Radio/S

Mardi Bobigny pour le décor. Il est vraiment sympa Mau ( Ma-au )

Beaux arts avec les premiers M2 / Quatre étudiants/

 

Pause dans le studio 3348. On a commencé le montage. J’ai un coup de barre régulièrement à 15h30. Il fait chaud, je ne fais qu’écouter ce que monte V. Mais là c’est interessant. Les autres jours quand on importe les sons, c’est plus ennuyeux.

La fin de la semaine va être copieuse. Je ne peux pas partir chez S. Trop de boulot, dommage : Vendredi on enregistre mes textes qui ne sont pas écrits pour certains car j’ignore à quel endroit ils apparaitront. Bon, ya un mec qui parle fort dans le couloir. On part quand à Avignon pour le festival. ( Tiens ce midi c’était pas bon la bouffe ). Puis lundi encore radio puis après décor ( peinture du sol et couture du rideau ) avec en options le WE prochain. Donc idem. Peut être aller à l’école ensuite mais ça me semble mal barré. Er je dois sérieusement préparer Berlin??et  voir si je prends Max pour faire une sculpture. Je n’ai toujours pas monté la maquette que la galerie m’a envoyée.

Les BA, c’est fini ( sauf jurys ) . C’était le dernier cours hier.

Des fleurs dans les jardins, un message , des rires.

On passé la soirée avec J. hier. On a bien ri.

La domenica

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J’ai écouté les Regardeurs. Bon. Ça va, c’est pas la honte. Le trio est pas mal avec moi qui pose des questions. De toutes façons je ne peux pas faire la mariole avec quelqu’un comme Philippe. Sinon j’aurais l’air de Bouvard et Pécuchet. Mais c’est un exercice intéressant.

Apres l’émission je me suis précipitée vers le métro pour aller à Argenteuil. Puis soudain j’ai regardé l’heure. 15h 20. Nan. J’y vais pas. Trop tard. Suis revenue sur mes pas. Le Dimanche c’est un peu le jour le plus difficile. On ne faisait pas grand chose. J’allais au tennis . Ensuite je restais ici. C’était bien. On faisait du thé. On allait en fin de matinée faire des courses en râlant contre les enfants modèles de la rue des martyrs. On faisait les vieux cons anti-trotinettes. On râlait, on riait et on achetait la délicieuse purée de chez Plume en bas. Et un gâteau pour moi. Le « re-enactment «  du gâteau du Dimanche dont je détestais le cérémonial quand j’étais enfant.

Je découvre Bambi , le vrai , le livre écrit par ce juif Hongrois et interdit par les nazis. Le sous titre est je crois , un peu comme celui de Walden, Une vie dans les bois. Mais ce qui est très clair , c’est que c’est un livre sur la peur , la menace, l’inquiétude. C’est très simple et très beau.

Je cherche un appartement à Naples pour y partir un mois. Mais quand. Pas possible avant un an. Travailler là bas me plairait beaucoup. Le moi de Mai serait parfait.

Je suis seule à la maison. Par moments ma tristesse est agréable et je me demande si je me rends réellement compte. Mais dès que je me dis ça j’ai les larmes aux yeux, le dernier moment en tête. Le dernier moment avant le moment et moi, assise dans le couloir de la réanimation, avec mon café posé devant mes baskets. Digérer ce qu’ils viennent de dire. Digérer que c’est fini. Les pleurs de C dans l’escalier, ceux de J. dans les toilettes et moi incapable d’un bruit. Pétrifiée.  Donc je me rends compte bien sur. Parfois, ça me semble trop ou très vivable. C’est le travail qui me maintient, les fréquents signes des autres. Les petits mots.

Bon. Ca va bien.

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Le mal est fait

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Studio Avec Jean de Loisy, Phlippe Morel et Sandra l’assistante de J2L

Mail de moi

J’espère que ( foi de vaudois ) je ne t’ai pas fait honte !!!!
Baci

Envoie moi le texte des yeux-crapaud stp

Mail de Philippe:

Eccolo le petit crapaud ! Je trouve que l’on s’est pas trop mal débrouillés et je trouve Jean de Loisy sympathique…

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Il suffisait de chercher à Vaudois ( mais il suffisait de savoir qu’il fallait aller chercher Vaudois, auquel on rajoute bien sur une grenouille ou un crapaud et hop). Bon effectivement je crois que ce n’était pas mal et que je n’ai pas été trop lamentable… Enfin. Ce n’est pas à moi de juger. Merde la bio…

Banque. misère je ne comprends rien. Et pour me désintoxiquer, le films de Ken Loach . Dur dur mais nécessaire. On en sort quelque peu abattu.

Maison et soupe.

Aujourd’hui on a montré la maquette à C et envoyé les captures à C. Bien sur , ce n’est qu’un début mais la ligne est trouvée. On s’y remet demain matin.

Fatiguée.

 

 

Cher, cher Jacques Taroni…

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Non,  non, mon cher Jacques comment peux-tu nous laisser en plan?

Personne n’est d’accord.

Je savais depuis une semaine que tu étais rentré à l’hôpital… U. me donnait des nouvelles…

” A la radio l’image est plus grande”.

Toi c’est ton oeil qui était le plus grand… Là sur cette image… Ton oeil… Je ne l’ai jamais vu autrement que vif, acéré, grand ouvert comme si chaque instant de la vie était un truc incroyable-une vague énorme, un toit qui s’envole, un avion qui tombe…un aveugle qui retrouve la vue, un miracle…

Sur le qui-vive.Toujours… Toujours bienveillant. C’est un beau mot bien-veillant qui ne concerne pas vraiment tout le monde! Ta vivacité incroyable. Un ton amusé… Ton recul. Quelque chose d’enfantin dans le plaisir de découvrir et dans la façon de toujours s’émerveiller.

C’est rare.

Le mot Vanité ne devait pas t’évoquer grand-chose. Aucune Vanité chez toi. Aucune. Une réserve, une écoute…Tu restais légèrement en retrait, à l’écoute…oui … jamais en avant…

On s’était rencontrés pour l’enregistrement de mon Cerf Coco avec Edith Scob. C’était la première fois que “je voyais”la radio, plus exactement  un studio avec les bruiteurs et toi qui dirigeait tout ça. J’avais demandé à rester 5mn. Je m’étais assise et avais fermé mon bec. “ On pourrait ne pas faire grincer la boite? ” Je crois que ce sont les seuls mots que je t’ai dits. U. me parlait souvent de toi et de G. Puis, grâce à lui. Nous nous somme mieux connus et G. aussi. Je n’ai le souvenir que de moments rares et délicieux. De rires, de vin… Ton élocution particulière… J’essaie de t’entendre. Tu parlais super vite.Comme si tu pensais trop vite …  Avec parfois un tout petit claquement de bouche et une façon particulière de dire le IN, AIN, UN. Un air gourmand et malicieux. Merde alors.

Là maintenant je vois: Toi dans l’autobus qui revient de la Maison de la Radio; Tiens Jacques!!!

 Tu avais si je ne me trompe pas, un carnet avec tes RV et des notes manuscrites. Un carnet d’autrefois. Plein, saturé. Je me trompe? Est ce que je confonds avec celui de D.P?

Là je t’entends… avec Blandine Masson, sur le site de France-Culure que j’ai guetté ces jours-ci, sans nouvelles.

U. M’a envoyé le mail ce matin, qui suivait les inquiétudes des jours précédents.

Voilà. R est bien triste lui aussi.

La dernière fois en décembre le 14, on était chez U avec C. Y . G et la petite C.

Je pense à G.

PS: Le père de D. a décidé de partir avec toi….

Grrrr.

Dur

Aujourd’hui j’enregistrais à France-culture, studio 119.

Le montage est fini grosso-modo, et ne reste que ma voix et des bruits à ajouter. J’ai tout réécrit après l’écoute avec VL , Vendredi.

Bon. “Il n’y a plus qu’à”, comme on dit.

J’adore le 119 où Edith a enregistré ce que j’ai écrit pour elle l’autre jour. C’est un peu désuet , il y a un grand piano à queue ( un piano à queue tout simplement ) . Je dois suivre si je veux écrire les préceptes de Stevenson:( Alberto Manguel/ Stevenson sous les palmiers )

1 Guerre à l’adjectif

2 Mort au nerf optique

Zut je n’arrive pas à changer de police. Bref.

Donc j’arrive tranquille ( enfin vue l’atmosphère actuelle, ce n’est pas le bon mot-mauvaise nuit, réveillée sans cesse, hier soir avec V. aller retour à A. pour vérifier que les fenêtres ne fuient pas et que la pluie  n’abime pas les dessins)

J’arrive tranquille avec mon texte.Je ne doute pas de moi une seconde. Je vais lire ce texte et basta.  Je le connais. C’est moi qui l’ai écrit.

Mais , damned, je ne suis pas comédienne.

Edith est là-haut en cabine et V me donne les indications. Au début je désespère. Ça ne va pas. On sent que je lis et je n’arrive à rien proposer. Rien d’intéressant,  je l’entends.

Les micros sont magnifiques. ( Je pense à Christophe Atabekian )

J’en ai 3: Un pour ma voix intérieure ( mais va-s’y toi … La voix intérieure comment je fais? Un pour les notes/ C’est plus simple et le troisième, j’sais plus pour quoi.)

De toute évidence , en plus, il faut changer le texte trop littéraire. ( enfin, je ne suis pas V Woolf, mais c’est écrit.Trop).

Je lis, je relis, rata-lis, corrige.

Puis ça s’arrange. J’ose . Je ne vois pas Edith là-haut…

Il y a la lumière rouge. Zut, je tape sur la table avec mes mains, zut , on entend ma feuille, zut , je suis trop loin du micro/ Il y a toujours quelque chose.

Mais:

J’ADORE faire ça.

On est bien à l’abri, bien enfermé. Toutes ces voix enfermées dans une boite, la radio, ça me plait infiniment.

Le café est immonde. J’adore aussi.

Plus + tard

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Pas envie d’aller travailler

Regardé les photos des bals, de Bérard, etc. Il faut que je montre ça à la Comtesse quand je la verrai à Venise. Elle qui a fait ses débuts au petit théâtre de Bestégui…

Tiens en parlant du post précédent ( avec le noms qu’on ne connait pas )… Un jour, il y a cent ans, je suis invitée à Culture-matin de Jean Lebrun. La veille on avait vu L. et son ami. J’étais rentrée plus tôt pour être fraiche.

Brigitte Benderitter m’accompagnait. On avait RV à 7h. J’avais sérieusement la trouille. Bon, j’arrive et la grande info ce jour-là, c’est la mort de Boris Kochno.

Putain, et moi à l’époque et bien, à l’époque je ne sais pas qui c’est BK… Je ne sais pas si c’est un grand chef, un sportif, un ecrivain, un pilote de chasse.

J’adore les ballets Russes et je ne sais pas qui est ce nom qui vient de mourir…

Quand Lebrun a dit ça je suis resté muette. Il a ajouté:— “Un ange passe”. Puis un deuxième ange est passé quand il m’a interrogée sur “l’asphyxiante culture” .

Pourquoi me demandais-je , pourquoi me parle t’il de Dubuffet. En fait comme j’avais des trucs dans un revue et qu’à la page d’avant il y avait ça, il a cru que j’avis choisi un texte de Dubuffet.

Re-merde.

Bon je passe une robe fourreau et ma zibeline, prends mon vélo en or et file à Argenteuil.

—Argenteuil?

—C’est à côté de Saint-moritz

—Ah bon? Ah tiens…

Re-gris

A 8 heures j’avais envie de respirer.
Alors dans la nuit j’ai décidé d’aller Porte d’Orléans à vélo.
Ca me semblait délicieux d’être dans le frais. Peu a peu j’ai enlevé le cache-nez puis le bonnet. C’était bon de traverser le Louvre,puis de traverser la Seine. Je suis toujours émerveillée quand je circule à vélo. Comme si c’était la première fois.
Il y avait des grandes plaques de neige qui glissaient sur le toit du tennis. C’était comme un rideau qui s’ouvrait  brutalement là au dessus de nos têtes.
Je me sens bien à A. Travaille sans me poser de questions pour le moment.
Hier soir dîner agréable chez E. avec B ; et aussi G, juge d’application des peines. C’était intéressant. Intéressant aussi, le  “Sur les docks” de cette semaine avec des témoignages ahurissants de pédophiles.
Les enregistrements sont faits à la prison dans des services de soins psychiatriques… Et ce que disent les types est désarmant. .

Drip 8

Drip 10

Drip 1

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Sur cette armure et ce heaume que je porte…

Belle petite grisaille en perspective, et velo main froides. Acheter des gants. Pas pris le temps de finir Les Anonymes de Ellory.

Il faut tout manger en une fois.

Morceler comme je le fais dans le trajet ( trop court quand on a un bon livre) pour A. c’est du gâchis.

Devant les quais 23 ou 22 , ils ont mis des grandes images de plage et de parasols. C’est le train pour Deauville qui me tente toujours Ce n’est pas que j’aime Deauville, je n’aime pas trop ces coins qui sentent le week end, ni la Normandie, mais la perspective de marcher des heures ou de pédaler le long de la côte me fait saliver.

Il fait 15 dans l’atelier et c’est bizarre je n’ai pas froid

Thé chez D. en passant et gâteau au chocolat. Puis la journée passe on ne sait comment, à regarder regarder regarder ce que je peins. Café pas bu. Thé refroidi… Radio. France Culture décidément très ennuyeux depuis la rentrée. Je ne sais pas tout me semble monotone. Pas les émissions en elles-mêmes qui sont souvent passionnantes, mais l’ensemble. Et La grande table est un pensum. Reviens Arnaud reviens!!!

Je ne suis pas seule à penser que tout à coup c’est gris gris. Triste? Voilà. C’est triste.

On commence à entendre parler de Noel

Je note:

“Les objets de l’art sont tenus de produire du commun “( hier pendant l’émission sur Heiner Muller)

“Fabrication des aimants permanents”

 

Passe devant une entrée d’entreprise. Grandes portes de verre. La boite s’appelle humblement Optimind!!

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Je ne sais pas où j’ai trouvé ça

Ben… rien

Décidé d’écrire le WE et d’aller à Argenteuil toute la journée lundi-Vendredi. Sinon c’est difficile. Peinture pénible. Beaucoup d’envie mais résultat pas terrible.

France Culture est de plus en plus ennuyeux. Surtout la monocorde “Grande table”J’en viens à regretter Arnaud Laporte qui était plus vivant que tout ça.

Tellement peu écrit que je n’ai rien dit de l’élection de Miss Cocotte à la Machine du Moulin Rouge. C’était très drôle cette Flash Cocotte”. Les garçons déguisés en Twin Towers transpercées d’avion ont gagné mais le magnifique jeune homme aux lourdes paupières paillette-émeraude et homard en pendentif, n’est que Dauphine.

Ah si j’avais écrit mais l’application a quitté alors j’ai arrêté.

Hop. Pars au theatre pour dîner avec E. et F.

Difficile et même imposible de skyper avec AM depuis l’été pas vue. Zut. Je réessaye Samedi

1701

Un peu de dessin ici, et départ sous la pluie à A. Je lis en sautant des lignes Agnès Grey , de Ann Bronté, et terminerai le livre en attendant D. plus tard.
Comme Y. m’a donné de drôles de matières, j’essaie et le noir velours me plait beaucoup.
Appelle C.A pour remettre à demain.
Croisé personne.
Pas déjeuné.
Attrape au retour un pain au chocolat pas assez cuit chez le boulanger près de la gare.
Ecoute Yves Michaud sur FC et avant Saura chez Michel Ciment.
Jamais vu un de ces films. Le type est agréable à entendre mais je n’ai jamais eu la moindre envie de voir ses films. C’est bien?
Retour pour aider D. qui a une bronchite carabinée à faire des courses. Manif autour de l’opéra tout est bouclé.
Un monde fou à Saint-Germain. En fait comme je ne sors jamais le Samedi j’ai cette impression. Qu’est ce qu’il y a comme horreurs dans les galeries… Ou c’est daté ou c’est hideux, ou c’est moche et daté.
FLICS GAZA.jpg
Achète du vin sur la route. Il fait très doux.
Ai ressorti le livre de Giorno : “La sagesse des sorcières”
Hier vu “Un coeur simple”
Là, je ne sais qui rit de façon diabolique. C’est le générique de mauvais genre.
Franck passe prendre les clés de la voiture.
J’ai faim.

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