Entre 2 tours

15 avril-29 mai

Descendue à l’école

neige

promenade dans les bois avec raquettes/ visite à Janne/ Diner devant la cheminée avec P. et E / lecture et France Musique

Navet : Les adieux de la reine

SMS de guy qui s’annonce à l’expo. Puis SMS de commentaire quelques jours plus tard. je suis contente

projection a Cinétoile

passage à chalon pour prendre les elements construits par D.

remontée à 100 à l’heure pas plus avec le bardas sur le toit

Dernier jour expo à la galerie

Passage d’Edit Scob .Penser à quelque chose avec elle.

Soirée improvisée au bar du coin.

Argenteuil photos pour cet été.

prends la voiture car il fait trop mauvais/ radio émissions sur la mode intéressantes.

Penser à un projet hum hum pas facile.

diner chez CA.

lecture du dernier Roman de Dickens ( Mystère Edwin Drood )

Une année studieuse de Anne Wiazemsky

Ecrits de Tacita Dean

Vernissage Galerie puis Unesco avec Alice.

Anniversaire D

Transport ce matin . Camion à 15h

Alain Cavalier sur France-culture. Hier soir je me lance et déclare détester “Pater”. Complaisant narcissique et suffisant.

Courses. Poulet. Maria T

Passage de C.


J’oubliais LES ELECTIONS

Sarkosy encore pire que pire/ Ironie, mensonges, débats impossibles avec ces teignes.

J’espère qu’il est bel et bien foutu mais prudence


Demain matin:


tennis court.jpg

Revelation avec candélabre

Alors que nous dinions chez U., il nous parla de Liberace tout en nous mimant son entrée spectaculaire que vous pourrez voir ici.

Attention, âmes sensibles vous devez savoir qu’après cela votre vie ne sera plus exactement la même

Un chef d’oeuvre absolu que je ne connaissais absolument pas.

Depuis ce matin je pouffe de rire en regardant des shows mais aussi des invraisemblables tenues, bagues et candélabres. Vestes en lamé, manteaux extravagants…

Shorts_1.jpg  

Ce “short” me ren évidemment absolument dingue. Je veux LE MÊME.

 

Pink_2.jpg

85prog.JPG

Nous avons passé une soirée très drôle . Entre U. et sa traditionnelle blouse blanche ,le garçon charmant au bras cassé et celui à la voiture de sport censée disparaitre à une certaine vitesse selon la loi des couleurs, j’avoue …

Je ne sais pas à quelle heure tout le monde est parti mais je suis arrivée à la maison à 3h. Portant mon lourd carton de bouquins comme une fourmi depuis le métro La Chapelle jusqu’à la maison.

Donc mon départ prévu ce matin a été remis à demain.

Samedi midi déjeuner avec J. et nous parlons de son livre, du titre à trouver etc. Alors que nous manipulons comme nous le pouvons nos club-sandwiches, apparaitM.P , pas revu depuis…. Hum hum.

Cela me fait plaisir. Il est toujours aussi sympathique.

Beaucoup de monde à la galerie. Sans doute l’article de Dagen??

conclamatio/ NOTE

Et Le Monde du 1 avril 2005, dans son édition informatique, écrivait ceci:

Quand le pape meurt, c’est le camerlingue qui constate officiellement le décès, en présence du maître des célébrations et du chancelier de la Maison pontificale.

Jusqu’à la mort de Pie XI en 1939, le cérémonial voulait qu’il frappe trois fois le front du pape et l’appelle à trois reprises par son prénom de baptême.

En l’absence de réponse, il se retournait vers les assistants en disant :

« Le pape est vraiment mort. » Désormais, le constat du médecin suffit. Mais ce sont le camerlingue et le chancelier de la Maison qui dressent l’acte de décès.


conclamatio.jpg

Yeux

Bronte.jpg

 

Ai terminé le J.Coe. C’est très agréable, étonnant que tous ces personnages épars se retrouvent plus ou moins au même endroit. Drôle aussi l’invention de ce réalisateur aux films perdus ou détruits ( ne reste qu’une seule image ) . Il aurait inspiré à Pasolini Salo. C’est une bonne idée.

Pour les transports c’est l’idéal ( si j’étais écrivain, je n’aimerais pas entendre cela. Disons que pour les transports c’est l’idéal aussi. J. Coe est né en 1961 mais il a l’air plus âgé d’après ce que j’ai vu??

Presque fini Forêt noire de V. Mrejen.

Dentiste.

Courses de bouffe. Queue.

Demain Maison des A.

Allez chez Otrad, chez Ikea,Argenteuil.

RAS.

Pris billet Nice Rennes pour Juillet . Ouf je n’aurais pas tout ce train , toutes ces heures dans des trains aux périodes de vacances qui plus est .Restera quand même Rennes Pontivy…

Le prix est le même à peu de choses près.

 

Tiens comme par hasard je choisis cette image avant de parler de Coe. Il y a tout un passage où il est question d’yeux, de fantasmes, de regard. Tiens tiens.

Et alors qu’hier je trouvais un titre à des histoires que je voulais écrire, et me disais que l’une d’elle serait le retour de ma mère et une promenade avec elle, je trouve une situation semblable dans Forêt Noire.

 
bronte manuscript.jpg

Written when Charlotte was 14, and dated 1830, The Young Men’s Magazine, Number 2 measures only 35 x 61mm.

However, its interest to scholars – who, following the manuscript’s purchase by La Musée des Lettres et Manuscrits in Paris, will be able to study the work – is not proportionate to its size.

Contained within the Magazine’s 19 pages is a vivid tale of murder and madness entitled “A Letter from Lord Charles Wellesley”, which includes an episode prefiguring one of the most famous scenes in fiction:

whenJane Eyre’s Bertha – the so-called “madwoman in the attic” – sets fire to her husband Mr Rochester’s bed.

CUCU BABA? EXTENSION DE LA SOUPE

Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel quand je lis ceci.

En pré-ouverture de La Triennale 2012, Rirkrit Tiravanija est invité à transformer la Nef du Grand Palais en un gigantesque banquet festif dont le menu consistera en une soupe Tom Ka.

De midi à minuit, le Grand Palais est gratuitement accessible au public afin de partager une soupe préparée et offerte par l’artiste et son équipe.

Généreux mais modeste, collectif mais singulier, Soup/No Soup se veut un grand rassemblement où chacun pourra vivre une expérience immatérielle ( ????????? ), basée sur la rencontre et la générosité.

De midi à minuit. Ouvert à tous et gratuit.

Peut-être que je manque d’humour au fond. “Un banquet festif ” ???? Je ne sais pas ce que cela veut dire? Que la corporation artistique va venir boire son bol de soupe???? Allez!!!!

Que des gens personnes puissent manger gratuitement , je m’en réjouis, mais je ne pense pas que les abonnés aux Restos du Coeur, Secours pop, catho et autres gens “dans la merde” aient vent de ce repas culturel.



sommeil

Cette nuit sommeil réparateur après les 5 heures de tennis hier. J’ai mal partout ce matin. Je continue avec un café la lecture de Jonathan Coe – La maison du sommeil-
Suis étonnée d’être comme le personnage principal Sarah, à confondre le rêve et le réalité. J’ai rêvé que je proposais mon invitation Degas de Mercredi prochain à V. et en regardant mes messages je trouve un sms de réponse.

Ceci m’a donné la désagréable impression d’une réponse au rêve et non à la réalité. J’avais envoyé moi même un sms il y a plusieurs jours puis oublié.

Rêve récurrent de ma mère et d’Amiens. La voix fatiguée de mon père qui me demande d’aller voir ma mère laissée seule dans le garage transformé en chambre d’hôpital. Très désagréable.

Dimanche j’étais à Rome, laissant la place Navone entourée de palissades sur ma gauche et dans de minuscules rues je pédalais jusqu’à la Fontaine Trevi.

Pour en revenir au sport, c’était bien de jouer avec des personnes différentes. Mais je n’aime pas trop ces atmosphères d’équipe ( il y avait les rugbymen, “les dirigeants ” qui font les importants, les écharpes avec des trucs écrits.)

C’est pour cette raison que je n’ai jamais voulu faire un sport à l’école. Eviter absolument les cars, les déplacements, les tournois.

 

Samedi-Galerie. P.D reste un bon moment.

Visite rituelle de G.J qui vient comme tous les Samedi voir le film. Il m’apporte de délicieux petits sablés. A. avait de son côté préparé un gâteau au chocolat.

Dois regarder le film de JM Meurice, le cercle noir.

Dimanche prochain à cette heure ci je serai presque arrivée.

nouvel economiste.JPG

“Le nouvel économiste” ou j’ai la presse internationale aux trousses

J’aime bien ce petit article et qu’il soit dans une presse non spécialisée.

J’ai eu ma partout toute la journée. C’est délicieux.

Donc pas sortie de la journée. V. m’envoie cela de Versailles

P1210130.JPG  

NOTES PAPALES!Chercher des crosses

Pape: chef de l’église catholique romaine.

Fanon papal: deux pèlerines superposées et cousues au niveau du col.
Chasuble: robe de dessus à encolure dégagée et sans manche.
Écharpe: longue bande décorative que l’on passe autour du cou.
Soutane: robe longue qui s’attache avec des boutons sur le devant.
Aube: longue robe blanche de dessous.
Étole: longue bande de tissu doublé et décorée de croix portée autour du cou.
Anneau papal: anneau de grande taille en matériaux précieux.
Mitre précieux: haute coiffure conique à deux pointes.


“The Amazing Harold Edgerton (1903 -1990)”

Edgerton built a special lens 10 feet long for his camera which was set up in a bunker 7 miles from the source of the blast which was triggered Nevada – the bomb placed atop a steel gantry anchored to the desert floor by guide wires.

The exposures are at 1/100,000,000ths of a second.

harold_edgerton explosion atomique.jpg

Harold Edgerton explosion atomique

Capture d’écran 2012-04-01 à 14.48.44.png

Courir plus vite

C’est amusant que des gens intelligents qui montrent leur travail, que ce soit des artistes ou je ne sais quoi, prennent la mouche quand on n’approuve pas forcément. Je vais au théâtre , aux expositions, au cinéma…

Libre à moi de réagir et de penser ce que je veux.

Sinon. Que chacun reste chez lui ( soi ?) et ne risque ainsi aucun commentaire flatteur ou désobligeant, injuste ou plaisant.

C’est marrant ça quand même. Bon. Et puis les cases: On aime la peinture alors on ne peut pas aimer le reste. Mais c’est quoi le reste? Et c’est quoi la peinture et l’un est il le reste de l’autre.. Ben tiens! Ben tiens tiens!!!

Le problème est que tout cela n’est pas une question de forme mais de fond. Alors peinture ou autre chose.. Et certaines oeuvres ont un costume de concept. C’est comme les père-Noel quand on voit leur pantalon qui dépasse du manteau rouge.

Une autre fois j’avais réveillé la foudre d’un rocker un peu connu que j’avais entendu sur France Culture. Sa suffisance était un chef-d’oeuvre en soi. Je n’en étais pas revenue.

Bon, on s’en fiche.

La première heure j’ai joué au tennis comme un iguane et je ne m’en apercevais pas. C’est drôle de ne pas avoir la conscience de son corps.

—Qu’est ce qui se passe?

—Tu peux penser à bouger?

—Je bouge, je ne fais que ça.

—Ah bon…

Il faut dire que ça commence à s’accélérer et mes jambes parfois ne m’obéissent pas à 100 pour 100.

Je crois que et Roland Garros et le Goncourt sont fichus pour moi

Oh et puis merde.

Revenons à cette histoire de concept pictural bien plus passionnant .

Celui de cet article concernant les éléments grotesques sur les Quatre portraits.

Allez je finis Miss Mackenzie le peu passionnant livre de Anthony Trollope, mais je l’aime quand même. Oui je dois l’achever car il y a la queue derrière: Le Muss de Malaparte, le livre de V.Mrejen, les Didi-Hub, la leçon de peinture du duc de Bourgogne, un Jonathan Coe, le dernier Ellory, et j’en passe.

Je pense parfois a cette image de Jason Dodge et à son exposition il y a longtemps chez Yvon Lambert

Capture d’écran 2012-04-03 à 19.35.51.png

Des Mains, des mains

orlac5.png

201204031200.jpg

C’est quand même pénible.

A nouveau tout a disparu de ce que je venais d’écrire.

Ne reste que ce carton des mains d’Orlac.

J’y disais ma satisfaction d’apprendre à qui appartenaient les mains que j’avais postées .

Un mail de G.A m’apprend qu’il s’agit de Bronzino.

img-3.jpg

Le tableau est magnifique.

En cherchant d’avantage je trouve un dossier intéressant sur quatre peinture du même Bronzino, un ensemble où apparaissent si on regarde bien des grotesques.

Quatre portraits peints par Bronzino entre 1530 et 1555 sont ici analysés afin de dégager quelques caractéristiques de l’ironie picturale.

Souvent classées par les historiens dans les registres soit comique, soit sérieux, ces peintures n’ont jamais été appréhendées dans leur polyphonie ironique.

Or, des grotesques qui ornent chacun des portraits, se dégagent, par leur personnalisation adaptée à chaque modèle, plusieurs sens opposés et néanmoins conjointement présents.

En s’appuyant sur certains acquis linguistiques, tout en préservant les spécificités visuelles de l’image, cet article tente, dans un premier temps, de décrire le mécanisme de l’ironie picturale.

Il s’intéresse dans un deuxième temps aux conditions sociales, historiques et biographiques qui ont permis la production de telles œuvres dans la Florence renaissante.


img-1.jpg detail.jpg

img-2.jpg deatil.jpg detail2.jpg

img-4.jpg detail3.jpg

SANS POISSON

Promenade dans Paris, et un thé rue Monge avec un fond sonore portugais.

A l’intérieur ça danse. C’est comme un bal de campagne.

On a regardé passer les gens, ce qui est l’exercice que je préfère…./…

Curieusement la population est assez mélangée. Bien plus que dans notre quartier.

Je regarde Omar m’a tuer sans le finir car je vais être trop en retard puis file rue Lafayette à vélo.

Diner chez G.et A

…./…

Retour vélo et bouffée de Ventoline pour effacer le souvenir du chien noir malade avec des attelles aux pattes.

promenade sur ARAGO

chevalier.png
Je me réveille assez mal. J’étais à Berlin et D et D tenaient un bar. Un groupe d’artistes Français arrive pour une exposition et j eme demande comment je vais m’échapper. Je cherche désespérément le titre d’un livre. Je décris ce livre mais à la librairie de l’opéra ils me proposent tout sauf ce que je cherche. La fille me dit: C’est le viculus énigmaticus?—Oui c’est cela…( VICULUS, I, m 1 siècle avant J.C.CICERO (Cicéron) bourgade n. f : village aux habitations dispersées/ petit bourg )
Ficopomatus enigmaticus feeds on suspended detritus and phytoplankton with its crown of ciliated gill plumes, which it extrudes from its tube opening.
Bon. Puis qu’il en est ainsi… J.G traverse lui aussi le rêve. Il y a un film sur lui et il ne veut pas le regarder dans cette grande salle de cinéma.

Hugo

photo 2.JPG

Donc je ne sais pas pourquoi tout a disparu alors que je parlais et citais «le promontoire du songe».Je me demandais pourquoi soudainement j’avais en tête une rue en pente de Beauvais, quartier Voisinlieu- apriori rien à voir avec Victor Hugo- juste à côté de la Manufacture de la tapisserie.

Puis une autre phrase du promontoire et je me retrouvais sur un banc, aux premiers rayons du soleil près du plan d’eau à côté d’elle.Toute menue dans son manteau gris et bien protégée par un bonnet elle mangeait avec joie une glace.

Je l’accompagnais et me moquais d’elle. On était contentes.Elle, la soeur de ma mère et moi, comme autrefois lorsque c’était elle qui mettait mon manteau, elle qui m’achetait une glace et prenait garde à ce que je ne me tâche pas.

Puis je l’avais ramenée chez elle, aidée à enlever son manteau et a enfiler ses chaussons.Elle était contente. Me reste d’elle sa voix et quelques moments filmés avec la caméra où le téléphone.On est loin du noir et de la lune

photo 5.JPG

Ci-dessus un brûle parfum bizarre, comme un casque de guerre, aussi laid que beau et offert par Alexandre Dumas

Ce samedi il fait gris et mélancolique. Je sors et roule vers la Place des Vosges. J’ai froid malgré le bonnet. Hier c’était l’été.Plus tard dans l’après-midi, je serai contente de récupérer mon manteau laissé à la Galerie pour cause de «trop chaud»

L’exposition à la maison de Victor Hugo, les arcs en ciel du noir, conçue par Annie Lebrun est magnifique. Nous avons tout d’abord visité les appartements. Le salon chinois est une merveille et aussi dans la pièce précédente un miroir de Venise gravé ou peint, je ne saurais dire et dois chercher à ce sujet.

Les tentures avec papillons, les meubles si particuliers conçus par Victor lui-même et son ébéniste, le lustre aux bobines de fil…


Parfois dans les musées j’ai l’impression que je ne retiens rien des images, que je ne les vois pas même. C’est très désagréable. Comme si je n’avais plus de neurones disponibles pour capturer la réalité. Déjeuner avec V.

SMS de G qui est à Paris et me demande si je veux aller à la Tartine. Il suffisait de me le dire avant. Le soir je ne suis pas libre non plus. Impression de servir de pis-aller ou d’accompagnatrice. Je ne veux pas de ces relations. J’ai proposé un thé avant le départ du train, mais ça ne va pas.

Tant pis.




Retour en haut