C’est lui Mister Perrukesmore.
Et pour en voir davantage c’est à la NYPL
La perruque Egyptienne et son coffret n’est pas mal non plus.
"Dans la vie on devrait tout essayer sauf l'inceste et la danse folklorique" Christopher Lee
« C’est comme si je me sentais plus léger en notant tout sincèrement » – S Maraï
C’est lui Mister Perrukesmore.
Et pour en voir davantage c’est à la NYPL
La perruque Egyptienne et son coffret n’est pas mal non plus.
Chère Hélène
.../ j’ai cru comprendre d’après ton blog que tu ne levais plus le nez de Consuelo, ce qui me ravit.
Nous parlerons de Stevenson un jour, mais d’ores et déjà : as-tu lu sa correspondance avec Marcel Schwob (Ombres) ? (Ce sont surtout les lettres envoyées par Marcel, en route “Vers Samoa”, mais il y a quelques réponses de Stevenson.) Puis connais-tu son merveilleux “Charles d’Orléans” (Le Promeneur) ? Et as-tu mis le nez dans “Notre aventure aux Samoa”, écrit avec sa femme Fanny S. (Phébus) – un drôle de livre et une drôle de femme que celle-là ?
Bon, j’arrête… mais quel plaisir de voir que tu aimes aussi La Maison d’âpre-vent, l’un de mes Dickens préférés !
Ollala
Ollala de Stevenson, pas lu et connais pas..
Tel de D. qui est devant la Villa Médicis…
GRANDE NOUVELLE=
Paris, le 1er octobre 200922h09Je viens de terminer ma (première) lecture de La Recherche
Je l’avais commencée le 1er juin 2009
Bravo bravo je suis jalouse et Moi je l’ai vu souffrir; j’y étais….
Entre U. qui finit sa “recherche“, V.P qui a été chosen” pour have been chosen to perform at The Robin Howard Dance Theatre at The Place.”, et E. qui bourdonne, la vie continue.
NYPL
FORZA ROMA
J’ai un peu la flemme d’écrire, de raconter mon plaisir ce soir à la librairie Cine Reflet. Mais quand les moments sont délicieux…Plaisir de rencontrer JMM etc…
118 000 . Quel numéro demandez vous?MONORUM.Dans l’entréeMonsieur est en train de dîner avec ARTE. Il picore dans des bols ( la télé est posée sur la table et me rappelle les dîners chez GG, avec elle comme invitée.); Puis il chante Hélène aime les nems , qui est assurément un tube si l’on s’en occupe un peu.
Dans le métro des splendeurs.Un type assis avec un super gros appareil photo. Il fait mine de rien et photographie. Je fais mine de rien et prends des poses inspirées!!!
Un type jeune , genre gris assurance .
Son amie a repéré sur sa veste un nano point plus clair. Elle le gratte du bout de l’ongle alors qu’il dit:—Il parait que sur UN CV ça fait bien de dire qu’on est dans un club d’oenologie…
— ” Encore une tâche ” dira t elle agacée!!!!! dans 20 ans….
Hum Une fille ou un homme. je ne sais pas; Splendide comme un guerrier, comme la guérilla à lui ou elle tout(e) seul(e). En beau treillis. parle seul(e), tic aux yeux; Un Coréen a sous le bras “La douleur ” de Duras…Oui au moment où la douleur était sur le visage de cette géante camouflée androgyne aux percings délicats.
C’est qui là???
En fond depuis que je l’ai quitté, toujours D.D, Menicuccio qui monte gravement dans sa minuscule auto. Je le vois rouler, penser à cette soirée,penser à FéFé,( moi je cite et ne peux me permettre cette familiarité), penser à la musique qu’il écoutera en rentrant chez lui.C’est ainsi.Je me dis qu’à un feu rouge un gros Monsieur nerveux ou un maigre Monsieur nerveux dans sa grande voiture s’impatientera ; Mais saura t-il , que la petite voiture calme est celle de l’assistant de Fellini???? Dans la nuit.Comme un petit dessin de Sempé*
*sans rapport avec l’actualité cinéma… hum hum. Les dessins de Sempé n’ont ni chair ni os. Les incarner??? M’intéresse pas .( tiens je regarde la Bande annonce…. Et bien on va pas se salir la dedans.)
Consuelo-Nina doublée dans le virage par Albert dans “le Château des géants”.
Quel personnage magnifique.
Que de vent dans les voiles+emission ce matin dans la voiture: Butor parle de mon chéri d’Amiens: Jules Verne.
J’ai à nouveau envie des vaches délaissées, des sapins abandonnés, des salades avec plein de sable dedans.
« – La voix qui parle dans le sommeil”,
répondit Albert.
« Au bout de sept jours d’angoisses mortelles, et
comme nous commencions à désespérer, ma tante,
passant vers le soir devant la chambre d’Albert, vit la
porte ouverte, et Albert assis dans son fauteuil,
caressant son chien qui l’avait suivi dans son
mystérieux voyage. Ses vêtements n’étaient ni salis ni
déchirés ; seulement la dorure en était noircie, comme
s’il fût sorti d’un lieu humide, ou comme s’il eût passé
les nuits à la belle étoile. Sa chaussure n’annonçait pas
qu’il eût beaucoup marché ; mais sa barbe et ses
cheveux témoignaient d’un long oubli des soins de sa
personne. Depuis ce jour-là, il a constamment refusé de
se raser et de se poudrer comme les autres hommes ;
c’est pourquoi vous lui avez trouvé l’aspect d’un
revenant. »
Soirée moralement beurk et délicieusement sushis
Mais je pense que ce matin, U. m’a avertie du passage de Max Raabe à la salle Pleyel., le 30 Oct.
Max Raabe, on l’avait découvert en traînant au milieu de CD à Bâle.
Le Palast orchester, n’est pas pour toutes les oreilles; J’adore.
sugar + années 20 + Obsolète +gomina
A droite dans l’image
et
J’en frémis .
Je trouve en catastrophe l’ ordi de D.et passe en “private”, c’est a dire que personne ne peut plus lire- mon commentaire sur La serva paniquée que je suis par le coup de fil de R.
Je pensais n’avoir dit que du bien ‘ avec evidemment mon sentiment à moi .
Visiblement ce n’est pas le cas….Aïe Aïe l’enfer pour moi, je le sens. Ou le bonnet d’âne.
Visite de MM. qui me fait plaisir.
R. râle. Moi aussi.
J’ecris à C.
Ce qui m’a fait et me fait mourir de rire depuis plusieurs jours:
Les gosses ( on appelle les gosses la fratrie de mes petits-neveux… Jules, PIa, Tom; Lily et il en manque un, Zut… et une, la petite Charlotte qui aurait 17 ans aujourd’hui )
Jules( pendant que C. tourne “la princesse au petit pois”)
—”T’es bien habillée…”
Pia, avec un accent péché je ne sais où:
—”oui , stylée… Stylée comme au moyen -âge, comme à la manière de Jacques Prévert…”
Et ce n’est pas terminé; la caméra tourne toute seule comme un grande et on entend:
Pia:
—J’étais en perm et j’avais pas d’ ciseaux; j’ai dit M’sieur, je vais l’déchirer l’truc comme j’ai pas d’ciseaux… comme à la manière de Jacques Prévert.
Mais que se racontent-ils??? Ca me donne envie de filmer des mouflets (comme à la manière de Jacques Prévert.) bien sûr.
J’en ris encore.
Visite en face pour voir le micro bébé. j’ai dit: “Mais t’as pas crié, j’ai rien entendu”.
Elle m’a dit: J’ai chanté….
Consuelo/Nina C’est trop bien. Je vais le fourguer à E. dès qu’elle sera sortie du double -château de Dumas.
Ai passé à C. Walter de La Mare ( de la Mèèèère)
Me suis endormie sur la terrasse.
Rentrée tard. Importation pour notre banquier, de deux DV.
Denton Welch
Connais pas. Poete, écrivain, mort jeune, accident de vélo? Réponse de Y.: “Jamais lu, je mange du nougat à la place” Voici qui me fait plaisir !!!! Et bien dorénavant je mettrai mon casque pour ne pas avoir comme sur cette photo un pantalon qui semble vide de jambes vivantes. DW Premier vélo . Orage. J’arrive déguisée en torrent.
grotesques
On est partis un peu tard. Et puis je me suis trompée de route.
Rattrapé Sarcelles etc. J’aime bien traverser ces coins.( sous le soleil…)
C’est chaotique.
On passe devant “La cerisaie” qui est une boucherie hallal, et il y a des grossistes turcs. Des maisons biscornues, des HLM pas trop grands , pas hideux, juste désolants.
Il y a plein de types. Des gosses noirs qui jouent au foot.
Il y a pas mal de femmes voilées.
Un retraité qui regarde passer les voitures adossé à la grille de son mini pavillon.
Puis aussi les impasses, qui mènent à des “propriétés” minuscules avec des jardinets.
Au chateau d’Ecouen, on arrive par le parc et on se gare sur un petit parking. le type qui en a conçu l’entrée mérite d’être pendu par les pieds.
Marrons, sous bois. le moins drôle ce sont les avions qui vont atterrir.
Nous n’avions qu’une heure avant la fermeture. Il faudra y retourner.
Il fait encore beau ce matin.
Bruit de verre qui doit sortie d’un container.
Rêvé de Fellini Le temps de faire chauffer l’eau du café. Pffff plus rien. Zut. je me souviens juste que j’avais un RV à 19h et qu’on était à Rimini dans une maison qu’il visitait pour le décor. A un moment on devait sortir mais il y avait un précipice dans le garage. Il l’a enjambé lestement. Moi j’ai eu trop peur, j’ai rebroussé chemin et suis sortie en traversant une cuisine. On a traversé la rue et je me disais: Pourvu qu’il ne s’arrête pas à cette petite baraque pour un café…
_Qui veut un café? a t’il dit???
Je voyais le temps filer, il était au moins 18h a Rimini et mon RV de 19h à Pigalle, semblait un peu compromis.
En fait il regardait tout, parlait à tout le monde… Pour savoir.
Ce récit n’est pas passionnant!!!!
Hier U. vient dîner. je lui avais passé un petit coup de fil à huit heures moins vingt de la terrasse du Royal Bar où je voulais regarder les gens passer. mais je n’ai pas levé les yeux de Consuelo.
—D’accord.
j’ai bricolé une salade et R. a apporté des Girolles. Il est sorti au moment ou quelqu’un arrivait au dessus. J’ai prononcé la formule magique:
—croc croc croc et un autre croc croc croc m’a été répondu. C‘était bien E. qui est redescendu et à qui j’ai passé le Fellinicittà, vite fait pendant que le bébé d’en face commençait à brailler.
Puis C. me montre son montage et le “Making off” enfin appelons ça comme ça. On a beaucoup ri en regardant Pia. Je ne sais même pas raconter, mais je pleurais en l’écoutant. Quel bazar ces gosses. Je ne sais pas comment elle a pu. les maitriser.
R. dort. Il a du encore lire cette nuit pendant que j’étais à l’étranger. Tout le monde ne passe pas ses nuits en assistant Fellini à Rimini. Ben non.
Eh, ya la femme du voisin d’en face qui a accouché à la maison!!!!
Ca alors , j’en reviens pas; Il me semblait bien qu’il y avait un truc bizarre….
Ah, ça alors??? Ce soir alors que l’on devisait , la lumière s’est allumée deux minuscules fois dans leur salle de bains.
Chuuuut
Mail de P.Z qui lit ça:
+
Et me donne immédiatement envie ( géricault:monomaniaques) d’abandonner Consuelo, de l’enfermer dans une gondole, elle et Maitre Porpora, et d’aller vers des terres plus brumeuses encore.
C’est quoi l’histoire de cet “époustoufalnt” livre?
Hier j’ai écouté à nouveau Jean-Pierre Vernant au Collège de France, parler de l’Odyssée à des Lycéens .
Quand, dans la journée on entend Jean-Pierre Vernant, on peut dire que c’est une bonne journée.
C’est très émouvant, cette voix fatiguée qui s’exprime avec ferveur. Puis:
“Merci à vous, je devrais rester avec vous plus longtemps, mais vous l’avez senti dans ma voix et dans d’autres choses,il faut que les vieux aillent au dodo”
Il est mort trois mois plus tard
*
Quand en fin de journée on peut regarder Monory marcher lentement, costume de velours jaune pâle et casquette, magnifique vieux Monsieur , on se dit que c’est une belle fin de journée.
Le jaune pâle bien plus fort que les aplats bouton d’or criard que j’avais sous les yeux.
Ca me fait penser que j’ai une photo avec lui. Où?
Monory France, Cachan, 2002 .
Photo: Gerard Rondeau / Agence VU
J’aime bien cette photo
Je me nomme Copeli-us
Et bien je ne suis pas Copelius, mais en tout cas ce que j’ai écrit ce matin est parti en fumée.
Dommage. J’avais fait un effort littéraire.
Je disais donc que ce matin je m’étais penchée sur le miroir pour effectuer la tonte hebdomadaire, et que, ce faisant j’apercevais l’autoportrait de Bonnard, le visage de Peter Lorre et celui de Claude Cahun, nez crochu en moins. Oui elle a quand même un nez difficile… ( dans l’exposition réussie de Beaubourg, La subversion des images il y a des photos d’elle que je n’avais jamais vues. )
Alors que ma tondeuse aussi silencieuse qu’une Lada arrivée de l’Est, tondait, je pensais aux Bagnes pour enfants, à Mettray, à Genet et à Naillet, anonyme intégral qui était dans ma classe et qui surgit à l’instant sans préméditation: Bon dernier, insolent; crâne rasé, survêtement trop court qui pochait aux genoux.
Cher Naillet, tu nous faisais tellement rire.Tu nous faisais plutôt grincer. Et c’était un peu triste ton isolement dans cette activité.Tu étais méchant et laid. Et rasé.
Je disais ce matin que lorsqu’on tapait JUNGLE dans Google, on atterrissait immédiatement chez les sans-papiers et la police.
“Au total, 276 étrangers en situation irrégulière ont été interpellés par 500 policiers et gendarmes. Parmi eux, 141 adultes et 135 se déclarant mineurs.”
Donc pas de lianes, pas de grands singes, mais des traîtres oui, Besson, comme dans Tintin, comme dans les mauvaises séries, comme dans la vie.
Tiens parlons en de celle-ci.Alors qu’on flotte entre la peur de la Grippe, la bourse,l’argent…. je me réfugie dans Consuelo. Je me console au sens propre du terme. C’est immédiatement délicieux, pour qui aime être embarqué totalement ( comme il y a peu de temps “le Trou de L’enfer). Le professeur “coquillage” La description est surprenante:
Le coquillage, c'est-à-dire le maestro (et je soutiens qu'aucune
métaphore ne pouvait être mieux appropriée à ses mouvements anguleux, à
ses yeux nacrés, à ses pommettes tachetées de rouge, et surtout aux
mille petites boucles blanches, raides et pointues de la perruque
professorale); le maestro, dis-je, forcé par trois fois de retomber sur
la banquette après s'être levé pour partir, mais calme et impassible
comme un coquillage bercé et endurci dans les tempêtes, se fit longtemps
prier pour dire laquelle de ses élèves méritait les éloges dont il était
toujours si avare, et dont il venait de se montrer si prodigue.
...
Me voici Là, sur le site de Marc Monnet
Ca me fait plaisir même si je n'ai pas cité la source de ces images... Hum je ne m'en souviens plus.
J'ai oublié aussi le nom de cette pratique japonaise qui consiste à porter des sortes de combinaisons qui épousent les formes du corps et cachent aussi le visage. Je l'ai noté quelque part et en tapant tout ce qu'il faut dans G. je ne trouve pas. c'est un truc assez fou que j'avais vu à la télé; Ils se baladent complétement anonymes...
Ca me fascine. Si quelqu'un sait... Merci
envoi de R.
Avec mes soeurs nous avons encore tué un cerf. Qu’en faire?
Echange de SMS hier soir avec G. et fou rire au retour de la soirée au Grand Palais et du coquetelle.
J’ouvre le catalogue de l’exposition Renoir, peintre de mon déplaisir, pilote de ma mâchoire mollement activée par l’ennui que me suscitent ses images…
Bref. Il commence : “Renoir préfère les grosses….”, ce qui évidemment me fait pouffer de rire. J’imagine la tête des conservateurs et j’en passe, en lisant ces premiers mots !!!
Quelques magnifiques Picasso, extrêmement puissants me réveillent ainsi que les photos.
Quelques morceaux de “fond” ( comme dans l’autoportrait, ce vert feuille un peu blanchâtre et si pâle), qui annoncent Bonnard; Vuillard …)
Retrouve P. qui arrive de Florence, D.H. et N. habillée en collégienne anglaise.
Bonne soirée.
Skype avec AM au retour et après ce spectacle pathétique d’un type caché dans un buisson du Boulevard de la bière, et qui tombe à la renverse, éjecté ainsi de sa petite cachette verte, lieu d’aisance secret des types qui passent là, leur journée, leur nuit.
Température d’été.
Il faut que je prenne de notes en lisant A. Beaucoup d’images que je ne visualise pas et d’artistes que je ne connais pas assez bien ( Sébastien Bourdon etc….)
Senlis et Chantilly
.
C’était quoi déjà? Ah oui. Le jeune homme de 12 ans avec une mèche et ses parents dans son dos ( comme des herbes dans un lac et le monstre faisait Flic flac… Voilà “Laïzac”.…).
Oui le jeune homme de 13 ans ou 14 finalement. Polo bon genre et son corps penché en arrière.
-Non, vous ne le connaissez pas…
—Mais c’est l’ami que tu avais à l’école?
—Pas du tout ( il est encore plus penché en arrière, mains dans les poches).
—Pas du tout ..; C’est un mec que j’ai rencontré et qui parle aux arbres….
Il y a un anniversaire en bas au bistrot
Suis allée à A. tard. Contente.
Après les proprios. Bon.
C. passe et part.
Embouteillages agréables.
Plus de France Cul quand je travaille.
C’est décidé.
Et pas de SMS en même temps non plus. RIEN.
Chez le traiteur où j’achète du vin, un type aux dents lumineuses:
_Devine ce que c’est?
Moi qui interviens:
_Oh !!! Du Tang!!!
Le Tang n’est compréhensible que pour les 50
( Voulez vous le récit de ses tristes amours? Oui oui oui…)
Une poudre immonde de jus d’orange, qui n’avait comme équivalent solide que le Cornetto, sorte de croissant en tube à chauffer
_Tu le mets sur la lanque et ça pique…
_Je te crois.
Il faisait très doux ce soir.
Cépes et pâtes pour moi.
Diable d’homme, il est loin par bonheur…
+ Les contes d’Hoffmann
J’ai retrouvé cette photo dans le petit appareil. On ne voit pas très bien mais j’adore ce commerce abandonné.
Chaque fois quand je passe là, je tourne la tête à gauche pour voir si mon cerf y court toujours dans le renfoncement de la route.
“Mais Olivier, mais Olivier, d’habitude tu m’attends”… J’arrive à la….Tu … et on…parc….. ex… Avant tu venais me…Pchhhhhhh PRR ( ça c’est le bruit du train).
Ah zut. je tendais bien l’oreille et elle, elle sanglotait bien, criait… Et comme elle s’était “isolée” en haut j’en ai râté pas mal.
C’était une aubaine. Pas envie de lire, Même Stevenson.
Journée laborieuse….
Alors je ruminais quant à mon existence… Ca , jamais!!! Là j’ai raison, là j’ait tort… Je devrais ci je devrais ça…
Alors un bon malheur des autres et qui plus est un peu cucu,un truc pas grave au fond, mais bon, l’amour…
Donc ça tombait bien.
J’ai adoré le téléphone portable qui hurlait l’intimité d’une rupture à venir vite fait et que la copine d’Olivier semblait ne pas voir. J’avais envie de lui dire:
Ne pleure pas, cesse de crier. raccroche et laisse dormir le temps qu’il faudra. mais elle avait l’air d’être du genre 1000 SMS et messages répondeur.
Ce qui a été pas mal ensuite ( à ce que j’ai compris , c’est qu’elle a appelé sa copine en chialant franco pour lui raconter le truc). On est arrivés à la gare Saint-Lazare, mais elle n’est pas descendue et a dû repartir dans l’autre sens. A l’heure qu’il est une bonne copine doit souffrir d’entendre et réentendre les détails…
PIZA est le nom du train de ce soir.
Coursettes. Et contact avec Meriem pour les corrections de Tea-Time. A se demander qui peut avoir envie de faire de l’animation tellement ça prend de temps.
R. débarque du Luxembourg. Heureusement qu’il a des heures de vol, car sur le scénario, il y avait l’inquisiteur et le rapporteur. On lui a dit qu’il était l’inquisiteur. Et sur place , surprise, inquisiteur et rapporteur étaient une même personne… Une erreur de 8 pages à apprendre à toute vitesse…
Stevenson
Rêves, cauchemars et insomnie à 4h.
Appartements; mains recouvertes de terre, d’un gant noir, mains crispées. Parents vivants et qui vont mourir,
J’ouvre la fenêtre de l’appartement que nous venons de louer et en face comme des marionnettes dans un castelet je suis au milieu de mes frères et soeur.
On sourit comme des masques. Et en même temps c’est le décor de la maquette de la Banque de Londres au Soane Museum,à Lincoln’s Inn Fields ( Avec les Hogarth )
Perdu les coordonnées d’Elisabeth Gogois. Si tu lis envoie moi un mail.
Ca me rappelle Le film de Borzage. C’est quoi? Mortal Storm .
Oui
Pas lu le livre d’A depuis plusieurs jours. Ca y est ; Le temps s’échappe. Pas lu d’autres livres non plus.
Rangé à A. Pizza avec C. H. et H. On a demandé et redemandé des carafes d’eau. Presque la honte.
Bois de l’eau.
J.M.M m’a déposé le livre Fellinicittà. Il est beau(le livre) Je suis contente de mes pages.
Parlé avec D. Delouche au sujet de la lecture de son livre.
Thé chez D. en arrivant.
Récupère mon vélo qui a passé la nuit à Palais Royal
Reçu encore des corrections de Tea-Time. Je suis contente. je crois qu’il me faut un peu de son. ( Bourdonnement d’une mouche? bzzzz )
R. à la chambre 1703 au 17 eme étage au Luxembourg.
Lave – vaisselle en panne.
Journée grisou à tout point de vue. ( attendre le verdict de la banque ou chercher dare-dare un appartement, déménager…
Et puis trop bu de vin hier soir avec U. et C et E. J’étais contente de les voir Je ne suis pas contente de moi ( et de me voir).
Hier aussi CND pour voir la présentation de Valérie.
Elle a énormément progressé et ses chorégraphies sont très bien.
Plaisir de revoir Daniel Dobbels à la voix très douce. J’ai décidé derechef d’avoir moi aussi la voix basse et douce, mais pas la moustache.
Je ferais mieux de continuer Stevenson, quand il raconte comment il a écrit l’ile au tresor
Elle était petite , un peu grosse. Elle était de dos , dans le renfoncement d’une entrée d’immeuble. Dans le coin. Collée au coin comme si elle ne voulait plus voir le monde. Un manteau avec des motifs géométriques.
Elle m’a croisée. Elle boitait de façon saccadée et portait droit devant elle une grande fleur rose bien emballée par le fleuriste. Elle ne voyait personne