Je vais quand même essayer d’alterner des livres et de ne pas passer mes journées dans un camp ! C’est peut-être cela qui me rend un peu hum hum. Et puis il y a des amis que je n’arrive pas à appeler. J’ai dormi cet après midi puis j’ai commencé à regarder The driver. Ryan o Neal me fait penser à un des frères Lamore ( des peintres jumeaux des années 80 , très interessants comme personnes moins comme peintres à mon sens, et glamour -c’est vieux tout ça . Ils avaient des chiens genre Pitt bull , en vogue à l’époque mais plutôt chez les » loubards » me semble-t’il, bref )- et Isabelle Adjani en Anglais et en 1978 est top . . Hou les courses poursuite incroyables. J’aurais mieux fait de me bouger et ne voulant pas travailler d’aller voir une expo. C’est bizarre cet état. Vu Aki hier pour un massage et de l’acupuncture ( je n’aime pas du tout les aiguilles ) et des sortes de cataplasmes sur le cou ? C’est très agréable et j’adore l’odeur. Hier soir R. avait invité sa famille. Je redoutais un peu mais c’était sympa .On discutait aussi avec l’ancienne libraire de Vendredi ( avant JV ) rue des martyrs. Quel gâchis que sa fermeture. On va à coup sûr se retrouver avec un marchand de lunettes de soleil ou une pâtisserie. Tiens j’entends la voix de Dusapin dans la cuisine, non pas qu’il y soit en train de manger les restes d’hier mais il y a une de ses pièces sur France Musique. Je repars voir The driver
Les mocassins Weston faits avec le tissu d’un de mes vestes Objectivement les mocassins sont pour moi un objet assez étranger à mes habitudes. J’en ai porté adolescente.Quand j’avais 15 ans c’était la mode. O.S que j’aime bien et dont j’admire le travail sur la mode ( etc…) m’a demandé un vêtement pour ce faire.
Cette veste à carreaux fait partie des vêtements que je n’ai jamais vraiment portés. Après l’avoir convoitée et aimée, le charme fut rompu, un peu comme le carrosse redevenu citrouille. Pour quelles raisons, je l’ignore. Je pensais que l’endosser me ferait immédiatement devenir quelqu’un d’autre et soudain ça ne marchait plus. Comme si la cape d’invisibilité d’Alberich avait perdu ses pouvoirs magiques. Dans la même famille il y a le pantalon lamé or toujours couché dans un tiroir, la cape pied de poule sur son cintre. Quelque part dans un placard le gilet de cavalerie vert à boutons dorés réalisé sur mesure à l’Ecole militaire, les bottes Church’s jamais enfilées une seule fois, les chaussettes irlandaises noires à blason rouge. Tout ce qui en somme pouvait faire de moi l’invitée d’une cérémonie qui n’eut jamais lieu.
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