Ai terminé le J.Coe. C’est très agréable, étonnant que tous ces personnages épars se retrouvent plus ou moins au même endroit. Drôle aussi l’invention de ce réalisateur aux films perdus ou détruits ( ne reste qu’une seule image ) . Il aurait inspiré à Pasolini Salo. C’est une bonne idée.
Pour les transports c’est l’idéal ( si j’étais écrivain, je n’aimerais pas entendre cela. Disons que pour les transports c’est l’idéal aussi. J. Coe est né en 1961 mais il a l’air plus âgé d’après ce que j’ai vu??
Presque fini Forêt noire de V. Mrejen.
Dentiste.
Courses de bouffe. Queue.
Demain Maison des A.
Allez chez Otrad, chez Ikea,Argenteuil.
RAS.
Pris billet Nice Rennes pour Juillet . Ouf je n’aurais pas tout ce train , toutes ces heures dans des trains aux périodes de vacances qui plus est .Restera quand même Rennes Pontivy…
Le prix est le même à peu de choses près.
Tiens comme par hasard je choisis cette image avant de parler de Coe. Il y a tout un passage où il est question d’yeux, de fantasmes, de regard. Tiens tiens.
Et alors qu’hier je trouvais un titre à des histoires que je voulais écrire, et me disais que l’une d’elle serait le retour de ma mère et une promenade avec elle, je trouve une situation semblable dans Forêt Noire.
Written when Charlotte was 14, and dated 1830, The Young Men’s Magazine, Number 2 measures only 35 x 61mm.
However, its interest to scholars – who, following the manuscript’s purchase by La Musée des Lettres et Manuscrits in Paris, will be able to study the work – is not proportionate to its size.
Contained within the Magazine’s 19 pages is a vivid tale of murder and madness entitled “A Letter from Lord Charles Wellesley”, which includes an episode prefiguring one of the most famous scenes in fiction:
whenJane Eyre’s Bertha – the so-called “madwoman in the attic” – sets fire to her husband Mr Rochester’s bed.