envoi de R.
Avec mes soeurs nous avons encore tué un cerf. Qu’en faire?
Echange de SMS hier soir avec G. et fou rire au retour de la soirée au Grand Palais et du coquetelle.
J’ouvre le catalogue de l’exposition Renoir, peintre de mon déplaisir, pilote de ma mâchoire mollement activée par l’ennui que me suscitent ses images…
Bref. Il commence : “Renoir préfère les grosses….”, ce qui évidemment me fait pouffer de rire. J’imagine la tête des conservateurs et j’en passe, en lisant ces premiers mots !!!
Quelques magnifiques Picasso, extrêmement puissants me réveillent ainsi que les photos.
Quelques morceaux de “fond” ( comme dans l’autoportrait, ce vert feuille un peu blanchâtre et si pâle), qui annoncent Bonnard; Vuillard …)
Retrouve P. qui arrive de Florence, D.H. et N. habillée en collégienne anglaise.
Bonne soirée.
Skype avec AM au retour et après ce spectacle pathétique d’un type caché dans un buisson du Boulevard de la bière, et qui tombe à la renverse, éjecté ainsi de sa petite cachette verte, lieu d’aisance secret des types qui passent là, leur journée, leur nuit.
Température d’été.
Il faut que je prenne de notes en lisant A. Beaucoup d’images que je ne visualise pas et d’artistes que je ne connais pas assez bien ( Sébastien Bourdon etc….)