En retard depuis orsay

Plus plus tard comme on dit . Flemme; Ai travaillé à A. Et bien, qui plus est. La mauvaise humeur citée plus haut ne m’a quittée qu’aujourd’hui.

fenêtre ouverte/cris/touristes

++tard

image.jpg

Image envoyée par Rurik; Bientôt un lien vers son blog.

Ca sent la pizza:

Cara Helene,
Papà vorrebbe sapere dove arrivi, se a Fiumicino o Ciampino, perchè nel caso in cui arrivassi a Fiumicino lui verrebbe volentieri a prenderti.

Purtroppo se arrivi a Ciampino dovrai prendere il bus perchè lui non è in grado di arrivarci, non conosce la strada e ha paura di perdersi.
Quindi se arrivi a Fiumicino fammi avere gli orari di partenza e arrivo del tuo aereo.
Un abbraccio, Roberta


Camille travaille comme une dingue. jusqu’à 4h ce matin.

Demain je parlerai de Pierre Bergé et des Vraoums…

Sans titre 8

Hier soir, D. était déchaînée. Ca m’a fait plaisir de la voir comme ça.

Toute la journée, j’étais de mauvaise humeur. Ca ne m’arrive que très rarement, jamais à vrai dire. Et là, Paf, la mauvaise humeur. Sans raison. Et quand la M.H est dans l’air, on fait en général tomber le sucre en poudre, ou un paquet de riz. J’ai renversé un jus d’orange pressé, ce qui est magnifique comme adhésif bio.

Squitch, squitch fait la M.H, c’est son bruit, sa rumeur. Et puis ces jours là, le métro est coupé parce qu’un voyageur est malade. Alors on attend un peu avant de décider de prendre un taxi. On sort du métro et comme on n’a pas de liquide on cherche un distributeur qui est en panne. Et comme on n’a ni argent ni taxi, on marche jusqu’à la station suivante , on passe le portillon et comme si rien ne c’était passé, on monte dans la rame qui est là par miracle.

Et quand c’est jour de M.H, le Bo-Bun que l’on commande en même temps qu’une grande soupe, le Bo-Bun , n’arrive pas. Alors vous regardez manger votre ami ou amie en tordant le cou pour voir si ça arrive et tous les Bô-bun de la terre passent sous votre nez, mais pas le vôtre….

J’ai croisé E; dans la rue qui lui aussi, pardon lui non plus, n’a pas aimé C. A dans l’habilleur.

57.jpg

Hum, je crois que cette photo vient d’Accidental Mysteries/ pas certain

Marc et Achille

partition Marc.tiff

Marc me demande ce que je pense de son site et en me promenant j’y trouve les partitions écrites pour Achille. Je nous revois au Repent il y a deux ans je crois, assis en face de la maison et écoutant A.

C’était un beau moment.

frétiller

10206276a.jpg

Eustache Dauger’ (his real name ?) is held prisoner by order of Louis XIV in various French prisons, his true identity unknown. His ‘iron’ mask probably black velvet.

LIENS et I am Madam Satan

J’en ai ajouté deux. Mais sur celui-ci on trouve des links intéressants dont ça etc…

Sauvegardes réussies. Ouf.

Puis promenade du dimanche dans le quartier au dessus.On rencontre Franck et son ami Franck. Je lui demande s’il est son ami d’enfance:

—Non, c’est un autre , mais ce qui est bizarre c’est que tous mes amis s’appellent Franck

N’est ce pas Bobby Watson!!!

In blogger me demande si on peut aller dans la loge de Terzieff. Ca m’amuse.

Envie de lire Sophocle.

Mangé un blinis au tarama bio

Soleil de la fin de journée, listes écrites puis jetées de ce que je dois faire.

Skype avec AM habillée en blanc, avec toujours le même jardin derrière elle. Rien de spécial et nous baillons.

Pas donné de nouvelles à Alice. Demain demain…. Ni à Marie Cécile….

Envoyé quelques mails

njE9Bw4rvh90bcj8fMRr5Smao1_500.jpg

BLUE BEARD

Passage de Marianne hier pour une consultation Barbe bleue.

Je lui dis ce qui me passe par la tête et qu’elle note dans son cahier.

J’aime bien M.

Donc le jeu est de dire tout et n’importe quoi quant à des idées de mise en scène. Il y aurait une grande table, un homme animal qui guide le public dans le cimetière, résister au grand espace proposé et circonscrire, parler ici, ne pas le faire là, fabriquer une effigie pour ce passage, choisir plutôt un extrait de film que…

En même temps mieux vaudrait vraiment travailler au projet .

Dîner agréable. Ca m’a fait plaisir de voit tout le monde autour de cette table aussi de revoir les enfants.

Déjà Samedi

En sortant ça barde dans les loges. L.T est un calme survolté et c’est inattendu. Puis de façon très affable et gentille, vraiment il signe un programme de tête d’or que deux petites personnes âgées lui tendent. Puis L. embrasse le Monsieur que je vois de dos puis se retourner Rouge comme un soleil….

Malgré la mauvaise humeur qui reprend un peu et les grognements contre la technique qui a fait des conneries à 3 reprises, nous allons boire un verre. Alors là, on peut dire que l’on est sur une autre planète. On n’est pas dans la monde des conversations sur portable, ou de l’incivilité quotidienne. O n est chez Sophocle, puis Roger Blin, puis au pays où il n’y a:

_ pas de méthode, il ne faut pas de méthode. Même Strasberg en avait une.

Il vraiment beau, là au bar avec son verre de vin rouge et ses mots. ( Sur scène, le visage est tordu tellement maigre presque effrayant)

Là il y a les yeux clairs, une douceur et en même temps un bouillonnement.

Il parle beaucoup, il sourit. On rit .

Il dit être affecté par la disparition de Planchon, être heureux de travailler Philoctète avec Schiaretti :

ODYSSEUS.

Voici le rivage de la terre de Lemnos entourée des flots, non foulé et non habité par les hommes, où, autrefois, ô rejeton du plus brave des Hellènes, j’abandonnai, par l’ordre des rois,

le Malien, fils de Paias, dont le pied distillait un sang corrompu.

J’ai retrouvé avec plaisir les Métamorphoses d’Apulée édité es en Latin Français aux Belles lettres. C’est vraiment drôle.

mirepoix_pleinelune2.jpg

  

Suite/pour une fois que j'aime quelquechose

Partie aux Buttes Chaumont à vélo. Ca grimpe. Le plateau…

J’ai beaucoup aimé cette exposition,

Nostalgie.

Mystère.

Quelque chose comme cela qui ne fait pas le malin. Quelque chose qui tout au contraire de “La force de l’art,” n’est pas comme un vieux pain rassi vu et revu sous tous les angles…

Personne dans le noir.

Sauf quand je regarde un des (beaux) films, un groupe de trisomiques passe entre moi et l’écran puis disparait entre deux rideaux.

Imaginez ma tête.

Plateau/ulla von brandeburg

ulla von branderburg.tiff

ulla von brandeburg

EN lisant , qui n’est pas mal comme blog d’info, je tombe sur cette expo qui se termine Jeudi. Demain.

Je voudrais y passer tout à l’heure.

Camille a son stage avec Sophie Reine tout l’été. Elle est drôlement contente.

Pour le moment elle se débat pour la préparation du tournage ce week-end. Elle travaille comme une bête.

La princesse borgne

Le type dans la rue disait au téléphone;

—Tu sais si le rendez vous se passe mal, il faut se dire que c’est une bonne chose. C’est même mieux…

Et un autre dans le métro:

_ Le problème voyez vous , c’est que vous êtes trop créatif pour notre agence.

De conversations en conversations, je suis arrivée au métro Couronnes. Un aveugle a canne blanche métallique frappe le sol deux fois puis agite 3 fois le gobelet contenant des pièces. Face à ces percussions, un musulman appuie à l’étal des chaussettes ( 3 paires pour un euro) sa grande image de la future mosquée.

Deux types s’engueulent en arabe, un grand noir porte des tapis de prières . Descente de la rue . Je passe devant le Cannibale. A 20 mètres population toute autre , genre j’écris un film.

C’est devenu chic autour de la maison des métallos. Je monte chez B. et I pour le projet de spectacle. B. a installé une pièce en salle de cinéma. Première fois que ce genre d’installation me plaît chez un particulier. On y est bien, et en même temps pas enfermé. Il me montre un bout des Blues Brothers et on rit, puis un extrait de Tod Browning etc… Moi je suis claquée. On parle et je file en traversant le marché. J’achète deux kilos d’oranges pour 1 euros 50, et décide de manger une bonne soupe viet. Hum. J’en avais trop envie.

Maison. Je dors presque 3 heures. Berk. Puis diner chez G. très bon et agréable. Je ne bois que de l’eau. Je suis un peu hors situation. Je ne m’ennuie pas mais un tout petit peu. Taxi retour. République bloquée:

_C’est les Tamuls.

J’aime bien cette histoire du buste de Nefertiti: En 1912, l’égyptologue sur son lieu de fouilles reçoit la visite de deux altesse de Saxe qui tombent en arrêt devant la princesse borgne et se font photographier avec elle.

Malaise. Exhumé en 1912 sur le site de Tell el-Amarna, la capitale d’Akhenaton, son pharaon de mari (XIVe siècle avant J.-C.), le buste de Néfertiti est découvert par Ludwig Borchardt. Juste auparavant, l’égyptologue allemand a tiré du désert un atelier de sculpteur avec outils et pigments de couleur intacts. A l’époque, on attribue le tout au célèbre artiste Thoutmosé.

Le public du musée égyptien de Berlin doit attendre 1924 pour découvrir cette polychromie étonnamment bien conservée, le cou gracile et le visage borgne de la sublime souveraine. Mais le malaise que tous ressentiront face à ce regard incomplet se fera suspicion chez Henri Stierlin, ajouté à la coupe des épaules inédite dans tout l’art égyptien.

«On ne peut pas imaginer qu’un sculpteur de l’époque laisse l’œil gauche de la divine reine vide : une représentation recevait la même considération que le sujet lui-même. Un tel acte aurait été un sacrilège», déclarait hier Henri Stierlin.

C’est la visite des altesses royales de Saxe sur le chantier de fouilles qui aurait provoqué l’imbroglio fatal :

elles tombent en admiration devant le buste, se font photographier à ses côtés, il n’ose pas les contredire, et ne dira jamais la vérité. «Les deux filles de la dynastie[qui régnera jusqu’en 1918] seraient allées dans les dépôts et revenues avec le buste entre les mains».

«Lièvre». Dès lors, l’archéologue est pris au piège : comment ne pas offenser les princesses en révélant la vérité ? La peur de courir le risque de passer pour un chercheur de peu de sérieux l’emporte. Seule alternative : tout faire pour empêcher son exposition. Il y parviendra pendant onze ans, en «recourant aux plus hautes instances. Ce n’est pas pour rien», fait remarquer Stierlin : «Je ne comprends pas que les scientifiques allemands n’aient pas soulevé le lièvre.»L’arrivée de Hitler au pouvoir, au moment où le musée est sur le point d’opérer un échange du buste contre d’autres pièces avec le musée du Caire, clôt la discussion. «L’objet est déclaré comme correspondant au modèle aryen de la femme idéale». Un comble.

L’enquête récemment publiée aura duré quarante ans. Dans les années 80, le directeur actuel du musée de Berlin, occupant alors un poste similaire à Munich, partageait même ses doutes. «Mais quand il a été nommé à Berlin, précise Henri Stierlin, il a dû se rétracter, me dissuadant de poursuivre mes recherches en m’envoyant ses émissaires. Aujourd’hui, il prétend avoir fait faire des recherches scientifiques plus poussées prouvant l’authenticité du buste.» Impossible, répond l’ancien ami. «L’objet a été fabriqué en 1912 avec des matériaux trouvés sur place qui sont indatables, et les pigments sont d’époque. Il n’existe pour le moment aucune technique permettant de le faire.» En ce sens, on ne peut pas parler d’un faux : «Il n’y a pas d’intention dolosive chez Borchardt. C’est tout ce qui aura été fait pour masquer la modernité de l’œuvre qui relève de l’imposture.» On touche là à l’absence suspecte de description de la pièce jusqu’à son exposition, onze ans après sa «découverte», suivie par l’écriture d’une histoire cousue de fil blanc.

A l’heure actuelle, seule la publication des carnets de fouilles de Borchardt pourrait finir de lever le voile sur l’histoire de la découverte du buste. Le musée de Berlin s’y est toujours refusé.

200905130907.jpg

LE MONDE

Car pas un instant le directeur du Musée égyptien de Berlin n’accorde crédit à ce scénario “tellement grotesque qu’il finit par en être embarrassant”. Et va jusqu’à se demander dans quelle mesure Stierlin lui-même le prend au sérieux, s’interrogeant sur les motivations profondes de cet auteur qu’il dépeint comme “le type même de l’aventurier : il aurait pu être un fouilleur du XIXe siècle”. M. Wildung réfute ainsi les assertions du journaliste – les indices que seraient l’oeil manquant de Néfertiti et ses épaules coupées, l’impossibilité de dater l’oeuvre, le manque de documentation d’époque à son sujet… -, et s’étonne qu’en vingt-cinq ans d’enquête, M. Stierlin n’ait jamais pris contact avec le Musée égyptien de Berlin, où, en 1992 et 2006, deux tomographies du buste de Néfertiti ont été réalisées. Alors que, suite à la publication des résultats de la dernière de ces radiographies en 3D, le buste de Néfertiti s’est vu accusé par la presse, en avril, d’avoir été “lifté” (Le Monde du 14 avril) et tandis que Le Caire a réitéré, en février, ses demandes exaspérées de restitution de l’oeuvre, M. Wildung ne cesse donc de voler au secours de sa belle, qu’il défend passionnément.

Parmi les histoires qui m’ont fait rire, celle de C.V et du canapé Cocteau dans la vente Marais.

Parmi les histoires qui m’ont intéressée celle de la maison de Boris Vian où tout est en aggloméré découpé par ses soins.

J’ai rêvé que Balthus était Fantin Latour, qu’il avait peint sur de très hautes portes en bois vert, que je réussissais pas à grimper une pente, puis des marches. Un type disait que ça femme ne voulait plus sortir le soir, demandait si on se voyait le premier Avril. Aucun intêret;

"Old Shakespeare"

jtr33_470x320.jpg

Another letter sent to the police. The last letter was received by the police on 14October 1896.

(c) The National Archives MEPO 3142 F178

200905121405.jpg

Known fondly by her acquaintances as “Old Shakespeare”

due to her tendency to recite her favorite poet’s sonnets after a few drinks,

Carrie Brown checked into the East River Hotel, on the southeast corner of Catherine Slip and Water Streets,

with a man between 10:30 and 11:00 on the night of April 23rd.

Her lifeless body was discovered lying on the bed the next morning,

naked from the armpits down, according to the night clerk who found her.

Her body was mutilated, and she had been strangled, but there are few details known about her injurie

jackripper1.gif

Eteindre la lumière

adresse.jpg

Ceci vient d’IVRY, 4 rue Emile Zola.  

Finalement cette visite m’a un peu donné le bourdon. Cette maison de MIlly, morte. Bien morte.

Alors pendant que tout le monde parle et travaille et suggère etc… (Là il y aurait ceci, là cela, oui mais il faut absolument que les deux palmiers y soient, où était la main rouge, le buste? ), où est la main rouge, là la voix de Cocteau, là des images punaisées… ),donc pendant ce temps je cherche des micro indices, des restes de vie.

Ce sont les interrupteurs qui me troublent. Il n’y a pas plus ordinaire que ce bouton pour allumer ou éteindre, glisser sur le (la?) bakelite/ en parlant , en riant.

Mais c’est un index osseux que je voyais monter et descendre. Ce qui est terrible est de comprendre que tout geste aussi minuscule soit-il représente la vie. Et puis le thermostat du chauffage réglé sur le chiffre 19, et au dos d’une porte cette étiquette arrivée là je ne sais comment.

Dans la cuisine et dessiné sur un papier écossais, une cible au crayon: 1, 2, 5 et au centre quelque chose de peu lisible, une tête avec deux points pour les yeux et un oiseau?

Deux radiateurs blancs disposés là dans la chambre à alcôve rouge deJ.M. Disposés comme dans “Les enfants terribles” d’ailleurs.

Le carrelage ocre rouge et blanc, la peinture du château…

Et puis les papiers peints. J’en arrache un petit morceau et aussi un petit bout de tissu.

Je me disais qu’il fallait fermer tout cela, laisser la vie reprendre-que quelqu’un maintenant s’y installe et y VIVE- Pas de reconstitution. Rien , laisser le jardin en paix, laisser l’eau stagner et les orties, laisser les canards s’envoler vers les tours du château voisin.

Oui , c’est un peu triste cette fin des gens, cette fin des choses.

Bon.

Les quatre châteaux

interrupteur leopard.jpg

Je me demandais qui avait fait cliquer l’interrupteur et si la lumière était plutôt jaune, plutôt blanche.

Ce que je savais c’est ce que l’homme ou la femme qui étaient entrés s’étaient amusés du tissu – léopard sur les murs, avaient regardé un instant le jardin et le petit abri dans les herbes, avaient regardé encore les murs de la chambre, puis découvert la peinture au château .

Un château. Deux châteaux. Celui d’un conte de fées, aux toits bleus et tourelles grises, et puis sur un escarpement un autre sorti tout droit d’un récit de bataille , bien solide et fort près d”un tout petit arbre.

Deux châteaux… De l’herbe verte, une colline et au loin un tout petit toit rouge. Au loin encore deux cyprès et des montagnes bleues, un ciel bleu pâle des nuages blancs

Quatre châteaux perchés et surplombant un lac .

Deux fleurs blanches au premier plan.

Quatre châteaux de Seigneurs bons, mauvais, méchants, faibles, criminels, sanguinaires. Quatre châteaux de fantômes derrière un rideau rouge peint directement sur le mur.

Je ne sais pas s’il y avait un feu dans la cheminée, une horloge, des chaises et si l’homme ou la femme qui regardaient cette scène, allaient rester une nuit ou davantage.

peinture3.jpgdetail.jpgpeinture.jpg

NO COMMENT

3517716418_cb943bff0b.jpg

Foreign body in the eye

First Aid pamphlet, originally published by The St. Johns Ambulance Association of the Order of St. John,

The British Red Cross and The St. Andrew’s Ambulance Association.

AFTER WORK ( pas mis le nez dehors ) & BEFORE T.V , Katherine Dreier

Du blog Anonyme

200905102208.jpg

ARTIST AND COLLECTOR KATHERINE DREIER JOINED MARCEL DUCHAMP and Man Ray in 1920 to found the Société Anonyme,

an organization designed to support and generate awareness of modernist art; the group’s name, a French phrase meaning “incorporated,

” highlighted the fact that the organization was not allied with any particular artistic school.

The Société Anonyme promoted new artists by arranging exhibitions to introduce audiences to their work

and develop their reputations among galleries and collectors.

Critics praised the Société Anonyme for its commitment to new artists and its inclusion of their work in exhibits and catalogs. Between 1920 and 1940 they held 80 exhibitions showing mostly abstract art.

Katherine Dreier played an essential role in generating American interest in and acceptance of modern art.
She ran the Société Anonyme’s small gallery, curated exhibitions, and wrote essays and gave lectures in support of modern art.
Dreier was also an accomplished painter—two of her paintings hung in the legendary Armory Show of 1913.
The Katherine S. Dreier Papers / Société Anonyme Archive documents the life of Katherine S. Dreier and the activities of the Société Anonyme.
The collection is part of the amazing Beinecke Library at Yale University.
The collection consists of correspondence; manuscripts and notes for articles, books, fiction, and lectures;
clippings; brochures; programs; press releases;
advertisements; tax records; photographs and artwork; meeting minutes; and ephemera and printed material.
The papers span the years 1818 to 1952, but the bulk of the material is from 1920 to 1951.
Currently, only a portion of the Katherine S. Dreier Papers / Société Anonyme Archive is available in digital form.

SAMEDI 9

C’était agréable cette petite soirée avec U. Mais on boit toujours un peu trop. Je lui envoie un mail pour lui dire:

t‘es rentré en zig zag ?

—’me souvenais même pas que t’étais parti et je croyais même que l’on avait dîné chez toi!!! . Je croyais que t’étais un lampadaire de cuisine quand j’ai pris mon café ce matin!!!!!!!!!!!!!! ( je plaisante )On exagère. Mais on s’en fout!!!!!

Ce matin direction A avec C. et R. qui écrivent un scénario et vont tourner la semaine prochaine. Hier c’était le chef op, aujourd’huice sont les repérages et la liste des accessoires. Les photos pour tout remettre en ordre:— Je vous prête A. si je ne m’aperçois pas que vous y êtes venus.

On trouve un grand caddie abandonné sur la route et je grimpe dedans. Camille pousse, R. porte un de mes rouleaux de toile et on rit comme des… Tiens je vais Skyper bogota) et donc on rit tout simplement. Le caddie est chez moi.

cam+rodrigue.jpg

J’envoie un mail à M. Vu ma vitesse je préférerais qu’elle s’occupe de Tea-time. Ce qui ne m’empêche pas de préparer les fichiers sur photoshop.Il y a déjà 20 calques pour la scène du salon. Brrr. M. est vraiment une fille agréable, super précise. Ils bossent comme des fous pour leur film d’anim. Je lui demande pourquoi pas un vrai film?C’est vrai je ne suis pas une dingue d’animation. Déteste les animations des pays de l’est des années 60, la pâte à modeler et tous ces trucs pittoresques. Je reste tradi avec evidemment Lotte Reininger, les frères Fleisher, Starevitch et ses animaux, Shrigley…Quand je regarde Morello et son Mysterious je ne sais quoi , c’est assez beau; c’est beau… oui, mais…Mais souvent les histoires ne me concernent pas, et j’y vois une poésie surannée et un peu cucufrais. Et puis s’apercevoir de la technique c’est terrible. terrible comme l’huile de coude.
J’aime bien le dessin de Persepolis et n’ai pas vu Valse avec Bachir. Ce qui est bien encore une fois c’est de sortir des scénarii poético sucréstout mous
J’oubliais Mac Cay que j’adore avec Gertie. et Krazy cat de G. Herriman

Lu, sans rapport avec ce qui précède une interview de Terzieff que nous irons voir ces jours-ci. je meurs de sommeil et reste accrochée ici. C’est stupide.

A.M me skype avant de partir à une expo. Elle a vendu deux photos hier et elle est contente.

Zut ma souris est déréglée et je ne peux pas double-cliquer pour ouvrir des trucs; Ca m’énerve.

Je ne m’étais même pas aperçue du soleil revenu. Ce soir invitée à diner par J. rapidement croisée lors de son expo et que j’avais bien aimée. Cele me fait plaisir qu’elle m’invite. Mais je n’irai pas.

Mail de E.S que je ne connaissais pas

Je reçois de Métellus une invitation pour le Café de la Mairie le 26. Lis votre nom. Me dis : je vais voir. Vous trouve sur Internet. Votre blog. Votre travail. Je suis nul, je ne vous connaissais pas. Et vous, me connaissez-vous ?

J’ai donc une homonyme, mais c’est je crois J. qui me l’avait dit. Et avant de la réduire en cubes sanguinolants, j’espère qu’elle ne va pas déclamer dans ce café “Germanopratin” , des liqueurs métaphoriques!!!

Ce qui serait drôle c’est qu’ell ait ma tête, mais de ce côté là du fleuve, je ne me fais pas trop de soucis.

Aujourd’hui, j’ai chantonné mille fois:

Je vais m’en fourrer fourrer jusque là. Bon je fais quoi. Le coffret de Cassavetes que J. à offert à C?

Hum. Tiens j’ai vu Quand la mer monte de Y.M. C’est assez dingue ce film et le masque est magnifique tant il est inquiétant. Ca m’a fait penser que j’avais oublié ( comme chaque année) d’aller voir la sortie des Géants de Bethune. j’adore ces trucs là.

571371669.jpg

Retour en haut