Notre Dame de Anges

J’avais quand même une peu d’appréhension. La dernière fois, il y a au moins 5 ans c’était pour essayer mon vélo  de course neuf.
Je me disais ce matin et dès hier soir, il y a au moins cinq ans et en 5 ans des bouts de muscles ont dû s’effilocher; Alors que le dénivelé du Baracuchet est plus important.
Bref…. Si l’on n’y croit pas, on y croit pas. 2 barres de céréales, de l’eau et deux biscuits, et hop je retrouve F. devant chez Emilio.
Il a un VTT qui n’arrive pas du rayon vacances en promo de Decathlon, et pire il est tout fin et très musclé.
Un léger qui grimpe, me suis-je dit. Hum…
Maintenant que tout est fini, que je suis arrivée fièrement sur la place de Gonfaron, je suis contente de moi. Je l’ai fait, à mon rythme comme on dit, avec le dérailleur qui déraillait sur le petit plateau. Avec F. qui m’attendait en haut comme Droopy.
Si j’étais grossière, ce qui n’est pas mon cas, mes amis le savent bien, je dirais que j’en ai chié.
Surtout au début. Ca monte tout de suite. Et puis aussi à la fin , parce que ça monte raide et un peu au milieu car il y a des épingles à cheveux.
Mais c’est vraiment magnifique, et la récompense en haut, enfin presque en haut , c’est de découvrir de l’autre côté des Maures la mer et les îles Porqueroles etc, de les découvrir comme “terra incognita”, alors que….
Il y a un peu de brume, quatre gouttes de pluie, et l’on ne voit aucun bateau au loin. Il doit y avoir des vagues. La mer cette année est bizarre, plutôt forte parfois.
Voilà. Redescente délicieuse et rapide vers Pignans, route, place, ombre , le marché et une orange pressée puis un café allongé offerts par V. “pour me récompenser”.
Demain une autre promenade.
J’ai emprunté le vélo de J. mais c’est un peu hybride ces VTC, parfait pour Paris ou je ne sais quelle terre un peu plate, mais trop léger pour les pistes surtout en descente.
Dos de rascasse et bergerie ensuite.
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Redemarrer

Le 22 juil. 09 à 02:36, AMR a écrit :
Encore a Repanti??? je meurs d’envie de parler avec toi sur tes photos, et de regarder d’autres, elles sont PODEROSAS, reviens vite!!!

OUI, je suis encore au Repenti et après avoir réussi à NE RIEN FAIRE pendant 10 jours je m’y remets aujourd’hui.
C’est dur . Car finalement NE RIEN FAIRE est la chose délicieuse.
Commencer un livre et s’endormir, rester au soleil en regardant les bateaux au loin, grignoter un morceau de fougasse aux olives en lisant distraitement les journaux sur la place du village, guetter le mûrissement des pêches dans le grand plat blanc…Oublier ce que sont les chaussures.
Rire avec U. et Y et R.
J’ai terminé il y a un petit moment les “Métamorphoses d’Apulée” en Italien-mais je te l’avais dit? et je vais commencer “Della Magia”. Quelques Simenon, Plutarque -“Sur les oracles de la Pythie- et Alexandre Dumas qui se lit comme un thé glacé.
Le rêve de l’immense horloge à eau, en bois précieux (?) et des souterrains, cette nuit le grand truc métallique ( un projecteur ancien?) que je portais à bout de bras, des photos sur un papier peint , plutôt SOUS un papier peint…
J’ai ressorti le texte sur Nicole, enlevé toutes les images et vais le corriger.
Maintenant je file à mon atelier-ruine pour reprendre ma place et ainsi déclarer aux hirondelles que je redeviens maître des lieux.
Le hameau ne change pas.
Emilio m’a apporté des haricots verts!
Bzz

Le chat, l'huissier et le squelette

Le concours de sosies d’Hemingway
Michael Jackson , les cheveux en feu danse
Sur la plage une femme avec autour de la bouche de l’écran total: on dirait une photo en Noir et blanc de Al Johnson sur laquelle on aurait fait un Pomme I
Une énorme tarte tropézienne
La monopalme
Les toreros morts
Banier et les sous.
Pauline de Alexandre Dumas: Chateaux, souterrains et poisons
Le coq
3 ventilateurs
L’horreur de Saint-Tropez, des grands bouquets ridicules à l’arrière des bateaux-palais des congrès, des Bentley rouge vif avec chauffeur, des godiches, des fils à papa avec col de Fred perry relevé, Ralph Lauren en veux tu en voilà, frotter le pont, astiquer. Eclats d’accueil des invités, cigares.Affligeant et triste
U. lit la Recherche
Y. demain.
Dumas: Les mille et un fantômes
“Vous savez un de ces romans interminables comme j’en écris, et dans les quels je fais entrer tout un siècle….”
Confiture de coings de Madame Feles
R. chantonne
Portez la lettre à Metella…
Corrections du texte Fellini

Noel sans Christopher

Récital de Noel Lee, au Musée de la vie Romantique.

Il joue “CharlesT. Griffes”:

J’imagine une mère:

“Charles, tes griffes contre le piano, s’il te plait, arrête”….

Des cris d’oiseaux sur Ravel; 4 petites perles de menthe; un mouchoir en papier un peu froissé.

Des âges certains.

Une écharpe à pois.

Un tailleur Noir et blanc

Un panama blanc et des chaussettes noires

Plus tard Wok.

Un minuscule chien ciselé dans un corail; assis sur la table, et attaché au cou par une tout petit anneau d’or relié à une fine chaine.

Réplique exacte du gardien de Raray perché sur sa colonne

Demander à A. si je peux le photographier

froid soudain et vent.

Rue Victor Massé

Envie d’un Scweppes

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La barbe, réduire le texte sur Fellini de moitié. La grande barbe même

Correction des photos; Labo. Courses pour les autres photos. pas même eu le temps d’aller à A. Corrections du dessin animé.

Lettre au notaire, payer les PV, aller à l’agence,

LN, les blacks et le lacrimo

Mais en attendant , ma dernière découverte:

Pansy Craze

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: The Pansy Craze was a period in the late 1920s and early 1930s in which gay clubs and performers (known as pansy performers) experienced a surge in underground popularity in the United States.

C'est décidé

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j’arrête la clog dance

For our first exhibit, we present photos from the collection of Peter Cohen. Peter — one of the collectors featured in Other People’s Pictures — is an investment manager and lives in New York City. He has been collecting vernacular photography for fifteen years and currently owns about 6500 images. Peter searches for a wide range of subject matter, including (but definitely not limited to) kids in pedal cars, people in trees or standing on poles, ‘dangerous women,’ amateur nudes, double exposures, blurs and other ‘interesting mistakes.’

Visually, Peter’s photos run the gamut from the humorous to the sublime, but all of them exemplify the artfulness — often totally accidental — that can be found in snapshot photography.

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SAINT-CHARLES PRIEZ POUR NOUS/Marseille

La cafétéria, gare de Marseille

Un type devant moi pousse son plateau vide. Moi j’attrape un fromage blanc dans une coupe à glace, avec une cerise au dessus, et des crudités. Rien de dangereux.

Derrière les plats du jour dans des bacs en fer, un grand black avec un calot blanc.

Le type devant moi ( petit chapeau, et moustache noire à l’ancienne

_ Condoléances

_?

_Condoléances, si vous êtes des Comores…

_ Heu… C’est Allaah qui l’a voulu…

_Vous avez tout compris… Du riz et des calamars… Exactement … Oui Allah… Enfin. Mais vraiment c’est dur pour vous. Condoléances, vous pouvez m’en mettre un peu plus?

_ …. Du riz?

_Non, des calamars … Et du riz aussi. Un peu plus, parce que je ne fume pas…. Merci et condoléances…

On peut le croire “ça”, le mec qui se permet “ça”? Ce con qui pour gratter 100 grammes de calamars gras d’une cafétéria ordinaire a la roublardise d’inventer “ça”?????

Je ne le crois pas. Un peu après il avale le tout, riz , calamars et condoléances en deux temps trois mouvements et achève son oeuvre avec une tranche de pastèque qu’il avale rondement.

On vient d’arriver et R. tourne demain. Coup de fil , ne tourne pas avant Jeudi. Merde . Remonté pour rien. Lui.

Assez contente d’être à Paris je dois dire surtout qu’Humphrey m’attend avec les raquettes de tennis.

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Quand même les gens sont bêtes

_ 3 kilos…
_ 3?
Oui oui. 3 trois kilos cent , comme ça. C’est incoyable.Mais je les ai reperdu.
_ un diurétique?
_Non
_ Mais quand même. Je n’avais pas mangé grand chose. Le midi j’avais, écoutez bien, j’avais mangé une petite boite de sardines à l’huile, une merguez -une seule-salade ,un peu de fromage. Point. ..Non une banane aussi.Enfin une banane…. ( il ne parle pas du pain).
Le soir deux tranches de jambon, une salade.
Si on prend 3 kilos par jour en ne mangeant presque rien ça incite à se goinfrer.
C’est décourageant.

Mon beau château

C’est drôle et affreux en même temps le devenir de chacun. Un exemple, la pharmacienne ( collègue on s’en souviendra peut-être du sosie d’ Oscar Wilde ), et bien la pharmacienne de G. a cette année la bouche à peine tordue. Alors comme ça on peut avec les années se tordre. C’est bien ce qui est terrible. On est droit puis hop ( un hop assez lent) on est tordu. Ces pensées ne sont pas si philosophiques, je l’admet que les pensées de Sollers dans le dernier Journal du Dimanche.
Drôle je dois dire. Ca s’appelle Casino royal.
Le château de Kafka. Bon. Est il ridicule de dire que ( j’écris tout petit) de dire que ça me barbe. J’en suis à la page 120. Ce n’est pas une relecture. Mais je ne sais pas, c’est le système , c’est cette réalité magique qui me gênent. J’y vois une forme, et une pensée qui obeit à cette forme. Bon, je vais insister un peu, et continuer ma promende à contre-coeur dans l’administration, le pouvoir, l’absurdité.
Est-on, c’est ma question obligé d’aimer le Château de Kafka. En conséquence, je l’avoue la queue basse et la truffe posée sur mes pattes, je l’avoue, j’ai ressorti l’Ile mystérieuse. Pas d’arpenteur, pas de Frieda, pas de maire.
Pas de neige.
J’ai acheté une boule à thé neuve et un balai neuf.
La radio /un peu d’attente.

systeme D loin du Lubéron

Ci-dessous
La boule à thé astucieusement  réparée par mes soins avec un fil électrique et qui évite qu’on ne se brûle les doigts en la retirant car la chaîne  est cassée depuis mille ans
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L’antenne de la radio remplacée par un truc à brochettes metallique
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R. va hurler et me dire qu’il ne veut pas “de vieilles merdes”!!!!
J’attends avec impatience!!!
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Les deux trucs du parasol refixés avec deux gracieux boulons ( sortis d’une réserve spéciale car il manque toujours DEUX bouons au parasol.
Hop Lundi ;
_une boule à thé
_une radio
_un parasol!!!!

le repentititititititititititit

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Viviers Avant le départ Encore et encore Le Repenti… Je ne parle que pour moi bien sûr, au moment même où la pluie venant de cesser on entend déjà dehors quelques voix qui commentent, des crissements sous des chaussures de jardin, et le portillon métallique qui mène à la terrasse Feles, se rabattre. La pluie? Oui. Un orage avec un ciel bleu.

Arrivée hier après avoir déposé R; à la gare de Saint-Etienne. Un sandwich aussi mauvais que la fois dernière ( cette fois ci un serrano parmesan) trop fort en parmesan chimique. Flassans, à droite, camionnette immatriculée Italie, ne met pas son clignotant vers la gauche au moment où j’allais doubler. Ouf. le chargement de liège, fraîchement ôté des troncs est allé où il devait aller. Je n’ai pas la clé de la maison

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La voisine sort. Puis la doyenne, puis Juliette et son gant de laine bleu à la main droite qui lui donne beaucoup d’allure avec sa canne. Depuis deux ans, date à laquelle elle était tombée devant la maison – pompiers et hospitalisation…) elle n’a jamais été si en forme. C’est drôle ici. l’Auvergne est étrange aussi. Rien à voir. Les “petits” 3 et 5 ans prévenus de mon arrivée crient et se cachent. M. apparaît enceinte jusqu’aux yeux. Le troisième. puis “Salut Jacques, salut Emilio”… Puis allons à la bergerie, avec les gosses. Hirondelles comme à chaque fois; On ramasse ce tissu. Oh une tortue. Minuscule. Elles sont protégées, pas touche. Non, on ne l’emporte pas. On l’emporte un peu, on embrasse ce truc vraiment préhistorique qui sort la tête. Quelqu’un a essayé d’entrer, cassé le volet. Il faudrait faire quelque chose…; Mais pour quoi ça fait des marges??? Verre chez Emilio. On appelle C. Merde Ra. est à l’hosto. Ne se nourrissait plus qu’au rosé. Tombait. Hum. Sa fille est venus ranger la maison. Il parait que c’était une horreur. Pas de mal à imaginer cela. Quelle tristesse. Bou….

— E. “ne sait plus où tourner sa bosse

Passage de Jacques qui parle de “calibre” comme d’hab. il a une vieille nostalgie de n’avoir pas été un mafieu. Demain, je vais à la mer, après je range. A l’Escalet, deux méduses molles et roses m’attendaient dans une fissure. c’est vraiment magnifique. Du monde, me dis-je car on n’est même pas fin juin. Au retour je me trompe et me retrouve sur la route de Saint Trop avec ses Mini- Moke à la con. Embouteillages . L’horreur. Passe à Sainte Maxime. L’horreur. Reprends l’autoroute jusqu’à Vidauban. L’horreur. Le Repenti : Ouf. Bon. plus de batterie de portable et pas de chargeur. Lit à la plage:” Cecile est morte” de Simenon.

Les livres ont des mises en plis automatiques avec le soleil. Bon. Manger quelque chose.

Hoho Jean Daive

Ce que le ton est sentencieux de part et d’autre.
Parler de peinture … On a l’impression de cabotins qui parlent de leur tournée de province.
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En parlant de cela, me revient à l’esprit ma visite au cours de Jean jacques Delbau ( il a joué dans des fritz lang)…. Petit cours que J.W lui avait créé à Nice. C’était quelque chose. Il donnait quelques indications puis racontait “ses tournées”
avec une voix ex-comédie Française
—Ah, mes amis, il y avait là des pâââââââtés, des terrines, un souper succulent. Nous sortions de scène …..blablabla.
Peintfraiche2
rajout:
“Les poèmes de Jean Daive forment un monde troué, celui de la page blanche que des signes d’encre noire viennent hachurer. Le corps de l’écriture y est mutilé d’espaces manquants, et dans cette nouvelle configuration du vers poétique ……”
Ce n’est pas beau ça?
Je ne dis même pas d’où ça vient , ça rendra service à l’auteur de l’article

C'EST L'ÉTÉ C'EST L'HIVER

C’EST L’ÉTÉ C’EST L’HIVER
C’est fait. Je me suis lancée jusqu’au Supeyres. C’est du jas du Mas jusqu’en haut que c’est un peu pénible. An col il faisait froid. Du vent. J’ai attendu R. perchée sur une borne en observant au loin les vaches perchées.
Je me suis rendue compte que nous nous étions mal compris. Suis redescendue et l’ai effectivement trouvé 5 km plus bas. Un thé bien chaud , “Aux Gentianes ” et une cr^pe délicieuse.
Puis redescente vers Ambert, dans les bois. C’est très beau.
Nous arrivons près de l’église. Une harmonie. J’adore ça. D’ailleurs j’aimerais bien faire partie d’une fanfare: trombone à coulisses.
R. est au tel avec C.devenue pour un clip (pour le défilé Saint-Laurent ). Elles est toute fière d’être assistante , de faire des “confos”, bref. A. passe faire une voix et c’est J. qui joue.
Donc on regardait l’harmonie frigorifiée. Les plus héroïques avaient gardé leurs chemises blanches . Il y avait des couacs, ce n’était pas Boulez qui dirigeait “Pearl harbour”, mais tout le monde , de 7 à 77 ans y était, y croyait. Le public recroquevillé, un petit blond qui fait l’imbécile en tirant l’oreille de son voisin un peu attentif,
Un petit gros joue du trombone. Fataliste.
Plus tard on le retrouve. c’est fini. Il traverse sur un passage piétons.
Ysé me fait rire avec son carton d’invitation qui protège “le dernier nougat”.D’ailleurs, j’ai toujours détesté le nougat. Quand j’étais enfant, il avait été décrété que j’étais allergique aux fruits rouges et au chocolat.
—Ca gratte…
—Ne commence pas. plus tu grattes, plus…
—Tu n’as pas mangé de chocolat….
Bon, c’était donc l’époque où l’on disait que le chocolat “grattait”.
Alors pour Pâques, un joli cadeau m’attendait lorsque nous allions voir ma tante. Un boite avec un noeud et à l’intérieur, dans une horrible coque en plastique transparent, un oeuf…. en Nougat. Je n’ai même pas envie d’en parler, ni de lui, ni du ruban qu’on glisse et re-glisse entre les doigts.
J’ai bien l’impression , donc, que le budget nougat à Biarritz a été sévère pour C. et Y.
Voilà du soleil. Je vais aller courir.
Ne lis pas.
descente Jeudi au repenti.
je vais m’installer, puis remonter le 3.

Libé

En fait le fête de la Musique c’est ce soir.
Dans libé il y a une belle photo de Mick Jagger et aussi de Wharol

"Voici le sabre de mon pè-è-re , tu peux le mettre à ton côté"

Et à nouveau un déguisement de torrent et un refuge improvisé. Seul, R. persiste à dire qu’il fait beau. Dac.
Ce matin le marché du Vendredi et ses monstres, ses blouses, ses bleus du Dimanche, ses casquettes.
“Bébé Rose” une grosse dame ( tiens pas si grosse )qui vit à La Chapelle était… en bleu pâle.
Damned…
Damned surtout l’Iran.
Damned aussi les boites qui demandent aux ouvriers de “faire des sacrifices”, de travailler un mois gratuit, ou pire d’être moins payé ou de partir.
C’est vraiment horrible cette mentalité.Les types n’ont pas le choix: Mieux vaut peu que pas.
Survole l’article sur Daniel Cordier.
Repense à Poutine qui , visitant l’expo d’un peintre assez âgé, lui demande d’agrandir le sabre. Le billet dit que l’artiste en une courbette gracieuse promet de s’exécuter!
Ce soir fête de la Musique. Je crois que nous y feront un saut dans cette grisaille, mais pas certain car ce sera sinistre.
Dans un abri bus en rase campagne: “Demain, un roy” écrit avec un gros pinceau noir.
France Carnival 1875

Qui est Denton Welsh

Denton Welch
Connais pas. Poete, écrivain, mort jeune, accident de vélo?
Réponse de Y.:
“Jamais lu, je mange du nougat à la place”
Voici qui me fait plaisir !!!!
Et bien dorénavant je mettrai mon casque pour ne pas avoir comme sur cette photo un pantalon qui semble vide de jambes vivantes.
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DW
Premier vélo . Orage. J’arrive déguisée en torrent.
Une photo le matin. Me suis installée pour dessiner.
Café.
Hier, par flemme j’ai commencé à regarder une nullité de film américain avec George Cloonescafé. Des qu’on voit le générique avec les deux bateaux de pêche , on voit déjà le naufrage, les relations humaines ( je te détestais tu m’as sauvé la vie tu es mon meilleur ami, vieux, )enfin on voit tout, et comme on a vu deux heures de film en 25 secondes on ouvre un livre.
Bleu et gris.

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