Rome

Pas eu le temps d’en dire grand chose.
En rentrant, M. me passe un livre : Iles, guide vagabond à Rome de Marco Lodoli.
Je pense que la traduction en Français n’est pas celle d’une flèche,( tiens il le disent aussi dans le Nouvel Obs ) mais c’est agréable de se promener loin du Colisée et de la Place Navone. On a l’impression d’être sur la vespa de Nanni Moretti dans “Caro diario”.
Malheureusement pas de plan dans le livre alors c’est vraiment mieux d’en acheter ou télécharger un.

Galerie Antiques-1
Galerie Des Bustes 2

Les galerie des bustes antiques, au Musée du Vatican ( aucune image sur leur site et même pas de lien vers “antiquités classiques”) m’a ramenée bien des années en arrière. 25 ans que je n’y étais pas venue.J’avais même oublié tout cela. Soudain en descendant les marches et en ne suivant pas le flot des touristes en quête de Chapelle Sixtine à voir en 30 secondes, soudain -c’était la semaine dernière- j’ai revécu une journée d’hiver à Rome. Ce devait être en 1982. J’étais là.
J’étais seule. Je ne sais dire ce que m’inspire cet endroit. A la fois une sorte de nostalgie, mais aussi un bien être, égal à ma satisfaction quand je pense à L’Appia Antica. Egal à mon plaisir à la lecture d’Apulée et qui plus est des métamorphoses en Italien.
Il y avait peu de monde. J’avais grogné un peu avant en observant les gens, leur comportement nul, leur frénésie, oui presque une frénésie ,leur regard de consommateur : Hercule, Acteon, l’image d’un tramezzino, d’un train, d’une fresque ou de Berlusconi: pareil idem.
Tout est bon à photographier, donc à ne pas regarder.
A “prendre” pour plus tard.
Et sur le moment, là au moment où ils sont face aux oeuvres, c’est la vacuité la plus totale. C’est l’incapacité à être seul face aux choses, à savoir que ces mêmes choses parlent et se transforment. Elles se métamorphosent, dévoilent des fantômes, des voix, des montagnes, des échos. Elles ouvrent ou ferment des tombeaux. Puis  se replient , reprennent leur aspect initial: Le Nil ne nous connaît plus, les paons les centaures, les vases aux figures noires nous ignorent,si , ne seraiy-ce qu’une seconde on a pensé à autre chose, un café, une course à faire, un numéro de bus…

Bronze

Les photos se font bras tendu, on peut ainsi “doubler ” un contemplateur et prendre sans regarder. Même pas besoin d’un oeil Un oeil! Mais pour quoi faire? Choisir, cadrer comme on le souhaite… Ah bon? On peut.

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Mon Mac et moi

En rentrant de Rome j’ai récupéré l’ordi. Et Hop encore une carte Mère. Je le branche et commence à travailler. Et là, nouvelle surprise, il s’éteind. Pour le rallumer il faut débrancher à l’arrière, rebrancher. J’annule donc vite fait le RV avec Meriem.

Photoshop et toute la suite Adobe à réinstaller . FCP idem.

Là, j’attends que l’écran devienne noir, pour vérifier que je n’ai pas rêvé hier et téléphoner à Aldorande

Cococococ

J’avais oublié le Rendez vous à midi pour des devis et le patron râlait. Suis remontée vite fait de ND des Champs. Une fille d’environ 12 ans chantait un rap, puis une chanson du genre My name is Jo . Elle avait une telle énergie, une telle arrogance devant des gens qui la regardaient avec je dois dire une certaine méfiance. Des Morts qui regardent des Vivants ne sont, je suppose pas trop contents mais ressentent une certaine amertume. Elle regardait fixement,micro à la main un groupe de jeunes proprets de son âge. Un grand type mince et brun est entré avec un accordéon ouvragé ( des découpages de metal représentant des raisins je crois.

Redescendue chez Petit-Bâteau pour acheter un cadeau à Roberta qui va accoucher. Je demande aux vendeuses si elles n’ont pas envie d’assassiner tout ce qui évoque de près ou de loin un enfant: La musique-comptines à voix de miel et petits éléphants est IN-SU-portable.

Passage chez C. qui travaille à son scénario chinois. Thé rapide et caméra emportée. Bus/ place Clichy, livre de Levinas pour A.M ( dans lequel, en feuilletant je trouve des choses sur le visage qui pourraient intéresser Malte, et Rue de clichy, le temple du rasoir et du couteau, le temple aussi de la tondeuse. Le type est drôle . Il sert une cliente, pendant ce temps là je fais 3 pschitt de parfum anglais agréable, puis m’apprête à suivre un stage-sabot/comment bien le régler. Ma seule inquiétude est de savoir si l’on peut ou non se massacrer la tête. Il me fait une démonstration sur une brosse à dents.

J’ai envie de travailler. plus de partir.

J’ai l’impression qu’un voyage lointain et long s’annonce, alors que.

Je me suis habituée au tic Tac d’une horloge amenée par C.

Au début ça m’irritait.

Ai commencé le Tropique du cancer, voulu passer aux Belles Lettres pour des Apulée.

N’y suis pas allée.

Ai décidé de manger mieux ( mais ce n’est pas monstrueux non plus) en rentrant de Rome. Je me sens 2 kilos de trop. Payé des factures à la traine, surveille ma sauvegarde hyper lente car les ports FW ne marchent plus.

En attendant me voici dans mon laboratoire aviaire.

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Dis-le!!!!!!!!!!

Lu dans la Reppublica que l’Iran a sa première serial Killer et qu’elle dit s’inspirer de Agatha Christie, populaire dans son pays.

La première tueuse en série iranienne a été arrêtée la semaine passée par les forces de police du pays. Mahin est âgée de 32 ans et aurait à son actif plus de 6 meurtres, dont cinq femmes.

Mais ce qui a choqué les policiers, explique le procureur Mohammed Baqer Olfat, est que dans ses aveux, la jeune femme ait affirmé s’être inspirée des livres d’Agatha Christie pour ne laisser aucune trace derrière elle.

Vu a Chateau-Rouge un garçon déguisé en footballer mais le pauvre était si potelé…

Vu un enfant essayer un costume de clown hideux

Vu Clint, le mec qui habite Pigalle et qui est toujours habillé en cow-boy

Lu qu’il y a une grosse affaire d’héritage en Chine. Une sorte de Betty Boop milliardaire . Suspicion de faux testament . Son corbillard était couvert de roses et son amant ancien Bar man , maître de Fen Chui se défend.

Betty Boop asiatique. Amis d’enfance dans le Shanghai des années 40, Teddy et Nina avaient évité la période glaciaire maoïste pour s’épanouir au soleil de la colonie britannique. Un quart de siècle plus tard, ils étaient à la tête de 4,2 milliards de dollars. Mais aujourd’hui, on ne parle plus de la Teddy Tower.

La tour s’appelle Nina. Dans le hall du gratte-ciel de 80 étages, trône une étonnante statue de Nina Wang, en Betty Boop asiatique, nattes et jupe relevées. Le mari a été effacé. Au propre et au figuré. Car Teddy Wang a disparu en 1990.

Enlevé, a-t-on supposé. Ce n’était pas la première fois. En 1983, le déjà magnat avait été kidnappé et libéré prestement contre une rançon de 11 millions de dollars, payée cash par la famille.

Mais sept ans plus tard, pas de maître chanteur, ni aucune nouvelle. En 1999, Teddy Wang est déclaré officiellement décédé à la demande de son père, qui s’empresse de réclamer l’héritage. Nina ne l’entend pas ainsi.

Chacune des deux parties produit un testament signé de la main du disparu, l’affaire est jugée par un tribunal, et devient bientôt une saga chroniquée chaque jour par la presse de Hongkong.

Tour à tour ange et démon, Nina Wang est interpellée pour faux en écriture un jour, innocentée le lendemain.

Souriante et minaudeuse, elle ne lâche pas l’affaire. Elle perd un procès, en gagne un deuxième.

A 67 ans, en 2005, elle finit par l’emporter avec les honneurs sur son beau-père de 90 ans, qui a produit un testament en sa faveur daté de 1968.

Son fils se plaignait déjà, dit le beau-père, des infidélités de sa femme.

Vu une émission sur les disparitions non résolues, avec Rachida Dati cette imbécile qui ne connaît pas son dossier et bredouille.

Bon . Sarah et M.T viennent dîner ce soir.

Rurik

Vient de m’envoyer une série de photos magnifiques. Je me demande où il les a eues. Il faudra que je pense à lui brûler la plante des pieds pour qu’il avoue.

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Je m'amuse

+ tard demain;

Viens de Skyper sans le son, = clavarder. On ne s’envoie que des O pour rire.

C.A a bloqué sur une page de son blog?

Les commodités de la conversation…


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Mercredi soir , La Féline. C’est un bar de Menilmontand avec un balaise tatoué derrière le bar. Ca ressemble à la Fourmi, ou au Cannibale en plus petit. C’est donc vieux comme le monde et il serait temps de trouver autre chose. On arrive vers 21h. Un peu tôt. Pauline et son groupe arlent un peu plus loin dans la rue. Constantin est adossé à l’entrée avec une bière.On en commande 3 dans des vrais verres. Divers blablas avec Tom et U. Monde qui arrive. Café plein et rue encombrée. En face autre bar….. La suite après, je file

En retard depuis orsay

Plus plus tard comme on dit . Flemme; Ai travaillé à A. Et bien, qui plus est. La mauvaise humeur citée plus haut ne m’a quittée qu’aujourd’hui.

fenêtre ouverte/cris/touristes

++tard

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Image envoyée par Rurik; Bientôt un lien vers son blog.

Ca sent la pizza:

Cara Helene,
Papà vorrebbe sapere dove arrivi, se a Fiumicino o Ciampino, perchè nel caso in cui arrivassi a Fiumicino lui verrebbe volentieri a prenderti.

Purtroppo se arrivi a Ciampino dovrai prendere il bus perchè lui non è in grado di arrivarci, non conosce la strada e ha paura di perdersi.
Quindi se arrivi a Fiumicino fammi avere gli orari di partenza e arrivo del tuo aereo.
Un abbraccio, Roberta


Camille travaille comme une dingue. jusqu’à 4h ce matin.

Demain je parlerai de Pierre Bergé et des Vraoums…

Sans titre 8

Hier soir, D. était déchaînée. Ca m’a fait plaisir de la voir comme ça.

Toute la journée, j’étais de mauvaise humeur. Ca ne m’arrive que très rarement, jamais à vrai dire. Et là, Paf, la mauvaise humeur. Sans raison. Et quand la M.H est dans l’air, on fait en général tomber le sucre en poudre, ou un paquet de riz. J’ai renversé un jus d’orange pressé, ce qui est magnifique comme adhésif bio.

Squitch, squitch fait la M.H, c’est son bruit, sa rumeur. Et puis ces jours là, le métro est coupé parce qu’un voyageur est malade. Alors on attend un peu avant de décider de prendre un taxi. On sort du métro et comme on n’a pas de liquide on cherche un distributeur qui est en panne. Et comme on n’a ni argent ni taxi, on marche jusqu’à la station suivante , on passe le portillon et comme si rien ne c’était passé, on monte dans la rame qui est là par miracle.

Et quand c’est jour de M.H, le Bo-Bun que l’on commande en même temps qu’une grande soupe, le Bo-Bun , n’arrive pas. Alors vous regardez manger votre ami ou amie en tordant le cou pour voir si ça arrive et tous les Bô-bun de la terre passent sous votre nez, mais pas le vôtre….

J’ai croisé E; dans la rue qui lui aussi, pardon lui non plus, n’a pas aimé C. A dans l’habilleur.

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Hum, je crois que cette photo vient d’Accidental Mysteries/ pas certain

Marc et Achille

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Marc me demande ce que je pense de son site et en me promenant j’y trouve les partitions écrites pour Achille. Je nous revois au Repent il y a deux ans je crois, assis en face de la maison et écoutant A.

C’était un beau moment.

frétiller

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Eustache Dauger’ (his real name ?) is held prisoner by order of Louis XIV in various French prisons, his true identity unknown. His ‘iron’ mask probably black velvet.

LIENS et I am Madam Satan

J’en ai ajouté deux. Mais sur celui-ci on trouve des links intéressants dont ça etc…

Sauvegardes réussies. Ouf.

Puis promenade du dimanche dans le quartier au dessus.On rencontre Franck et son ami Franck. Je lui demande s’il est son ami d’enfance:

—Non, c’est un autre , mais ce qui est bizarre c’est que tous mes amis s’appellent Franck

N’est ce pas Bobby Watson!!!

In blogger me demande si on peut aller dans la loge de Terzieff. Ca m’amuse.

Envie de lire Sophocle.

Mangé un blinis au tarama bio

Soleil de la fin de journée, listes écrites puis jetées de ce que je dois faire.

Skype avec AM habillée en blanc, avec toujours le même jardin derrière elle. Rien de spécial et nous baillons.

Pas donné de nouvelles à Alice. Demain demain…. Ni à Marie Cécile….

Envoyé quelques mails

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BLUE BEARD

Passage de Marianne hier pour une consultation Barbe bleue.

Je lui dis ce qui me passe par la tête et qu’elle note dans son cahier.

J’aime bien M.

Donc le jeu est de dire tout et n’importe quoi quant à des idées de mise en scène. Il y aurait une grande table, un homme animal qui guide le public dans le cimetière, résister au grand espace proposé et circonscrire, parler ici, ne pas le faire là, fabriquer une effigie pour ce passage, choisir plutôt un extrait de film que…

En même temps mieux vaudrait vraiment travailler au projet .

Dîner agréable. Ca m’a fait plaisir de voit tout le monde autour de cette table aussi de revoir les enfants.

Déjà Samedi

En sortant ça barde dans les loges. L.T est un calme survolté et c’est inattendu. Puis de façon très affable et gentille, vraiment il signe un programme de tête d’or que deux petites personnes âgées lui tendent. Puis L. embrasse le Monsieur que je vois de dos puis se retourner Rouge comme un soleil….

Malgré la mauvaise humeur qui reprend un peu et les grognements contre la technique qui a fait des conneries à 3 reprises, nous allons boire un verre. Alors là, on peut dire que l’on est sur une autre planète. On n’est pas dans la monde des conversations sur portable, ou de l’incivilité quotidienne. O n est chez Sophocle, puis Roger Blin, puis au pays où il n’y a:

_ pas de méthode, il ne faut pas de méthode. Même Strasberg en avait une.

Il vraiment beau, là au bar avec son verre de vin rouge et ses mots. ( Sur scène, le visage est tordu tellement maigre presque effrayant)

Là il y a les yeux clairs, une douceur et en même temps un bouillonnement.

Il parle beaucoup, il sourit. On rit .

Il dit être affecté par la disparition de Planchon, être heureux de travailler Philoctète avec Schiaretti :

ODYSSEUS.

Voici le rivage de la terre de Lemnos entourée des flots, non foulé et non habité par les hommes, où, autrefois, ô rejeton du plus brave des Hellènes, j’abandonnai, par l’ordre des rois,

le Malien, fils de Paias, dont le pied distillait un sang corrompu.

J’ai retrouvé avec plaisir les Métamorphoses d’Apulée édité es en Latin Français aux Belles lettres. C’est vraiment drôle.

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Suite/pour une fois que j'aime quelquechose

Partie aux Buttes Chaumont à vélo. Ca grimpe. Le plateau…

J’ai beaucoup aimé cette exposition,

Nostalgie.

Mystère.

Quelque chose comme cela qui ne fait pas le malin. Quelque chose qui tout au contraire de “La force de l’art,” n’est pas comme un vieux pain rassi vu et revu sous tous les angles…

Personne dans le noir.

Sauf quand je regarde un des (beaux) films, un groupe de trisomiques passe entre moi et l’écran puis disparait entre deux rideaux.

Imaginez ma tête.

Eteindre la lumière

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Ceci vient d’IVRY, 4 rue Emile Zola.  

Finalement cette visite m’a un peu donné le bourdon. Cette maison de MIlly, morte. Bien morte.

Alors pendant que tout le monde parle et travaille et suggère etc… (Là il y aurait ceci, là cela, oui mais il faut absolument que les deux palmiers y soient, où était la main rouge, le buste? ), où est la main rouge, là la voix de Cocteau, là des images punaisées… ),donc pendant ce temps je cherche des micro indices, des restes de vie.

Ce sont les interrupteurs qui me troublent. Il n’y a pas plus ordinaire que ce bouton pour allumer ou éteindre, glisser sur le (la?) bakelite/ en parlant , en riant.

Mais c’est un index osseux que je voyais monter et descendre. Ce qui est terrible est de comprendre que tout geste aussi minuscule soit-il représente la vie. Et puis le thermostat du chauffage réglé sur le chiffre 19, et au dos d’une porte cette étiquette arrivée là je ne sais comment.

Dans la cuisine et dessiné sur un papier écossais, une cible au crayon: 1, 2, 5 et au centre quelque chose de peu lisible, une tête avec deux points pour les yeux et un oiseau?

Deux radiateurs blancs disposés là dans la chambre à alcôve rouge deJ.M. Disposés comme dans “Les enfants terribles” d’ailleurs.

Le carrelage ocre rouge et blanc, la peinture du château…

Et puis les papiers peints. J’en arrache un petit morceau et aussi un petit bout de tissu.

Je me disais qu’il fallait fermer tout cela, laisser la vie reprendre-que quelqu’un maintenant s’y installe et y VIVE- Pas de reconstitution. Rien , laisser le jardin en paix, laisser l’eau stagner et les orties, laisser les canards s’envoler vers les tours du château voisin.

Oui , c’est un peu triste cette fin des gens, cette fin des choses.

Bon.

Les quatre châteaux

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Je me demandais qui avait fait cliquer l’interrupteur et si la lumière était plutôt jaune, plutôt blanche.

Ce que je savais c’est ce que l’homme ou la femme qui étaient entrés s’étaient amusés du tissu – léopard sur les murs, avaient regardé un instant le jardin et le petit abri dans les herbes, avaient regardé encore les murs de la chambre, puis découvert la peinture au château .

Un château. Deux châteaux. Celui d’un conte de fées, aux toits bleus et tourelles grises, et puis sur un escarpement un autre sorti tout droit d’un récit de bataille , bien solide et fort près d”un tout petit arbre.

Deux châteaux… De l’herbe verte, une colline et au loin un tout petit toit rouge. Au loin encore deux cyprès et des montagnes bleues, un ciel bleu pâle des nuages blancs

Quatre châteaux perchés et surplombant un lac .

Deux fleurs blanches au premier plan.

Quatre châteaux de Seigneurs bons, mauvais, méchants, faibles, criminels, sanguinaires. Quatre châteaux de fantômes derrière un rideau rouge peint directement sur le mur.

Je ne sais pas s’il y avait un feu dans la cheminée, une horloge, des chaises et si l’homme ou la femme qui regardaient cette scène, allaient rester une nuit ou davantage.

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