Embouteillages

Concert donné le 17 mars 2009 au Teatro dell’Opera à Rome



Christoph-Willibald Glück
Iphigénie en Aulide

Tragédie en trois actes, d’après Iphigénie en Aulide de Jean Racine

Trottoir

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Elle était petite , un peu grosse. Elle était de dos , dans le renfoncement d’une entrée d’immeuble. Dans le coin. Collée au coin comme si elle ne voulait plus voir le monde. Un manteau avec des motifs géométriques.

Elle m’a croisée. Elle boitait de façon saccadée et portait droit devant elle une grande fleur rose bien emballée par le fleuriste. Elle ne voyait personne

Je m'écrie Ah NON

Pour me consoler d’une morose journée, replonger dans l’ordi pieds et poings liés… Je picore entre deux recherches Google inutiles, “les essais sur l’art et la fiction” achetés hier. Et soudain, cette envie qui couvait d’entendre à nouveau le Freischütz, est ronde comme une bulle et s’épanouit dans l’Itunes store-achat un click. je reprend ma lecture, ces magnifiques pages à recopier, sur le théâtre Skelt ( nom que je vais m’empresser de voler pour Le cerf des tranchées..) Bref je reprends ma lecture:

C’est véritablement par cet art infantile, trivial, voyant, indiscret, fait de clichés que j’ai forgé me semble-t-il, mon appréciation de la vie;que j’ai rencontré les ombres des personnages que plus tard je devais connaître et aimer;découvert la romance de Der Freischûtz bien avant d’entendre parler de Weber ou du puissant Formes… p72

skelt freischutz.tiff

ANe

En fait c’est un âne-léopard si on y regarde bien.

Vélo dans Paris. Les ponts ; Bleu et bateaux. Touristes penchés.

Je tousse et une dame me fixe, soupçonneuse.

M. a énormément grandi. Mûri. Quelle force et quelle affirmation. Troublant. Ressemble à son père terriblement.

Quand quelque chose ne va pas c’est sur le carrelage de la cuisine que je me penche; A. vient de laver le sol, et il y a déjà des traces de pas. Le carreau gris est brisé. Encore brisé en trois morceaux et il incarne tous mes soucis. Ces derniers , viennent d’un au-dessous menaçant et comme des insectes serrent les ailes et les antennes pour se glisser dans les interstices et me S(contenter)=m’apporter déplaisir.

Japonais.

Amedée Doublemard, je passe sans te regarder

Sauter du coq à l’âne, de l’autoroute à Paris 8 eme pour l’exposition d’Enki.

On y va en taxi après avoir monté les affaires. Mon plateau de confitures de prunes est sur le trottoir. Je repère l’Egyptologue de retour , et qui essaye de m’en voler une. J’aime beaucoup Vincent et c’est le premier , lui et Florence , à se dessiner dès que j’ai éteint le moteur.

Puis ce sera Eric qui rentre guilleret de ses cours; Puis…

On attrape un taxi devant le Fourmi qui est toujours la fourmi et nous passons par la place Clichy, toujours elle, toujours ronde, autrefois ronde mais Place de Fructidor. Je me dis en écrivant cela que je suis bien incapable de décrire la statue-monument en son centre. Un personnage lève une couronne de laurier?? Hum. Allons voir…

Monument au maréchal Moncey, groupe en bronze élevé en 1870 par le sculpteur Amédée Doublemard

Défendre la Barrière de Clichy contre les Russes? Diable!! Et c’est la ville de Paris qui lève le bras sans lauriers.

Bon. En devisant nous avons traversé les mêmes quartiers qu’avant et les mêmes quartiers qu’après je suppose. E. est délicieux,Ses dessins présentés-L’album animal’z– magnifiques et gris.

F. aussi, K. me fait rire. Nous rions et ce n’est pas à cause du champagne qui coule à flots plus que petits. Il faut trouver ( c’est vite fait) la voie d’accès, c’est à dire la sortie du plateau, se poster ni trop loin ni trop près et dès que la poignée d’une porte de bois clair s’abaisse, par un petit bon délicat aimanter un verre.

Papoter ici et là. F. et son splendide pantalon à carreaux qui me fait frémir de jalousie et V.

Il y avait beaucoup de monde au Rond -Point. J’ai lu sur une affiche que c’était la soirée Vogue.

Nous nous moquons de deux “beautés” blondes et bien ordinaires, qui tiennent leur sac à main sur l’avant-bras replié bien haut et poing fermé, et allons dîner en face au Théâtre.

D. sort de répétition-salut. Il n’y a pas ce soir de cheese-burger. Zut.

Quand nous sommes sortis, j’ai aperçu sur le trottoir d’en face, un fashion-homme à costume d’arbre. Je m’explique, dans l’obscurité j’analysais son costard slim comme feuillu et jaune et noir. Il se confondait un peu avec les (arbres-quelle sorte d’arbre?) de l’avenue. mais ce qui est le plus drôle me disais-je, c’est quand un arbre, cherche un arbre pour y pisser. Car c’est bel et bien ce qui se passait. Notre fellow, “Voguait” -sans jeu de mot-, il voguait feuillu et hébété, cherchant son équilibre au bord du trottoir pour évacuer sans mouiller ses feuilles imprimées à la Hantaî le Champagne en excès ingurgité. il avait l’air absolument perdu. monde et taxis rares. Je me mets dans la file et deux pepitas parlent de Saint-Trop. Au secours. R. court vers la rue M. et nous hijackons glorieusement une voiture à la barbe. des mondains et mondaines.

Ce matin RV avec Tom. Dans le café, il y a au fond posé sur une table un Cantal entier qui vient d’arriver. Mon vélo ne s’est pas trop dégonflé et je roule comme ça.

Au retour arrêt place Fructidor. Librairie:—

Consuelo

Essai sur l’art de la Fiction, de Stevenson

Ernestine de Sade

Etj’achète aussi le livre déjà feuilleté à Lyon: Le dernier deHélène Sixous dont les mots m’émerveillent. Eve s’évade/La ruine et la vie.

Envie de lire. Poursuis avec admiration la lecture du livre d’Anne.

J’admire sa concision,; ses images et sensations. Je vais finir par aimer les fleurs. C’est ce qu’elle dit de Consuelo qui me donne immédiatement envie de lire:

Madame Sand, je ne vous connais pas, mais on m’a parlé de vous. Introduction stupide mais on peut, en, écrivant se le permettre.


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Récupéré de l’été tout frais passé:

Cerf des tranchées

Incroyable. J’ai écrit cela il y a dix ans déjà et laissé dormir dans le tiroir.

Relecture. Hum. Mauvaise structure. Situations trop littéraires, trop abstraites. Que faire d’Armure et Pelisse.

Les transformer en Wolf et Julius changera t’-il quelque chose; mais est ce qu’ils sont aussi Soldat assie et Soldat couché.?

je ne comprends plus ce que j’ai écrit.

C’est mauvais signe.

Lu ce matin d’une traite le livre de Samuel. j’ai parfois éclaté de rire comme je l’avais fait en lisant Sallnger. Même rire qu’à la lecture de “au léger masque en pétale de coquelicot”, qui nous a fait pleurer des heures entières.


Daniel passe boire un verre hier et parle de sa pièce à lui. Il me file les infos pour le documentaire sur les bals par ici.


Oh la la Piero de la Francesca c’est quand même parmi les choses les plus merveilleuses




Journée sans sortir. Pas le nez dehors.

Cheminée et feu. mais il ne fait pas si froid.

Je reprends la lecture de Scrap Book. c’est une écriture intense, persistante ( je me comprends) . J’aimerais bien avoir ce style, très concis et à la fois ouvert. Voilà qui est fort mal expliqué . Bref.



Ma conclusion est celle-ci.

Le génie est un excellent plat qui a besoin d’une sauce.

Il ne suffit pas de dominer les hommes par ce qui est en nous, il faut les dominer aussi par ce qui est en eux.Il faut faire coup double, avoir ce qu’ils n’ont pas et avoir ce qu’ils ont…p440 Le trou de l’enfer.



Julius Samuel Lothario Frederique Eberbach Gretchen Cristiane Olympia etc







LN, les blacks et le lacrimo

Mais en attendant , ma dernière découverte:

Pansy Craze

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: The Pansy Craze was a period in the late 1920s and early 1930s in which gay clubs and performers (known as pansy performers) experienced a surge in underground popularity in the United States.

C'est décidé

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j’arrête la clog dance

For our first exhibit, we present photos from the collection of Peter Cohen. Peter — one of the collectors featured in Other People’s Pictures — is an investment manager and lives in New York City. He has been collecting vernacular photography for fifteen years and currently owns about 6500 images. Peter searches for a wide range of subject matter, including (but definitely not limited to) kids in pedal cars, people in trees or standing on poles, ‘dangerous women,’ amateur nudes, double exposures, blurs and other ‘interesting mistakes.’

Visually, Peter’s photos run the gamut from the humorous to the sublime, but all of them exemplify the artfulness — often totally accidental — that can be found in snapshot photography.

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SAINT-CHARLES PRIEZ POUR NOUS/Marseille

La cafétéria, gare de Marseille

Un type devant moi pousse son plateau vide. Moi j’attrape un fromage blanc dans une coupe à glace, avec une cerise au dessus, et des crudités. Rien de dangereux.

Derrière les plats du jour dans des bacs en fer, un grand black avec un calot blanc.

Le type devant moi ( petit chapeau, et moustache noire à l’ancienne

_ Condoléances

_?

_Condoléances, si vous êtes des Comores…

_ Heu… C’est Allaah qui l’a voulu…

_Vous avez tout compris… Du riz et des calamars… Exactement … Oui Allah… Enfin. Mais vraiment c’est dur pour vous. Condoléances, vous pouvez m’en mettre un peu plus?

_ …. Du riz?

_Non, des calamars … Et du riz aussi. Un peu plus, parce que je ne fume pas…. Merci et condoléances…

On peut le croire “ça”, le mec qui se permet “ça”? Ce con qui pour gratter 100 grammes de calamars gras d’une cafétéria ordinaire a la roublardise d’inventer “ça”?????

Je ne le crois pas. Un peu après il avale le tout, riz , calamars et condoléances en deux temps trois mouvements et achève son oeuvre avec une tranche de pastèque qu’il avale rondement.

On vient d’arriver et R. tourne demain. Coup de fil , ne tourne pas avant Jeudi. Merde . Remonté pour rien. Lui.

Assez contente d’être à Paris je dois dire surtout qu’Humphrey m’attend avec les raquettes de tennis.

humphrey B.jpg

Mon fournisseur d'images

Rurik nous propose:


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Lecture à la Maison des Metallos

Arg. ce matin tôt. Je monte des chassis et tape comme une dingue.

Cet aprem, trempée. Pluie et pluie..

Visite à E. qui sature.

A vendre la maison de Bergman ( La Reppublicà ). Pas de lien parce qu’il faut être abonné.

Des yeux, des yeux…

Sans aller jusqu’à répéter Hoffmann mais en lisant le blog de C.A , je m’angoisse en me demandant ce que deviendront nos yeux mangeurs d’écran. Point.

Jeudi je pars. Et Vendredi je lis toute la journée. Sur de sur.

Passée au Vieux Campeur pour acheter une nouvelle Mono-palme. En fait, la mienne que je pensais vieux matos des pays de l’Est est toujours en vente.

J’en vois une top, super en fibre de carbone, une lame.. trop cher ( 300 euros car il me faut du sur-mesure). Je laisse tomber. mais c’est beau.

C’est beau une palme la nuit et un saumon à 19h30

bouarke

Tennis pas mal.

Humeur morose et pluie battante. En plus , mail plante et comme j’ai viré les prefs je ne sais plus remplir le truc.

Onyx m’annonce fièrement que le disque a un problème.

Chouette. Je redemarre sur le DVD d’install. Problèmes réparés. Ouem…

Passage de Meriem avant son départ pour le Maroc et nous voyons les derniers points de l’animation.

Pluie et froid et pluie.

Réponse de A2G et de PH pour les rendez vous de “bougeons nous”.

Pis zut, j’ai rien à dire.

Et tous ces gens qui s’agglutinent pour écrire mes initiales…

Eugene Omar Goldbeck (1891-1986).jpg

http://anonymousworks.blogspot.com/

Et bien

Sans mail, c’est bizarre? Ah oui. Impossible de dire une bêtise là ou ça.

Nous ne sommes pas allés voir M.D au théâtre. Moi vroom vroom comme ça et puis bon….

Donc je pars Jeudi et je reviens pendant 12 jours en Juillet.

Mais on s’en fiche…

Ben oui

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BZZZ

Samedi, E. est venu photographier mes trucs à A. C’est gentil de sapart. Il se tape des prises de vue chez Roger Violet toute la semaine et je lui mange un bout de son Samedi. Le temps est moche mais on passe un bon moment.

Samedi soir pas le courage de sortir, jusye je vois T. une heure, passe chez le viet prendre 2 ou 3 trucs.

Dimanche, je scanne des textes pour R.

Ces histoires me crispant et me prennent la tête.

R. aussi.

C. partie filmer de la danse je ne sais où.

Ecrit à P.H et A2G pour RV à la rentrée.

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FICHI FICHI

Je passe chez C. afin de lui rendre sa caméra et de repiquer les S.N de FCP et Photoshop.

J’oublie mon portable et le code d’entrée, repars de l’autre côté de l’immeuble , en face de l’hôtel et crie: “Christophe!!!”

Un type en bleu pâle, souriant avec une guitare électrique me répond, me crie le code.

Je repars de l’autre côté ( on aura compris que l’appart de C. à une entrée là et des fenêtres qui donnent “sur” là.

Je croyais trouver P, qui venait de quitter les lieux, l’aquarium dirais-je, vu l’odeur insistante de poisson qui régnait au 3 ème étage.

Je me disais en fronçant imperceptiblement les narines:

Il aurait “fabriqué des sushis?…

Je n’ai jamais flairé la moindre odeur de bouffe chez C. car C, n’est pas le genre de type à se faire envahir…. Sauf.

Une clé tourne dans la porte. La personne “entrante” est visiblement surprise de trouver les lieux occupés…

—J’savais pas que tu rentrais si tôt…

—Non, mais si.

Je me suis dit, en voyant entrer une fille rousse en uniforme RATP: Le saumon, c’est elle;

C. est un amour de mec généreux. Je flaire les 7 erreurs.

— Ca va , alors, ça te dérange pas trop?

—Heu… Non… Mais j’ai beaucoup de travail la semaine prochaine..

— Ya pas de souci, je travaille de nuit

On apprendra plus tard que la fille en vert saumon est chauffeur de bus, Ya vraiment que C. pour loger une RATP, algues et saumon…

—Oui , c’est un peu le problème parce que tu dors jusqu’à quelle heure?

—Tu peux venir à 13h…

— C’est que j’ai plein de travail, justement cette semaine…

—Je comprends

elle fait cuire une omelette

—Et je voulais te dire, tu sais , mes enfants partent en colo le ?; alors maman les prendra car je bosse…

—mmmmm—

—Tu crois que maman et les enfants peuvent venir 4 jours?

— M…OUI; MMMMMM /oui

Moi je suis hébétée. Je me demande /Je sais que malgré l’odeur persistante de saumon, et avant celle d’omelette, on n’est ni dans Moby Dick de J . Huston, ni dans je ne sais quoi aux oeufs///, je sais juste que C. est embarqué dans une merde noire/

—Jecherche un logement mais je voudrais acheter dans l’Essone avec un crédit total. J’ai 120 000 euros.

Moi pour rigoler je suggère à cette fille que je n’ai jamais vue de me confier l’argent que je vais faire fructifier pour elle.

Elle le prend au premier degré et je reconnais là, non pas le saumon, mais le super pigeon.

—En fait, j’ai rencontré quelqu’un qui cherche comme moi, et on s’est dit qu’on pourrait acheter un terrain et se faire construire une maison en bois. C’est bien, c’est mieux isolé, c’est moins cher…

Christophe range se affaires et je me lève.

On a les sourcils dubitatifs

—Attends, ça ne me regarde pas mais…

Et bla et Bla.

Puis on parle , elle parle d’une bonne retraite, de maman, de Tourcoing, des transports..

Une autre planète qui est celle de plein de gens qui ne peuvent rien louer même s’ils ont un boulot.

On sort…

—On boit un café?

—Tu veux dire une bière ou vraiment un café?

ET là on commence à rire. C. est purement victime de sa gentillesse et se laisse envahir. Je lui dis:

—T’as pas peur que les gosses touchent ta guitare électrique?

Là , j’ai frappé fort.

On a beaucoup ri; puis il a trouvé un Velib, deux minutes plus tard, moi j’étais à l’abri, mais lui , avait pédalé comme un saumon vers Rambuteau sous la flotte.

Les saumons sont digérés, les omelettes aussi… Mais…

Ce que je me dis, c’est que je vais raconter tout ça à U. et que ça vaut bien 6 mois d’apprt occupé . Il n’y a pas encore de chien qui mettra des poils partout.

Je ne sui s pas très gentille….


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Masque anti-saumon


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et mail de C.A!!!!

Hou HOu , je déteste tout le monde

On part Jeudi. Puis i y a cette histoire d’appartement.
Donc je reviendrai fin juin. Repartirai vers le 10 juillet.
Course. Courses. Argent. Famille. Thomas. Fête ce soir-j’y vais pas.
Arg. aujourd’hui et E. qui fait des photos; Il est vraiment gentil.
Froid et pluie et bonnet gris.
Métamorphoses/ Apulée/magnifique.
Emission sur Lalique.
Une fille qui utilise sa technique dit:
—”J’ai fait un sac plastique en verre et une empreinte de mon corps qui va suggérer l’inspiration-expiration…. ”
Comme dirait notre doyenne du Repenti  ( avec accent ):
— “Monne Di-eu” !!!
Tu l’as dit.
On imagine sans peine l’indigence et l’horreur…. La technique au service de RIEN, du mauvais goût, du poncif et de la bêtise. Souffler 15 kilos de verre qui vont “représenter “un sac plastique qui respire…. “Trissotin come on”….
Mais je pense que Trissotin est un savant en comparaison de ces témoignages à rendre autiste.
Ordi rentré et pas déballé.
Doit rendre la caméra à C.
Ne peux croire que je suis rentrée de Rome il y a une semaine; pas appelé Efisio.
Vive Suzan Boyle qui, après avoir perdu au concours de la chanson,  court dans les couloirs de son Hôtel en culotte et en criant FUCK/
UNE CHAMBRE À SOI

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