Hoardind / Notes

Hoarding is the excessive collection and retention of newspapers, trash, unopened sale items, clothing, paper, rotting food and even cats. Conditions in the home of a hoarder can become so extreme that all available space from floor to ceiling may be occupied and the day-to-day activities of the home’s occupants are impeded.

Hoarders become emotionally attached to everything. They are unable to distinguish trash from treasures. Hoarding “feels right” to the hoarder, in spite of health and safety consequences.

Hoarding does not recognize race, gender, nationality, level of education or socio-economic bracket. While more prevalent in older adults, hoarding is estimated to affect 350 households per 100,000 people. Based on that estimate, Fairfax County, with a population of over one million, could have as many as 3,500 cases of hoarding.

Animal Hoarding 

While less prevalent, animal hoarding poses a serious health threat to the resident, the community and the animals being kept.

Animal overpopulation in a home leads to unhealthy waste accumulation, starvation, disease and animal death. Decomposing remains also adds to the unhealthy environment.

Typically, an animal hoarder is unaware of the filth and odor actually present in and around the home, and insists the animals are being cared for appropriately.

Signs of Hoarding

Hoarding is not limited to any age, race, gender or nationality. Hoarding behavior can begin early in life but is more prevalent in older adults. Hoarders can be of any educational or socio-economic level. They are unaware that their living circumstances pose a danger to themselves and to others. They are unable to change unsafe conditions on their own.

  • Extreme collection and storage of items in the home and in the yard.
  • Accumulation of combustible materials (newspapers, magazines and rubbish).
  • Blocked exits (doors/windows).
  • Narrow pathways in the home.
  • Rat and/or insect infestations.
  • Rotting food and/or used food containers.
  • Human and/or animal waste.
  • Long-term neglect of home maintenance.
  • Non-working utilities, such as heat, running water, sewer and refrigeration.

 

Homer and…./ Notes

Streetscapes/128th St. and Fifth Ave., Former Site of the Harlem House Where the Collyer Brothers Kept All That Stuff; Wondering Whether a Park Should Keep Its Name

By CHRISTOPHER GRAY
Published: June 23, 2002

WHAT did the Collyer brothers ever do for Harlem? That’s the question asked by the Harlem Fifth Avenue Block Association, which seeks to rename the tiny park at the northwest corner of 128th and Fifth Avenue. The group would like to see plaques go up with the legend Reading Tree Park, but, for the near term at least, the park will continue to memorialize Homer and Langley Collyer, two of New York’s most reclusive hermits.

Harlem began as a small village in the 1840′s but by 1879 — when the developer George J. Hamilton built his row of five row houses at the northwest corner of Fifth Avenue and 128th Street — it was almost fully built up. Hamilton’s architect was George B. Pelham, who had been born in England but came to New York in 1871. Pelham’s houses, built for $12,000 each, were typical neo-Grec-style buildings of the period, with the customary high stoop. Hamilton occupied the corner house, 2078 Fifth Avenue.

In 1909, the Hamilton family sold the house to Susie G. Collyer. The 1912 city directory lists her in the house with her husband, Herman L. Collyer, and their sons, Homer, born in 1881, a lawyer, and Langley, born in 1883, a musician.

In 1923, Dr. Collyer died, followed by his wife in 1929. Later press accounts indicate that the gas and electricity were cut off around that time, apparently with the sons’ consent.

In 1938, Helen Worden, a reporter for The New York World-Telegram, interviewed Langley Collyer, who told her: ”We’ve no telephone, and we’ve stopped opening our mail. You can’t imagine how free we feel.” Worden, who subsequently wrote about the Collyer brothers (using the name Helen Worden Erskine) in her 1954 book ”Out of This World,” became interested in the Collyers because they had become known as hermits.

Langley would not let her into the house but told her that, yes, there was a canoe in the basement — his father used to paddle down to the hospital where he worked every morning and back in the evening, he said. Langley also explained his shabby dress: ”I have to dress this way. They would rob me if I didn’t.” Her book also says that he said he had stopped playing after a concert at Carnegie Hall: ”Paderewski followed me. He got better notices than I. What was the use of going on?” She said Langley had a ”low, cultivated voice.”

aube double

C’est très laid mais j’aime bien

Paysage

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme ecto ne veut plus rien savoir, qu’il quitte et requitte et ne se plait plus chez moi disons le nettement, je choisis Mars édit qui me semble de toutes façons moins moche d’interface.

Rêves encore, cette fois ci la mort de J.

Et la nuit précédente , “l’aube double”. Nous étions sur une sorte de plate forme . Trois personnes. C’était un paysage minéral, majestueux et le jour se levait sur ces crevasses blanches et précipices. Soudain R. a dit: ” Regarde c’est l’aube double” et effectivement nous avons assisté à un spectacle étonnant, comme si le ciel se dédoublait comme si un double de ce paysage se déplaçait et dans son glissement laissait surgir les rayons du soleil grandissant. Faisant un mouvement panoramique de la tête, je remarquai que ma chaussure droite, était à environ cinquante mètres de là. Puis des plaques dans le ciel, qui auraient comme équivalent si nous avions été en mer, des bancs d’algues ou de méduses, des plaques de points blancs ont glissé puis sont tombées verticalement, de plus en plus nombreuses. Une sorte de bombardement fait d’une matière qui n’était pas de la neige mais s’il fallait trouver un équivalent serait une sorte d’option graphique photoshop. Oui l’option 66 de l’outil pinceau  par exemple en 200 px.

Nous nous sommes dit qu’il y avait menace et c’était peut-être une attaque ou une invasion, comme dans les années 50 .

Dans la lumière un être humain identique à nous s’avançait comme Cyrano de Bergerac sur son équipage.Auréolé d’une sorte d’arcen ciel. La dernière imagée ce rêve est une danse de personnes habillées en squelettes

Comete

SNCF

OBJET : Réclamation

Concerne mon voyage Avignon-Paris du 11 05 2012

 

Paris le 12 mai 2012

 

Monsieur, Madame

 

Munie d’un billet idTGV de première classe pour le train 2916 partant de la gare d’Avignon à 16h41 le 11/05/12, je suis allée voie 4 dès que l’annonce fut faite sur le panneau c’est à dire à 16h 20 environ.

 

Possesseur d’un billet idTGV première classe, je suis donc contrôlée sur le quai et l’ agent qui vérifie ma feuille de route m’indique mon wagon sans me signaler quoique ce soit d’anormal.

Je m’installe donc tranquillement dans un wagon presque vide et le train part.

Au moment du contrôle, on me dit que je ne suis pas dans le bon train et que mon billet n’est pas valable.

Je ne comprends pas.

Il m’explique que nous sommes dans le train 6122 départ à 16h08 et non dans «le mien» le 2916 de 16h41 .

A la gare d’Avignon, les deux trains 16h08 et 16h41 se suivent et se prennent sur le même quai.

Le 16h08 étant en retard au départ ( 25 mn de retard à l’arrivée), est donc sur la voie 4 vers 16h20 / 16h25 .

Au moment du contrôle-scan de ma feuille de route-billet sur le quai, personne ne me signale qu’il s’agit non pas du 16h41 prêt pour accueillir les voyageurs 20 mn avant le départ, mais du 16h08 qui a un retard de plus de 10 mn au départ d’Avignon.

 

Je comprends donc qu’il s’agit d’une confusion due au retard du 16h08 et due au fait que les trains partent de la même voie.

Je suis tout à fait de bonne foi, le contrôleur en convient en sortant son carnet d’avis d’infraction.

Je m’étonne…

Je lui demande sa compréhension puisque le début de la confusion vient d’un retard dont je ne suis pas responsable et d’un mauvais contrôle idTGV sur le quai .

Il ne veut pas m’entendre. A sa demande je lui présente ma carte d’identité, mais refuse de signer et payer ce que je juge absolument injuste ayant déjà été contrôlée sur le quai:

Me voici considérée comme un voyageur sans billet et en infraction!!!! La note est de 206 euros !!!! Mais il ne s’agit pas d’argent mais de principes.

Résumons:

Du côté SNCF deux «fautes»: Un retard train 6122 de 25 mn à l’arrivée à Paris + un contrôleur idTGV qui me fait monter dans le mauvais train + un contôleur très zélé et implacable.

De mon côté: Moi, Helene Delprat, passager de bonne foi,cliente assidue de cette ligne, soutenue par des voyageurs indignés par cette situation abusive dont je suis la victime.

 

Messieurs, mesdames, je vous laisse juges de cette situation qui a rendu mon voyage bien désagréable.

En espérant votre compréhension par rapport à la logique de cette situation, je vous prie d’accepter mes salutations distinguées.

Helene DELPRAT

 

 

 

5 Pièces jointes/: avis d’infraction 2 feuillets/ billet idTGV/ imprimé SNCF en temps réel/ Imprimé Contactez nous manuscrit/ Ce courrier pour facilité de lecture.

 

Ici ne sont pas évoquées les remarques sexistes: “Parlez moins fort ce n’est pas élégant pour une femme” !!!

On rêve mais ceci est intéressant

Les contrôleurs ont-ils un quota journalier de PV à dresser aux voyageurs avec des objectifs chiffrés de récupération des sommes en liquide?

Si l’entreprise publique, confrontée, comme à la , au phénomène de la fraude, se défend d’appliquer une telle « politique du chiffre », la réalité sur le terrain est, semble-t-il, tout autre.

Et de plus en plus de contrôleurs brisent l’omerta sur cette pratique qui attise les tensions entre voyageurs et agents SNCF.

Retour en haut