C’est vrai que ça m’a quand même démoralisée, ces vernissages où je n’étais pas obligée d’aller. Et puis je me suis fais engueuler par R. qui m’a dit:
“Mais t’en es encore à t’emmerder avec ça, à être sensible à ça?”
Ben oui, je vois ce que je vois et je trouve que c’est pathétique.
En même temps je m’en fiche. Bon tennis, bien joué, bien plié mes jambes, bien posé mes appuis, bien restée pas de face, bien servi.
Puis retour, puis hop IKeA, c’est fait les placards ;
Ouf; Puis maison.
Puis moral in the talons. Puis déjà 15 h; puis j’y vais quand même; puis atelier;
Puis 16h et contente. papier et perles et contente. Puis Dalila. Puis retour vélo. Puis dîner ici avec C. ert R.