Follow me

Thomas Mann griffonné par R. dans le Monde

Changement de programme. Je ne partirai donc pas demain. Rien de grave mais disons des précautions qui éviteront de s’inquiéter. C’était bien de déjeuner ( moi qui ne déjeune pas !!! ) avec M à Paris pour quelques jours. Elle est incroyable, toujours à faire attention aux autres, à être curieuse des autres… Tous les médecins ne sont pas comme elle. On a ri, parlé de 1000 choses chez un minuscule traiteur chinois délicieux. Je ne vais jamais dans le 15 eme qu’à priori je n’aime pas beaucoup . Mais autour de Convention, j’ai trouvé qu’on était un peu en province. Calme. Elle a découvert dans le coin un atelier de staffeurs. en cherchant je crois qu’il s’agit de l’atelier du style. Avec M nous nous échangeons souvent des photos de trucs auxquels on assiste: visages, situations, vêtements… Deux pieds chaussés de baskets, et bizarrement le personne à « rangé » un stylo dans sa chaussettes mi mollet. Je pense au  sgian dubh des écossais. Disons que le Norvégien ( elle est à Oslo ) à la chaussette-stylo est la version intellectuelle de l’écossais au couteau! Une photo de Docteur Miracle ( quand nous déjeunions porte ouverte, je faisais semblant d’appeler des passants en disant: Si vous avez besoin d’une ordonnance c’est ici !Une fille toute maigre en rose qui passe à côté d’un affiche pour McCrispy, une chaise transparente abandonnée près d’un arbre , un fauteuil dans la même situation, une dame dans le métro avec des lunettes étranges, une autre de dos avec une robe à l’imprimé atroce . Dans ces catégories je lui avais envoyé un divan abandonné et qui devait être sans doute possible celui de Lacan, et un imprimé affreux Frida Kahlo volé à une femme de dos afin qu’elle ne puisse pas voir que je l’espionne pour M.. Des oursins multicolores et qui viennent d’être pêchés à coté des iles de Lerins… Bref nous échangeons des petits moments de nos vies. Relu les Braises de Sandor Marai. Commencé L’inconnu de la ligne U de Aveline ( polar un peu désuet conseillé par François Angelier quelque part dans le Monde )

Toujours peinture mais plutôt pas terrible, comme si chaque pinceau pesait 10 kg. J’aimerais terminer ces deux grandes peintures, mais l’attraction terrestre est énorme et m’extraire de mon fauteuil et de ma somnolence… Bref… J’ai dû écrire des notices pour plusieurs tableaux afin d’aider un peu ceux qui vont se charger d’expédier ça chez des collectionneurs. Je ne raconte pas n’importe quoi, mais disons que je me comporte comme un spectateur et raconte à vrai dire un peu … en interprétant ce que je vois. C’est assez amusant. Que se passe t’il là, pourquoi deux couronnes et pourquoi une tasse qui se renverse. Pourquoi ces attributs royaux et cette tête grimaçante. Parfois c’est facile comme pour UB-USA le singe peintre qui dessine la figure de Jarry, parfois ( et souvent ) je me demande bien ce que j’ai voulu raconter !!!Le point commun en ce moment: des visages monstrueux soit hébétés, soit effrayés, des objets qui tombent, des livres qui glissent sur une table. Puis une peinture entièrement abstraite et géométrique qui me fait du bien, comme si elle nettoyait tout . C’est la toile Monsieur propre ! Ca me fait du bien de ne voir que ces formes géométrique plutôt que ces têtes, objets, motifs envahissants. Ce trop de trop. Vive le monochrome.

Nous sommes allées avec S. au Centre Pompidou Metz pour installer ma  » copie  » de Gainsborough accompagnée des piques. Accueil plus que sympathique de CP et de l’équipe de monteurs. Hop on installe. Je veux vérifier que les piques sont bien nécessaires.Hum… Une de plus, une de moins, une seule de ce côté. Sur 10 j’en garde 6. C’est bon. Puis visite de l’exposition Cattelan: Un Dimanche sans fin qui réunit un choix de ses oeuvres et de celles des collections.

Elle est divisée en 27 sections qui se déploient à la manière d’un abécédaire, similaire à celui de Gilles Deleuze, chaque section portant le titre d’un slogan, d’un vers d’un poème, d’un roman, d’une chanson – B pour « Bats-toi » ou Q intitulée « Quand nous cesserons de comprendre le monde ». La 27e section est quant à elle nommée d’après une nouvelle lettre ou un nouveau symbole, inventé pour l’exposition. À partir de ce répertoire de pensées, les détenues de la prison pour femmes de la Giudecca à Venise écrivent des textes inspirés par ces 27 titres, qui viennent scander le parcours, et souligner que la transmission artistique n’a pas de frontières. Une sélection de peintures, sculptures, d’installations et de films de la collection du Centre Pompidou dialogue avec des œuvres de Maurizio Cattelan, de ses premières pièces, notamment Stadium, un baby-foot géant, à ses créations plus récentes comme Comedian ou son monumental Felix. Le parcours ouvre par ailleurs à un champ chronologique plus vaste que celui des 20e et 21e siècles, à travers la présence de Gradiva des musées du Vatican de manière à montrer la force des sources d’inspiration mythiques antiques pour l’art moderne et contemporain. 

J’ai beaucoup aimé l’exposition très vivante à la fois fourmillante et épurée. Je regarde tout cela avec d’autant plus d’intérêt que ce sera mon tour en 27 . Hum. J’ai commencé hier à me plonger dans les collections. Mes premières découvertes sont Dieter Rams, designer industriel allemand, une canne taoïste de théâtre , un Ad Reinhart, des coraux de la collection Cordier… Déjeuner au Musée et retour .

Suis passée aux Beaux arts pour voir le diplôme de Adrien et les préparatifs de Mia. L’école m’a semblée vide mais de tous les lieux se dégage la même atmosphère quand on n’a plus rien à y faire. Toute vie semble effacée d’une salle de classe où on n’est plus élève, d’une imprimerie où on ne travaille plus, d’un paysage que l’on retrouve. Diner dans le jardin de J. dessin pour le cookbook de I et M. Hop c’est fait. Hier cinéma The Phoenician Scheme. Bon c’est sympathique et drôle comme on dit, mais pas très bon quand même. Une sorte de BD hyper chargée . Ennuyeux pendant un bon moment. C’est du cinéma d’effets et d’images, de décors et costumes. Tiens Charlotte Gainsbourg ! Une minute, le temps de la reconnaitre!. Les sous-titres qui passent du bas de l’image au haut , c’est pénible. Stravinsky… Bon il ne me restera rien tout cela c’est certain . J’aime bien Benicio Del Toro.

Hans Castorp

Mann thomas

J’ai terminé la Montagne Magique. J’en suis essoufflée. Surtout après la séance de spiritisme…Le duel… Le départ brutal à la guerre.

« Et c’est ainsi que, dans la mêlée, dans la pluie, dans le crépuscule, nous le perdons de vue »

 

( PS : Pas marrantes les photos de Thomas Mann en général. Homme tronc derrière bureau et devant livres … Jamais pris sur le vif Tout est figé figé…  » Réglé!!!! »)

 

Note en relisant les mails de AB/  La Famille Aubrey, de Rebecca West

RETOUR

Je me demande si je ferme le blog, si j’y mets un mot de passe. J’ai peu de  » clients  » mais c’est surtout le fait d’enseigner qui modifie mon approche… Bon. Le retour est étrange et un peu mélancolique je dois dire.

Capture d’écran 2015-09-21 à 12.23.04

J’ai écrit cet été quelques entrées non publiées pour cause de « pas de réseau ». Mais sans cesse je pensais à noter. Ce que je n’ai pas fait. Certains rêves extravagants ( je vise une personne de l’autre côté d’un patio avec une carabine et la tue. Mais je suis innocente ( et pourquoi donc ). D’autres encore, maintenant effacés. Et puis quelques images écrites que je devrais pouvoir retrouver dans des SMS si j’en avais le courage.  Seul le téléphone pour les mails. Finalement ce n’est pas mal. J’ai travaillé tous les jours, écouté la radio , et pas mal lu. Acheté aussi des livres  de Pierre Hadot. Entrepris « La montagne magique ». 820 pages ( plus que 200 ) . Même si parfois c’est un peu bavard ( les conversations philosophiques entre Settembrini et son pantalon à carreaux et Naphta tout de noir vêtu )… J’adore et souffre ( en tant qu’ex-asthmatique ) de cette atmosphère de neige étouffante, de poumons malades, des chaises longues face à la montagne.

C’est le livre du temps. Des temps. »L’encyclopédie des souffrances« – entreprise étrange- et c’est assez vertigineux. C’est aussi le livre de la mort, le livre d’ En-haut, là au Berghof. Parfois je pouffe de rire car les descriptions des personnages sont savoureuses. ( personnages bossus, naine, dents de lièvres et femme russe qui claque la porte, hommes sans chapeau et qu’ils n’enlèvent pas pour saluer du simple fait de leur absence, tenues, pâleurs et rougeurs, toux et fièvre…)

La course dans la neige palpitante, angoissante. Mais il faut avoir le temps bien libre pour ce genre de récit. Oui le temps. Il faudrait être en cure toute la journée, emmitouflé dans de  » couvertures en poil de chameau » ou des fourrures pour lire idéalement ce livre !!!

Les grands sanatoriums que je regarde, me font penser aussi au Grand Hotel des Bains de Venise ( Et d’ailleurs qu’en est-il de ce vaisseau, fermé la dernière fois que j’y suis passée. ) C’est hallucinant la taille de ces bâtiments, le nombre de chambres. Il est vrai qu’on voyageait alors avec famille et domestiques.

342_IM-1655-0001-0001

Rêve/ 9 aout 2015

Je l’avais étranglé. C’était un enfant très petit. Surement un nouveau né. Il fallait que je me dénonce. On lirait cela dans la presse, dans Art Press mais on n’y croirait pas. Aller au rendez-vous malgré ça. Il est déjà tard et j’ignore le lieu. Téléphoner? Repasser à la maison qui est à nouveau dans le 17 eme, dans l’appartement du début. Pas le temps. Je décide d’aller vers Saint Germain. La traversée des Beaux-arts où tout est en plâtre blanc est plausible et je sors par les quais ( dont la porte est désormais fermée pour des raisons de sécurité je suppose ). Un téléphone portable mais si vieux. Je l’ai retrouvé au fond de mon sac et ne sais plus du tout m’en servir. J’appuie sur les touches pendant des heures. Fébrilement- et le temps passe. Une grosse fille m’aide et me dit d’appuyer sur le bouton rouge pour que les noms apparaissent. Rien à faire. Le Quai Malaquais ne longe pas la Seine. Le paysage est une sorte de collage . Si on va vers l’Institut, ce sont des rues que l’on trouve en face et non la Passerelle des Arts. Taxi. Là qui arrive. Je l’attrape. J’entre. Il est comme un autobus mais dans l’autre sens. Tout en largeur. A l’intérieur, le chauffeur est assis à une grande table rose. Il fabrique des antiquités précolombiennes dans cette lumière tamisée. Ca m’étonne un peu mais pas tant que cela. Il est tellement souriant. Le vert du taxi libre d’autrefois. Le rose à l’intérieur. Comme un Bonnard. Dans la nuit.Puis j’ai tout oublié. Je me dis que peut-être j’échapperai à la perpétuité si… si quoi??? 

Je me dis surtout que le temps est un peu compté à présent et que je dois choisir. Sans aucun doute l’Alexander Platz aura été la découverte de l’année. De l’été. Je vois que j’ai à côté Ulysse jamais lu non plus. Je lis Le château ou plutôt le relis / Je l’avais abandonné. Je ne le dévore pas d’avantage. J’ai retrouvé à l’intérieur je ne sais quoi. Un bout de papier, une note: 1937/ Egypte et un dessin de lune et des drôles de signes. Janvier 1990.

J’aime bien dans la chambre les tiroirs que G . a fabriquée. J’y suis installée avec l’ordi. C’est comme une grande table.R. me passe des feuilles blanches et me dit qu’il doit s’agir de notes de Cergy. Sur la page 153  écrit au crayon en tout petit: Hihihi.. Plus loin p90 il est question du fondateur de l’abdomen musical(??? ). Mystère. Je me demande ce que je voulais dire.

Capture d’écran 2015-09-21 à 13.40.16

les fourmis du Repenti

Rêve/ 11 aout 2015

Le rêve était celui d’un RV encore une fois et d’une ville. Pour le rendez-vous je n’avais rien à proposer et pas la moindre idée. Il fait nuit et je marche dans une ville à cathédrale. Une immense place. Benoit qui est là me dit «  regarde, ça marche » et il me montre la façade de l’église, immense devant laquelle tournent des figures, des engrenages en papier, en fer. Il me dit que c’est un essai ( comme celui qu’il avait fait dans sa cave et où un manteau tournait ). C’est magnifique. Un groupe arrive et s’accorde aux mouvements devant les Saints et les rouages. Les personnes masquées ont des chapeaux pointus et je dis à B que cela m’évoque Depero ou tout au moins les années 20 et je cherche dans ma mémoire ( sans internet ) cette photo en noir et blanc de qui? Ball? {Bingo Hugo Ball au Cabaret Voltaire }Le groupe disparait et c’est moi qui danse avec ce rôle de chapeau très haut et pointu.

220px-Hugo_Ball_Cabaret_Voltaire

 

Rêve/ 14 aout 2015

Le rêve suivant n’a pas le même charme. Nous voulons jouer au tennis un dimanche et aucun court n’est libre. Nous traversons une piscine-fleuve les raquettes à la main puis revenons. Je ne veux plus le chemin de l’eau et veux passer par «  la façade »; Mais j’ai peur et j’ai le vertige. Je me remets à l’eau.

Meeting de Nicolas Sarkosy qui est avec nous . Qui est le « nous ». Je l’ignore. Lui est là, parle fort, est assez familier mais assez sympathique aussi ( ????) . La Marseillaise. Et la garde républicaine. Tout le monde se lève sauf moi. Puis nous sommes avec Bernadette Chirac dans une cuisine.

Passionnant…

Capture d’écran 2015-09-21 à 13.48.46

Rêve/ 15 aout 2015

Je me mets au travail, reprend la mise en scène de Macbeth et des notes que j’enregistre. Puis c’est le jour de la représentation. Un type, au moment où la salle s’éteint se précipite et dit à tous qu’il va se laver les mains. Il ressemble aux aides de K. dans le château. Noir. Une grande comédienne arrive à peine en retard et porte un immense chapeau en forme de croix noire et pierres précieuses. Elle s’assied à quelques rangs derrière moi sur ma gauche. Dans ma mise en scène, on n’ouvre pas avec les sorcières. C’est Lady Macbeth, qui est deux rangs devant moi extrêmement maquillée selon je ne sais quelles lois du genre. Elle me regarde et commence dans l’obscurité. C’est sublime. La scène plus loin disparait et c’est un tête à tête entre cette sorte de Maria Casares et moi. Tout le monde retient son souffle. Soudainement elle se tait et nous sommes sur la scène. On voit celle-ci comme si elle était filmée, sans vision d’ensemble. Puis on entend ma voix . J’ignore ce que je dis ( je ne trouve plus ) Puis terminé. La salle se rallume. C’est fini. Honte totale. Personne ne comprend ce qui se passe et pourquoi Macbeth est interrompu. J’entends: C’est la femme de R. qui a fait la mise en scène. 

Puis je rêve dans le rêve et je suis dans un cercle et ce pourrait bien être le début de Macbeth. Je suis condamnée pour sorcellerie et on va me couper tous les doigts. C’est abominable. On va peut être me tuer. Je demande à avoir les yeux bandés. Puis je demande à voir. Je demande à ce qu’on me laisse l’articulation du pouce et de l’index pour au moins faire une pince.Scène suivante. J’ai des Tricostéril partout. Mais rien n’a saigné. Aéroport de Nice…

Note

inclure l’infigurable

figure= sans ressemblance d’aspect

figures-choc

la pluie de matière est une figure

 

18 aout 2015

Sainte LN qui n’est même pas mentionnée dans la légende dorée. Fin de la première peinture ici que je ne photographie pas, contrairement à l’habitude. Je me contente de noter la taille et de faire un croquis-mémoire. Tout cela dans le but d’oublier puis de redécouvrir. Repense beaucoup aux faux-marbres de Fra Angelico, zones sidérantes et véritablement mystérieuses. Zones de recueillement et zones de silence donc, du Verbe.Regarder Misrai/ Je ne connais pas. « Château » . En parlant de Chateau, j’abandonne Kafka. Je n’aime pas du tout cette technique pourrait-on dire de l’enfermement. ( le mot technique est particulièrement mal choisi ).L’absurdité y est conventionnelle et mécanique. Je ne demande qu’à entendre un défenseur. ( j’ai tort évidemment )

Deux peintures commencées en plus de ce truc rose à projections. ( ??? ne me souviens plus ) Repense à Pollock/ Repense à Barnett Newman et à leurs splendides « abstractions » . Repense à l’école de Paris, lourde et vide, gestuelle et superficielle. Vaine dans le sens où l’abstraction nommée telle quelle n’est nullement l’ennemi de la figuration nommée telle quelle. Quel malentendu!!!! Et qui , de plus , perdure.

Cette nuit… Un film que je projette. Les derniers plans sont des rayures et lorsque celles-ci apparaissent, le spectateur-moi est proprement renversé sur son fauteuil. Je me dis-alors que j’ai inventé ce truc- je me dis comment est-ce fait. Un spectacle que je mets en scène. J’offre à ???? un « habit de cheval » que je prends rue de la Cavalerie. Un habit de cheval? Oui c’est le descendant du cheval de Picasso dans Parade et la prolongation du protège-guêpe que l’on voit posé sur les naseaux et sur les oreilles des bêtes.

HF ( qui est-ce ???)me dit que ce n’est pas la peine de refaire le spectacle( évidemment ) comme lorsque GG me suggère de ne pas montrer mon diaporama aux Beaux-arts ( ben tiens !!!!)

Un écureuil écrasé sur la route et un lièvre qui traverse. Une biche là, à droite. Des nuages et un peu de pluie ne fin de journée.Biographie de Shakespeare que m’a laissée MT.

 

Rêve/ 19 aout 2015

Je suis devant l’entrée de l’hôtel des Beaux arts et me demande le prix des chambres. J’entre. C’est tout noir et  il y a des graffitis pornographiques.. Le prix est indiqué: 174 euros y compris celle de Wilde. Un dame promène trois chiens devant l’hôtel qui est une grande esplanade. Je me demande si c’est Francoise Fabian.Le chien vient vers moi et je lui caresse la main.( Au chien???) Un type sort de l’hôtel avec un immense manteau très long. Il se retourne un peu. C’est une femme. Je croyais que c’était un directeur de théâtre.

C.essaie des robes de mariée de grands couturiers. Elle est entourée d’une nuée de conseillers et de ce peintre ridicule qui immortalise la scène ( c’est celui que l’on voit à la télé et qui dans une danse de Saint guy toute médiatique reproduit , un pinceau dans chaque main , le visage d’un chanteur!!! Atroce.

Temps sublime

suite

A argenteuil  Il y a un mélange de lieux. Pour la première fois, la maison de ma grand-mère. Argenteuil et rue Leonidas. Le mélange de ces endroits est petit, encombré et se situe véritablement dans la cour de la rue du Fbg du temple.

Je m’aperçois que je peux disposer d’une autre terrasse tout en bois et qu’une porte qui n’est pas fermée donne sur un beau jardin. C’est à vendre. Taher voudrait acheter. Je ne sais pour quelle raison je hurle et le prie de disparaitre de la chambre ( amiens chambre de mon frère) . Dois je acheter cela ? ( L’avenir ne le dira pas !!)

Capture d’écran 2015-09-21 à 14.17.05

Retour en haut