Ca y est les deux blogs ne font plus qu’un. Ne me reste qu’à arranger tags et catégories, ce que j’ai toujours mal fait.
Hier j’avoue honteusement m’être réjouie de la pluie!! Petits échanges de SMS à ce sujet .
Il pleut tant que j’ai envie de faire du vélo, de respirer , d’être dans les bois. Je me couvre bien,-mais est-ce assez???- un imper + la chauve-souris + un bonnet et je file à la Bastille. J’ai un torchon dans mon sac pour m’éponger à l’arrivée et c’est délicieux de rouler. Un peu dangereux sans doute.
Au retour j’ai promis de passer au Châtelet, mais je n’ai pas la foi et rentre pour être bien fraiche au tennis de ce matin. Et j’ai vu la différence.
E. nous apporte des macarons et les photos qu’il avait fait de moi d’ailleurs avec l’imper d’hier soir. Il repasse pour réglages de son enregistreur. R. pendant ce temps joue.
J’ai commencé les essais de voix en Italien. C’est pas mal. Heureusement que GG a fait la traduction.
Nous nous envoyons des petits mails de ce genre:”Tu as traduit ça par ça, penses tu que…”
Tu as traduit:
Le lucioles, les miennes n’étaient la métaphore de rien du tout
par
Le lucciole, le mie non erano solo la metafora del nulla.
Penses tu que c’est le même sens. Et comment peut on insister sur un rien du tout ( dans le sens où la métaphore m’ennuie?)
” On adorait “Qu’est ce qu’il y a de plus fort que Piaceva a noi???
Dis moi quand tu as un moment pour dejeuner ou café ou bonbons
bzzzzz
Tu réponds:
“Chère Hélène, On n’adore pas en Italie. Je t’ai mis une autre solution ci-dessous… Pardonne-moi de te le dire, mais tu as fait une faute de français en disant “n’taient la métaphore de rien du tout ” – tu aurais dû dire : étaient la métaphore. Au delà de “nula” il n’y a … rien !!!! Aurais-tu un moment mercredi ? J’attends un signe de la belle Hélène et je l’embrasse (baci + baci auraient dit les futuristes) GG Tu le sais l’italien est une langue très différente du français, et surtout dans les formulations idiomatiques…
G m’a fait suivre un truc détestable;. Il s’agit d’un cagnotte par le net. On met du fric, ( on précise qu’il faut tant) et on achètera un beau cadeau d’anniversaire.
Cette nuit j’ai fait un rêve épouvantable. J’étais à l’avant-première du film avec JLT et on a changé de salle. Jean-Louis était derrière moi avec M. Mais il était beaucoup plus jeune. La salle était vide et soudain , comme un tsunami les gens ont été propulsés à l’intérieur, poussés par un type avec des abeilles sur le crâne rasé et un peu roux.Il avait une mitrailleuse. J’avais peur. Mais ne bougeais pas. C’était un attentat. Ca claquait et il y avait des morts… J’ai entendu ce matin à la radio Jean-Paul Mari ( rencontré il y a bien longtemps) et qui parlait de son métier: Grand reporter au Nouvel Obs…
Un autre expliquait que pendant des années il n’avait pu marcher sur de l’herbe de peur de sauter… ( faut pas qu’il aille à Orsay me dis-je gnark gnark…)
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