Flemme d’écrire mais.
Hier alors que je rentrais d’Argenteuil, après avoir tout comme aujourd’hui ramé désespérément, je m’étais allongée pour en finir avec Vendetta de Ellory mon chéri.
Alors que je marchais dans les rues de la Nouvelle Orléans et décidais de rentrer à Cuba ( je me mets dans la peau de Perez) , j’entends comme venue des pages une voix: Celle d’un fédé ou celle de Duncane???
—” C’est pas vrai, tu es là”
Et je me disais que c’était Hartmann qui parlait. Hartmann, après 10 jours de tête à tête au Marriot avec Perez avait bien droit de me skyper…
“Me skyper” me dis-je en jetant le livre et en fonçant vers l’ordi-outre-tombe;
Sur le chemin ( notre appart fait 15 km de long ) je criais je suis là, je suis là. C’était anamaria-Bogota qui était comme un ghost entrée dans la piaule
Bon. alors que j’écrivais le téléphone a sonné/.
M. Conversation aussi intéressante qu’interminable.
Puis C. a tenté un skype et j’ai répondu en “clavardant”.
Après j e l’ai chopé skype-net et voilà le résultat.
On a dit des bêtises. Camille est arrivée a piqué un bout de Comté, est repartie.
Entre temps j’avais rencontré Remi à l’institut Italien rue de Grenelle et ri avec V; qui nous a accueillis F. et moi.
Scoot jusqu’à l’expo Plossu en séchant Dina Vierny rue de Varenne.
Le soir c’est bien. On n’y voit rien comme dirait… mais le jour c’est dur.
Rien Rien rien
Et pendant ce temps d’autres personnes chassent l’éléphant. En parlant de cela, Vian -Pléiade
Et en parlant de cela cet horreur de Sarkosy qui ose citer de Gaulle.
Pince moi je rêve ‘” la politique ne se fait pas à la corbeille” allo????