Fin de Gabriel Lambert. ( Le bagnard de l’opéra)
En 1835, alors qu’il séjourne à Toulon, Alexandre Dumas croise un forçat au visage familier. Cet homme aux traits fatigués, en tenue de bagnard, se nomme Gabriel Lambert. Mais l’auteur l’a connu dans un autre siècle, lorsque, vêtu des plus beaux costumes, on l’appelait Vicomte. Quel fut le chemin de cet homme, autrefois dandy, familier de l’opéra, du théâtre et de toutes les réceptions mondaines, aujourd’hui les chaînes au pied ? Voici le destin d’un fantastique copiste, faussaire et faux-monnayeur, que la lâcheté conduit à l’échafaud.
Au moment où j’écris je râle à voir une voiture se garer devant la table et le banc…. Obligés sans cesse ici ou là de dire aux gens de s’écarter. Vous allez à la mer. Crique sur mesure et rochers. Un groupe se pointe et se met devant vous. Vous allez à la piscine déserte: quelqu’un pose sa serviette à 5 cm de votre sac. C’est incroyable cette manie qu’on les gens de se coller les uns aux autres. ( une autre plage, personne . Un père et son fils plus ballon. On a compris ).
Et c’est pénible d’être odieux ou d’avoir besoin de l’être pour crier:
—Barrez vous de là. De l’air, du vent…
Je ne crie pas non. Mais je suis franchement désagréable.
L’homme ou la femme vous regarde d’un air abruti sans bien comprendre ce qui se passe.
Hier promenade jusqu’à Notre dame des anges.
La dernière fois j’y suis allée à vélo. Oups. On peut dire que c’est dur. Je pense que je ne pourrais pas le faire là, maintenant. En haut on découvre Porquerolles. C’est magnifique. La route est dangereuse et assez mauvaise avec croisements difficiles.
On entre dans l’église. Petit patio bien entretenu et panier contenant des tissus bleu-pâle pour les visiteurs qui auraient les épaules nues.
Le crocodile est toujours là prêt à avaler un gâteau suspendu- un BÂTEAU je dis pas un gâteau=correcteur stupide/ et aussi une autre bête que je ne distingue pas bien dans l’obscurité.
Et les ex-voto, les ex-votos, les ex-votos.
L’ancien manteau de la Vierge de procession.
Brrr. Ca sent l’encens.
Tout va mieux. Mais le séjour de S. est trop long. 3 semaines et encore quelques jours à l’école.
Descente vers Pignan et dans les vignes le téléphone sonne. C’est JLT qui appelle R.
Je descends de voiture pour voir les grands cactus là-bas. J’ai l’impression qu’il y a des plus en plus de cactus partout.
Préparer les affaires la barbe. Je ne suis ni contente ni pas contente de partir et de changer d’endroit . Je ne suis contente de rien. C’est comme ça. C’est plutôt un sentiment d’ennui un peu tout le temps cet été qui n’aura pas été le meilleur.
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