en fait c’est écrire qui me plairait en ce moment. Je retrouve ceci qui m’avait intéressé il y a un moment. Mais avant de partir ce matin ce sont plutôt des images de Diogène que je cherche.
« Il ne me restait plus qu’à acquérir le livre de Gaston Leroux et de découvrir avec étonnement, dans la préface que l’auteur consacre à son livre, une référence à l’ensevelissement des voix des plus grands artistes lyriques de l’époque, dans les caves du Palais Garnier.
En réalité il s’agit plus que d’une simple référence mais d’un élément déterminant à propos de la certitude qu’a Gaston Leroux, de l’existence du fantôme de l’Opéra.
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