je ne sais pas qui est le chapeau pointu
Le Fresnoy pour la journée d’étude autour de Warburg avec Arno Gisinger, Didi-Huberman. Je ne mets pas de photos de la table avec les intervenants parce que c’est toujours moche. Je me contente de ce qui se passe à mes pieds:
ou bien du bout de bracelet papier qu’on nous a donné à l’entrée:
On est rentré tard à Paris. Mais c’était une bonne journée.
Hier Balthazar me disait que l’école l’ennuyait, que le solfège l’ennuyait et que les expositions l’ennuyaient. Il me parlait de celle qu’il à vue cette semaine à LIlle.
Je lui demandais de me décrire au moins un tableau et il m’a parlé de l’homme à tête de montagne, avec des oreilles comme ci et comme ça.
J’en ai déduit une expo plutôt XVI eme siècle. Pas difficile à trouver puisque c’est le dommaine de P.
Donc j’ai appris qu’il y avait cette expo et ça à l’air vraiment bien.
Paris Photo avant-hier. Moi dans ces trucs là, je ne vois RIEN. Pas même les indications : Vu par David Lynch.
Vu à la télé!!!
Cela est toujours intéressant de voir ce qu’aime ou intéresse un philosophe, un cinéaste où je ne sais qui. Mais dans un bazar pareil, aucun “portrait de David Lynch” ne se dessine. J’imagine en jubilant, les galeries crispées lors du passage du maître sur les stands.
—Pas ça, pas ça, ça!!!!
Rencontré DG pour son spectacle à la Commune.
Me suis sévèrement ennuyée à Salinger de Koltes en Argentin sous-titré… Faut dire que c’était risqué!!!
Bon, à part ça.? Interêt à trouver des idées vite fait pour E.S
The Encyclopedic Palace/ “…an entirely new concept in museums, designed to hold all the works of man in whatever field, all discoveries made and those that may follow.”
Réservé tout pour Venise. Oui cette année j’irai visiter la Biennale. Le sujet m’intéresse autour de Marino Auriti. ( Que je ne connaissais pas ce matin)
This object exemplifies the bold singularity of many contemporary self-taught creators.
Not hemmed in by the strictures of the art academy, artists like Auriti follow their individual visions. “ suite
Encore MIEUX LÀ car c’est son petit fils qui parle, oups petite fille, c’est pareil.
My grandfather, Marino Auriti, and his “crazy” endeavor meant, and mean, so much to me that it’s hard for me to assemble my thoughts about him. I tried to write an essay about him at MacDowell in 1998, but merely succeeded in smoking lots of cigarettes, eating lots of carrot sticks, and banging my head against it all summer. Later still I started a mini-comic about all this and made two issues, but then ran out of steam because of my seriously feeble drawing chops, and maybe more so because of the sadness that comes over me when I think too much about my family. So please bear with me on this. ..
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