Au moment où j’écris il y a ce bourdonnement. Une mouche égarée? Non. Une guêpe ou une abeille?-et de taille. Comme Swammerdam n’est pas là pour la disséquer.
“Je n’ai pas l’intention d’écrire un traité d’apiculture ou de l’élevage des abeilles. Tous les pays civilisés en possèdent d’excellents qu’il est inutile de refaire…”
La vie des abeilles.
Bref c’est bizarre. La rue des Martyrs et la place juste là sont assez réussies. Grands sapins et sobriété de la décoration. Me suis fâchée hier quand j’ai vu des gens qui arrachaient des gros noeuds rouges, des trucs dorés et laissaient le sapin, couché sur le côté. Nul. Je leur dit qu’il serait plus simple d’emporter l’arbre directement. Mais que les gens sont stupides !. Parfois c’est accablant. Et on en deviendrait même prétentieux. Deux jeunes filles dans le métro parlant ( déjà ) du langage de leur chien ou se courbant les cils avec une machine qui ressemble de loin à un truc chirurgical , l’autre qui écoute son téléphone sans écouteurs, et puis zut. Pas la peine. J’ai commencé à lire La cloche de détresse, que j’avais achetée il y a pas mal de temps. J’en ai lu la moitié hier.
Me suis laissée embarquer dans Master and Commander de Peter Weir. Un vrai film où l’on croit vraiment être sur un bateau. On a presque le mal de mer. Chirurgiens, botaniste, mousses, Achéron, Galapagos, amputation, canons, et j’en passe, grand mât:
“Ce qui fait de “Master and Commander” un grand film, c’est cette merveille de reconstitution d’un lieu (l’océan) et d’une époque fascinante, on entend craquer le bois, on sent la poudre, on partage le sommeil agité et alcoolisé des marins. Et le caractère unique de ce film tient précisément en ceci: un film réaliste sur des vaisseaux (militaires, en l’occurrence) en mer (dans sa reconstitution mais aussi dans la trame de son récit, sa description des hommes et des caractères) ne court pas les rues. Les océans encore moins.”
Et il est bien doublé.
Bon dernier jour de rangement ( j’espère ) et peinture demain . Un coup de blanc ( peinture !!!) avec V. et P. C’est trop bien qu’ils m’aident.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.