Sans titre

J’étais effarée en écoutant dans le métro bondé trois petites jeune filles-jeunes aides soignantes ou infirmières parler de certaine de leurs collègues. “Elles parlent mal au résidents, leur disent: vous me faites chier, ou même il y en a une qui a mis du scotch sur la bouche d’une vieille dame pour qu’elle se taise. Terrible. J’avais envie de leur dire qu’il faut absolument balancer ces individus, des bourreaux dans l’âme profitant de la faiblesse des personnes âgées. Berk.

Théâtre à l’Athénée.

RV avec ES le lendemain qui me parle de cette personne metteur en scène et me dit ce qu’elle en pense de façon plus que crue.Cash. Circulez.

Hier , théâtre et la pièce du fils de B.

Hum…

En fait quand on va voir un spectacle, on ne doit pas dire: Oui mais c’est parce que…. car il n’y a aucune circonstance atténuante.Ce qui se passe ou s’est passé hors plateau ne nous regarde en rien. Ni l’âge du capitaine, ni le budget, ni la rage de dents de l’un. La pièce est juvénile, c’est une qualité, mais les moments en vers, faibles et ce n’est pas bien d’avoir laissé passer cela à mon avis.

Puis dire des vers “poétiques” demande à ce que l’on n’adopte pas soi-même un ton “poétique”, sinon c’est un pléonasme. Et ce n’est pas parce que l’on parle des étoiles que l’on doit avoir un air inspiré!

Argenteuil. Crève et mouchoirs.

RAS

James Joyce’s Finnegans Wake

James Joyce’s Finnegans Wake

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