C’est drôle. J’avais envoyé mon texte à D.D. Et il relève le petit passage qui s’appelle Menicuccio. Je dis d’apreès les informations entendues sur des archives, que Menicuccio est le chef machiniste de Fellini… “Quand à Menicuccio, il, m’interpelle car je pensais qu’il y n’y avait qu’un seul Menicuccio dans la vie de Fefé, moi; C’est en effet le diminutif de Dominique. De mon temps le chef machino s’appelait Gasperino, une sacrée figure!”
Je lui réponds:
“Alors alors… Disons que le journaliste et moi même nous sommes trompés et que vous restez L’UNIQUE Menicuccio!!!!!!”
Hier , nous allons voir bien tranquillement Picasso et les maitres. C’est Guy qui m’a mise sur les listes et c’est parfait de voir les expositions dans ces conditions, quand on sait que celle-ci n’a pas désempli… Un râleur qui exagère largement dit qu’on ne voit rien. Bien sûr on n’est pas deux dans l’expo, mais quand-même!!!!
Je vois Camille en grande conversation avec un vieux monsieur aux cheveux blancs. Il a une canne. Elle me lance des regards effarouchés ( pas vraiment !) et je vais selon mon expression “la décrocher”. Elle me dit “il est bizarre ce type”. Plus tard , et après avoir encore parlé avec lui et arrive vitesse- grand V et me dit:
—Tu sais qui c’est William Klein?
—Ben oui…
—Il me dit que c’est lui…
—Ah bon? Moi je ne connais pas son physique. Ah c’est lui?
—C’est qui? Je suis nulle…Attends, je vais le chercher. Je n’ai pas le temps de souffler, il est là. Camille nous présente. Il me demande:
—Vous êtes son fils?
_Oui, j’ai 12 ans, mais quand je suis sa mère, j’en ai 50.
—Vous savez qui je suis?
—Je croise mes doigts pour faire un W et lui dis:
—Ca commence comme ça.
_ Oui
Bref bref..;
Plus tard il part canne en avant et disparaît dans la porte à tambour.
Olivier est avec son neveu, Ali est avec son neveu absolument craquant.
On siffle pas mal de champagne. On dit des âneries. On rit . Puis hop . On part. Un type aborde G. qui était en train de dire: Je vais être seule dans mon taxi…
Le mec:
—Je vous raccompagne si vous voulez. Rires jaunes et machin. j’en passe. Bilan, elle prend le métro et retrouve le mec dans son dos à Bastille..
Lourd et un peu tristounet….