Laurent Terzieff/Molieres hier

C’est ce qui s’appelle la grâce, la sainteté ( si je savais ce que cela signifie)

Avec ses deux bras cassés ( abîmés, luxés, fêlés;.. ) et son corps transparent ,nous sommes assez loin de l’épaisse vulgarité des temps qui courent.

Splendide.

Hors du temps.

Hors du spectaculaire.

Hors de la « culture ».

Hors des produits culturels dérivés.

De l’interactivité, du ludique, de l’agrandissement….De la merde.

Et pas de « compagnonnage baba ».

« Le théâtre sur un tapis de Morts… »

Jean Louis B.

On se sent lourdingues dans nos concessions face à ces « arêtes là « , ces spectres bien vivants , concentrés de personnes, de sujets, d’auteurs , de fantômes, de rumeurs, de flou, de flous, d’invisible, de fantômes encore…

Une pensée sur «Laurent Terzieff/Molieres hier»

  1. Chère Hélène,
    je reconnais là ta manière fulgurante de saisir la vérité d’un moment rare et de voir, ce que nous, le plus souvent, nous ne voyons pas, tout ce qui scintille depuis ce point particulier et diffuse du sens comme une brume irisée.
    Rien que pour être plus proche de ces ondes là, j’aurais aimé être à Créteil. Mais à la télévison : ça passait !

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