“La forêt du futur”

Je me reveille quand le coq chante ( suivi de je ne sais quel oiseau qui veut sans doute la place et claquotte ( ?? ) pâlement. Me suis rendormie sur le Lusitania. Et réveillée en riant à l’annonce des légions d’honneur en courbe carrément descendante. Ca me rappelle G. qui m’avait dit je vais t’avoir je ne sais quoi heu ya quoi, un machin , ( les arts et lettres je crois ) zut je n’ai pas bu mon café, bon bref un truc culturel. Je lui ai répondu: Je t’en supplie,ne fais pas ça. Please. J’en veux pas.

Bon, quoi. A part peindre et faire la con au bal du Samedi soir ( hier le groupe avait sorti l’artillerie lourde, des filles bien foutues, des plumes ( je croyais que c’étaient des indiens de loin, mais elles n’était pas sur la tête.Comme j’en suis à ça me rappelle, ça me rappelle la Villa Medicis quand je me baladais avec un coiffe d’indien et une fausse décoration . Ah ben tiens les deux souvenirs vont ensemble.

J’ai envie de buller au soleil et je vais passer encore la journée ( martyre que je suis, Gauguin en lambeaux…) à peindre en buvant de l’eau+ pulco citron.  P. passe avec son panier de légumes sous le bras et de la fenêtre je la remercie d’avoir rentré mon linge. J’adore ce hameau, j’adore ses atmosphères, son rythme, son absence totale de touristes ( elle est comment ta piscine? Ben j’en ai pas )

Demain la mer, très très tôt

Grr je dois remonter  à Paris le 14 pour Matins de France culture le 15. OH non ! Oh si.

Noah vient envahir mon minuscule bureau avec ses chaussures de velo qui claquent.On rit car il imite les poses des body builders.

Bon. Ah . M voulais passer me voir mais mon pauvre coco je l’ai éconduit pour cause de travail.

Mauvais rêves mais je ne sais plus pour quoi.

Tiens hier j’ai bu un verre avec le torero

Va bosser vilaine.

Pas réussi à décoller jusqu’à la bergerie. Imprimer, lire. Tourner virer.

J’ai coupé les commentaires sur ce blog tout simplement parce que cela m’est difficile de pouvoir imaginer des personnes en chair et en os . Ce n’est pas très accueillant j’en conviens!!!! Et puis je ne connais pas les gens qui m’écrivent, je n’en ai pas envie plus que ça, et qui ont accès à ma vie. J’en suis bien coupable. Mea culpa !!!

Je réfléchis à un code d’accès ou je ne sais quoi. Ou un arrêt.

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