Dans le midi je passe la moitié de la journée à écrire. L’autre à lire ou relire ( Frankenstein, Walter de la Mare .. ) et à commander des livres en vue de la préparation du travail à l’usine en Aout.
Le click sur l’iphone est mortel.En rase campagne on a tout en quelques jours.
J’achète les souvenirs entomologiques, Sartor resartus ( une vraie découverte)et me replonge dans Pline l’Ancien et l’énorme et génial Thomas Browne Pseudodoxia epidemica
Maeterlinck
Le traité des passions de Lebrun ( relecture)
Mary Shelley
Judex
Les cahiers de Malte
A première vue de Walter de la Mare
Je retrouve ceci qui devrait être là plutôt:
Mercredi 20 dejà
Montagnes et inde?
Manteaux superposes
Claude Levi strauss dans la piece à côté;
Je le retrouve au coin d’une rue et nous marchons un moment;
Puis assis dans une piece- qui est la troisieme personne ??, il nous explique le fonctionnenment des masques?
On dirait de petits confessionnaux avec des fentes et des trous; certains au passage du vent font un son comme des “rhombes”.
Il prend des petits batons pontus et qui traverse sa peau de chaquec oté de la bouche.
Je grimpe des pentes raides, il y a des branches au sol puis suis dans un lit et une dame qui dit être amie de Nicole Stephene entre..
Elle dit avoir une cape noire courte. En velours. Un garçon m’accompagne en Inde.
U. reparti hier a Toulon. Embouteillages
Le matin ciel noir et pluie. Nous allons quand même à Gonfaron boire un café sur la place et les chaises sont humides.
“Guitare” empile les fauteuils du Regain et T. S’est bloqué le dos en éternuant. La place, toujours la place avec les gens que nous prenons plaisir a décrire et dont nous nous moquons un peu.
Il manque chaque année quelqu’un. Pas vu le garagiste , pas vu “la belle ” et dans robe courreges.
Ce matin vent fort.
Hier encore vent terrible
Marché
Puis écrire le reste de la journée
Rêve qu’il neige
Les petits beignets aux pommes de la boulangère sont délicieux
Il ne se passe rien. Sur la place j’écoute une sotte qui ne cesse de parler de sujets spectaculaires: Enlévements, viols….
Puis ce soir encore sur la place, la fête nationale des Belges avec hymne qui sort de la sono.
Les flamands puis les wallons se lèvent.
Ils ont préparé un plat typique et il y a une chanteuse ( haie quand elle se lance bravement dans l’air de La wally ( La wally La wallon!!!) T. essuie ses verres au fond du café, on nous offre un morceau de pizza, sue le bancs “des vieux ” un peu plus loin, il ne reste pas grand monde.
Le “garagiste” est mort il y a un mois. Il n’aura pas profité une dernière fois des soirées-chaises.
Les enfants de M, ont pris possession de la terrasse et se fabriquent une maison sous la table.
On a tous requisitionné des serviettes de bain pour faire des murs er des rideaux; Puis écosser les coco blancs.
Ils ne me lachent pas. Mais j’aime bien.
U m’annonce la mort deLucian Freud alors que je grignote un bout de Pizza d’hier. Texte interessant de Tlon et sur Gide ( époux arnolfini…)