« C’est comme si je me sentais plus léger en notant tout sincèrement » – S Maraï
C/1577 V1
par delprat
Ce rendez vous dans un peu plus d’une heure est sans doute la cause de tous ces rêves lourds et angoissants. La maison d’A et ses volets qui ne ferment plus, des tas de gens à qui je n’ai pas offert de repas et où vais-je trouver des galettes des rois. Des affaires à emporter. j’en bourre la voiture que je gare dans une ville aux airs Praguois. Est ce le petit texte d’Agamben sur Kafka qui est responsable de ce décor, des ces lieux magnifiques aux architectures noiratres et couvertes de hauts reliefs. La neige soudain. Garer la voiture dans cette ville. Ma montre s’est arrêtée à 15h. Un car pour me conduire dans cette ville au nom basque. Une personne qui se propose de me guider. je réponds qu’à l’arrivée j’aurai ma voiture alors que je viens de la laisser au départ. Campagne et neige. Je dois me rendre chez G. Lui fais une visite dans le laboratoire où elle travaille. les images projetées sont magnifiques et éblouissantes. Blanc nacré. J’ai oublié e qu’elles disaient. je dois partir, et attrape en sortant un grand plat métallique rempli de sauce tomate épaisse. Dans la voiture j’ai laissé une sorte de de tourte qui était restée depuis des années dans la maison.
C’est ici. Je grimpe et m’arrête devant la porte 171. Bonjour, je dormirai deux nuits. En fait la personne qui me reçoit n’est pas gracieuse. Dans la chambre un grand lit et un petit. Il y a aussi deux enfants. Ca ne me plait pas et je n’ai rien pour marcher dans la neige.O ira dans un restaurant Italien qui vient d’ouvrir à la place de l’Impératrice en bas de la rue Saint-Fuscien.
Profanation et Qu’est-ce que le contemporain de Agamben.
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