Un Civet de lièvre

En tentant de relier des fichiers FCP ( mon vieil FCP 7 que j’aime et pas les nouvelles versions )et en y réussissant d’ailleurs j’écoutais Bartabas. Je me disais que certes il s’y connaissait en chevaux mais que sa pensée était un peu basique ( la sincérité, l’argent, que des poncifs/ Ce qui est bon et juste, ceux qui sont méchants, ceux qui sont mauvais… ) Qu’il dresse ses bestioles mais qu’il se taise. Alors France Culture ne sauve pas tout. C’est vrai quoi il est un peu reac. Puis il donne des leçons genre je vois quand quelque chose n’est pas sincère, moi je suis pur. Bouh que c’est pénible. De toutes façons je n’aime pas ses spectacles et leur esthétique. Les gens adorent. Pas moi. Bon.

Peinture encore et on devait aller au ciné mais C. a annulé. Moi j’avais à faire et puis je n’ai pas un rond j’ai oublié mon portefeuille à A.

Je replonge avec délices dans le bouquin «La bibliothèque de mon père de Mehring. Il y a la dedans plein de références de bouquins que je ne connais carrément pas comme Geiler de Kaysersberg (Jean)

Le Civet de lièvre, traités choisis par Francis Rapp et traduits par Christiane Koch, préface de Joseph Doré et l’Emeis:

C’est ainsi qu’au début du Carême 1504, il prononce une série de sermons construits autour du thème des fourmis (Emeis).

Retour en haut