En feuilletant pourrait -on dire le blog de Merle Bardenoir ( pas facile à lire à cause de typo blanche sur fond à oiseaux ) bref, je retrouve Austin Osman Spare que j’avais oublié. C’est une sorte de Beardsley en pas fameux, mais c’est toujours amusant l’occultisme. Après deux ans d’amnésie je retrouve enfin Monsu Desiderio, dont j’aime la peinture, mais qui en un seul nom réunit deux frères. J’ai cherché, cherché et je crois que j’ai retrouvé ça dans un catalogue web de Drouot ou je ne sais pas. En parlant de cela si j’y pense j’irai voir la présentation de la vente des effets d’Audiard.
Hier nous abordons le N°550 de mon inventaire. Quelle plaie cet archivage. Je ne peux travailler . Pas fait la déclaration maison des artistes évidemment, pas payé deux PV. Avant hier soir, alors que R. entamait une parenthèse Belle au bois dormant après ses insomnies de plus en plus préoccupantes ( c’est fou de ne pas dormir et lui est totalement inversé. Il la les yeux ouverts la nuit et fermés le jour ), on est descendus au coin avec F. Au coin, c’est le bistrot du coin, mélange d’habitués et de touristes. C. était en forme et je lui ai fait raconter l’histoire de Lola , la poupée “Gonflab’ » comme il le prononce. J. accroché à sa Leffe utilise deux mots et le reste avec les mains. C’est bizarre ça. Il met sa main sur le coeur, puis l’autre en avant. Bon. Il ne veut jamais parler du passé. Dommage que B2B n’ait pas débarqué avec ses bagues et ses atours !
J’ai reçu Voir le voir de John Berger, réédition d’un essai de 1972 et d’une émission à la BBC. C’est curieux. Puis leçon sur les Métamorphoses où il y a des traductions mot à mot du latin puis traduction. Je n’avais jamais lu Cyparissus, si je ne me trompe qui est la magnifique histoire d’une métamorphose en cyprès et puis j’ai trouvé le texte de Hélène Vial Agrégée de lettres classiques Docteur en latin Maître de conférences en latin à l’Université Blaise Pascal (Clermont-Ferrand ). La description du cerf est sublime, avec les perles etc.
Il faut que j’achète Les tristes d’Ovide et les Héroïdes
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.