Magritte / Le mal de mer
C’est vraiment atroce mais… Je n’en reviens pas qu’on ose en pleine conscience, faire cela. C’est balaise de s’écarter de son savoir, de sa “manière” et d’oser regarder l’horreur en face. C’est l’absolu contraire de lui: Le geste, le baclage, la peinture qui salit et éclabousse, le mouvement que l’on sent nerveux. C’est vraiment ” du prenez ça” ou du ” Je vous emmerde ” pour sa première exposition à Paris. Periode Vache c’est moche comme mot aussi.
Gasiorowski et les croutes, Magritte et la période Vache. Il y a forcément si l’on veut avancer cette question de l’irregardable; Pas au sens de l’histoire comme les petites photos des Sondercommando que décrit Didi Hub dans son livre ( pas lu)
Rideaux de scène? Oui? Non?Quelles scènes. Figures? Je me sens assez tentée par des représentations académiques et en même temps j’éprouve une flemme énorme à l’exercice du modèle et de sa représentation. Mais pourquoi pas essayer ce qui va donner des trucs passablement ringards ou réactionnaires ( c’est toujours la première idée qui vient: Le retour à l’ordre. Le problème étant que dans “les arts” l’ordre règne déja, que je ne vois aucun désordre finalement à part quelques petites poussées de fièvre ici où là qui ne dépassent pas vraiment le 38°) et qui sont immédiatement avalées par des dollars qui bâillonnent ( comme le jambon. Heu heu pardon..)
Je pense souvent à Stingel. Et à son élégance en quelque sorte.
Moralité je ne peux plus fonctionner sur “mes réserves. Il en faut d’autres. De plus risquées qui vont me déplaire encore davantage.
Il est (certain) que l’on se sent tout de suite mieux ici
Il est bien ce site
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