Noter la visite 5 . Je ne l’ai pas fait tout de suite … Le carnet orange, Une chambre à soi, le temps, l’enregistrement à la bibliothèque, le rire, VL chargée de réalisation…
Theatre hier et avant-hier ( le meilleur et le pire)
Le meilleur Robert Hirch, à Hébertot. Purement génial.
Si je n’avais pas eu ce torticolis latent… Ca fait mal. J’ai l’impression que ma tête veut pencher à gauche et rejoindre mon épaule comme si les tendons etc étaient trop courts.
Après, nous allons le saluer. alors là, c’est un festival sur scène. Les deux “trésors nationaux” comme dit Armelle, qui s’embrassent, parlent rient et aussi pleurent il faut bien le dire sous l’oeil émerveillé de L.C et des autres. Ceux du plateau, la costumière etc. On est là, oui et on les regarde. On entend aussi. Sauf quand R. dit à R.: Viens par ici j’ai quelque chose à te dire. Ils s’écartent et L. photographie ces deux mecs. L’un tout fin, mince, l’autre massif.
R. me dira après de quoi il s’agissait… Mais c’est un secret.
En sortant si tard, la Sardegna ( je rêvais de m’empiffrer de pâtes , car après cette pièce il faut manger!!!), la Sardegna est fermée. Baci, on leur dit bonjour, auguri et tout. Puis on rentre.
On parle dans la cuisine. C’est bien. Et j’ouvre le délicieux vine de Marc. Hum. Raisonnable car ce matin tennis.
Voilà pour le meilleur.
Le pire c’est la pièce sur Sade mise en scène par NB. Une cata. D’abord le marquis de Sade ne peut pas avoir un pantalon de cuir et une chemise noire sur un marcel. Puis il ne peut être en marcel+ un tatouage/ avec les bras de Marlon Brando. On est pas dans Un facteur sonne toujours deux fois bazar. Les fringues de la fille ( pas mauvaise ) sont vulgaires . Pénible. Plus pénible encore la traversée dans le public. Faux, vide.
Un solide ronflement s’échappe soudain du milieu de la salle.
Déjà que pour monter quelque chose de Sade faut être génial…
Oh putain on est loin de Marat-Sade, où Daniel Emilfork interprétait le marquis ( de Peter Weiss )/ et David Warrilow Marat
Marat-Sade [Spectacle] / Peter Weiss ; traduction de J. Baudrillard ; spectacle de Compagnia Del Colletivo, La Salamandre et Jeune Théatre National ;
mise en scène de Walter Le Moli ; décors de Gigi Dall’Aglio ; costumes de Nullo Ricchetti
Ceci n’est pas mon portrait mais celui de D.E
photo © François-Marie Banier
Pauvre Sade! Bizarrement tu n’as qu’un seul allié dans cette catastophe.
C’est ton geôlier . Un Jacques Brunet magnifique de chair, de vie, d’intériorité. Je le verrais bien dans Becket, dans plein de choses, La cerisaie….
Je dois travailler et une flemme énorme m’envahit. Terrible.
Derusher cet après midi. Pas le courage. E finir cette saleté de Hi-HAn…
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