Hier je suis passée chez C.A pour trouver le son de Tea-time. C’est agréable son studio. On y est bien même si hier il n’avait pas de thé.
—Une mouche, tu as une mouche ?. Il faudrait presque rien. Comme un son de mouche.
C. s’est mis aux manettes de logic et en avant.
On a fait un peu moins de la moitié de “son homéopathique”, avec mouche et soupirs de chien . Des plaintes de fantômes à peine à peine dans le long couloir à la chauve-souris.
Puis Don Giovanni chantonné. Mille et tre pour Christophe, et vorrei e non vorrei pour moi
J’ai bien aimé ces moments et on s’est bien amusés.
Au moment où j’écris je pense que l’on pourrait chanter ensemble Don Giovanni, quand le marquis et la marquise reviennent de leurs ébats.
Mais ça m’a donné envie de travailler sur je ne sais quoi mais pas seule.
L’histoire que m’a racontée Cam. tout à l’heure est un vrai court métrage. Je vais lui dire.
Passage à Arg, puis chez D. qui ma prête un béret et des gants rouges pour le retour. J’invite E. à diner ce soir mais pas de réponse.
Si vous cherchez ce genre d’outil, qui est assez proche de la fourchette à escargots, sachez qu’il y en a un rue Viollet le Duc, paris IX. Sur le mur qui longe le supermarché, et un peu caché sous un adhesif.
Appelons cela le fourchette cameleon.
C’est bizarre quand même.
C’est pour cela qu’il faut avoir l’oeil aiguisé….
Hier soir, périple à Clamart où je retrouve J. et G.
Ils sont délicieux.