Hier j’ai acheté un petit livre de Alain Jouffroy sur Piero di Cosimo peintre que j’affectionne. Trouvant sur un rayon un livre de FP ( encore !!! )Je dis Stop !!! je l’ai caché derrière un pile en gloussant intérieurement. Je trouve aussi dans le genre des images sur instagram ou une peintre se montre en train de peindre avec son bébé attaché devant soi; Je trouve ça épouvantable. Pus viennent les photos de la maison….BRRR, des chiens etc….
En parlant de chiens, vu hier une étudiante Israélienne qui pour lutter contre son trauma du service militaire de 3 ans, les peint
C. a eu RV à NY hier. Il n’y a plus qu’à faire. Rien au juste, faire comme d’habitude.
Hier Sciences Po pour Laurence B d’O. Puis diner au ministère de l’Education Nationale et le ministre très sympa. Je redoute ce genre de truc mais c’était d’une grande simplicité et très amical. Rue de Grenelle. Pièces immenses. Alechinsky ( Heu Heu je n’ai jamais aimé ça ). Grand bureau. des chaises d’Olivier Gagnere qui vont repartir au Mobilier National . Escaliers, cour, et une grande table immense pour 8 personnes. Gnocchis-Quand quelqu’un se tourne vers son voisin, l’autre n’entend plus comme si le son s’était engouffré je ne sais où !!! Volaille– Les discussions sont drôles et Laurence est vraiment une personne formidable . Les deux discours étaient top. Le sien comme d’habitude, décalé et amusant. Non, étrange . Elle a toujours des réparties innatendures et étranges. Tarte Tatin et je ne mange pas la salade de fruits.
C’est quand même une grosse médaille avec un ruban turquoise.
J’ai reçu des papiers du ministère pour un truc du mérite aussi mais je ne sais pas où j’ai rangé ça. Ca m’est tellement étranger ! C’est comme l’institut ! Ouf ils m’ont oubliée et c’est ce Cher Di rosa qui prendra le fauteuil. Il est tellement drôle.
Je rentre en Métro. Le Portugal a gagné ( je fais semblant de m’intéresser! ). Mais au bistrot on range la terrasse et il n’y plus personne. Journée agréable aux Beaux-arts. Depôt de mes ” gribouillages” pour l’expo.
Suis trop contente d’avoir osé quémander à Olivier Saillard une place pour voir « Embodying Pasolini », présentée à la Fondazione Sozzani que je ne connais pas. Tout de suite il me répond et ce sera Vendredi.
En direct je perds du temps à attendre un évier qui doit être livré. C’est passionnant.
Dimanche j’ai allumé le chauffage à l’atelier . Travail poussif? C’est moche. Et je pars au Pré Saint Gervais car invitée par des gens que je n’ai pas vus depuis… 45 ans à savoir mon atelier des BA. Exercice risqué qui s’est bien passé ( plus en private ). Des noms reviennent: Simon, Rémi, Jesus, Pépé, José, Kay, Antoine. Des morts, des internés, des vivants quelque part au moment où je parle et que font-ils. Rémi qui était un jeune homme doué, et qui avait l’habitude pour rire après nos petites beuveries, de se déshabiller, n’a semble t’il pas cessé cette activité après les BA. Se déshabiller devant le mairie ou au Monoprix est une autre affaire. Des noms de professeurs, de Jacques Lagrange collaborateur de Tati retrouvé mort dans le caniveau, homme très drôle a qui je n’ai pas su que dire ignorant qui il était en plus. Tiens en rentrant hier sui tombée sur un film anglais assez délirant, je cherche, Joyeuses Funérailles (Death at a Funeral) de Franck Oz. Je zappe et tombe sur Festen. A quelle heure me suis je endormie?
R tousse.
Et si je n’allais pas travailler?
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