« C’est comme si je me sentais plus léger en notant tout sincèrement » – S Maraï
Hoho Jean Daive
par delprat
Ce que le ton est sentencieux de part et d’autre.
Parler de peinture … On a l’impression de cabotins qui parlent de leur tournée de province.
En parlant de cela, me revient à l’esprit ma visite au cours de Jean jacques Delbau ( il a joué dans des fritz lang)…. Petit cours que J.W lui avait créé à Nice. C’était quelque chose. Il donnait quelques indications puis racontait « ses tournées » avec une voix ex-comédie Française —Ah, mes amis, il y avait là des pâââââââtés, des terrines, un souper succulent. Nous sortions de scène …..blablabla.
rajout: « Les poèmes de Jean Daive forment un monde troué, celui de la page blanche que des signes d’encre noire viennent hachurer. Le corps de l’écriture y est mutilé d’espaces manquants, et dans cette nouvelle configuration du vers poétique …… » Ce n’est pas beau ça?
Je ne dis même pas d’où ça vient , ça rendra service à l’auteur de l’article