J’aime bien Gregory Porter.
Je poursuis avec jubilation la lecture de Conversation intimes. Il y a des passages désopilants, des petites réflexions. Mais aussi des grandes. Le chapitre 9, concernant la maison est un délice. Il commence ainsi p167
—Qu’allons nous faire aujourd’hui Gilbert?
—Pour l’instant nous regardons les murs. Tu n’es pas fatigué?
—Non je ne suis pas fatigué. Pourquoi ne pas sortir acheter un vase?
—Pour l’instant , j’aime bien regarder la lumière qui passe par la fenêtre. Pourquoi ne pas aller acheter un vase un peu plus tard?
C’est merveilleux non?Je souris tout le temps.
Christopher Dresser
Suis rentrée vers 2h et j’ai dormi dans la chambre à côté. Le soleil chaud sur le visage m’a réveillée à 7h. Un peu juste pour moi 5 h de sommeil précédé de Champagne. On a beaucoup ri avec Guy que je taquine en permanence. J’ai l’impression d’être une sorte de moustique qui tourne autour d’un vieux Monsieur. J’aime beaucoup cette photo d’E où l’on rit à gorge déployée dans les bras l’un de l’autre.
J’ai pas mal travaillé hier et en préambule à la peinture, je ne sais pas ce qui m’a pris de fabriquer un machin en papier comme un noeud avec des plumes et des perles. C’est moche et ça ne sert à rien. Mais ça m’a plu de changer d’occupation manuelle !!!
On a parlé hier de Peeping Tom avec G. et quand j’ai évoqué les Chaussons rouge, j’ai cru qu’il allait pleurer. Il est étrange, touchant et tyrannique aussi.
On a fini la soirée dehors et c’était bon. Puis Uber.Et bed. SMS de C. qui est à Cannes.
Aujourd’hui je vais regarder un film. Finir le bouquin, regarder des images de patterns victoriens, Vathek, j’ai dû commencer le livre et ne pas le finir.
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