Cambodge Tunisie


Dimanche soir

Ballet royal du Cambodge

La légende de l’Apsara Méra – Chorégraphie de Son Altesse Royale la Princesse Norodom Buppha Devi


  • Acte I : Le mythe du barattage de la mer de lait
  • Acte II : La légende de Kambu et de Méra

Au début des temps, les dieux ou deva et les démons ou asura, qui étaient alors tous mortels, étaient en lutte pour la maîtrise du monde.

Après mille ans d’effort, le barattage produisit alors un certain nombre d’objets extraordinaires et d’êtres merveilleux

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J’ai attendu Marc dans le hall- en lisant Ellroy et en, jetant un coup d’oeil de temps en temps, observant une population mélangée, rythmée par les apparitions sophistiquées et âgées, des “vrais de playel” probablement nés entre les deux guerre ou enfants de ces derniers.
Une sorte de Vielle France que l’on croise aussi aux premières du Châtelet ( Pendant une année j’ai eu un abonnement et ça me rendait dingue. j’avais l’impression d’avoir ma chaise à la messe. On est à chaque spectacle placé au même endroit , ce qui , si l’on est pas renfrognée comme je le suis et allergique à une certaine grande bourgeoisie Française ( En fait je suis allergique à tout ce qui se manifeste ostensiblement, déclare par l’apparence une appartenance sociale-politique-religieuse / à ce titre le baba m’emmerde autant que la vieille dame aux perles )Bref.
Avec M. inutile de dire que l’on est placé comme des rois, genre 8 ème rang.
Le plateau est presque vide, une estrade centrale et les chanteurs et musiciens de chaque côté.
On se dit que c’est la pierre qui bouge, que les bas reliefs se réveillent. La boule de cristal, la coupe où l’on boit l’immortalité, le prince…
Que des femmes ( sauf le singe) d’une beauté rare. Cambrées, fines jusqu’au bout des doits et des orteils…
On se frotte les yeux. C’est éblouissant. La courbure des mains, les regards, la beauté des pieds. Les masques

Ah le singe blanc est magnifique! Il y en a deux d’ailleurs.. Une rigueur calme et frontale, une concentration et peu d’ostentation…Seul moment inutile, la projection d’images bien inutiles- c’est d’ailleurs vieillot-projections d’images pour un public occidental qui risquerait de s’ennuyer devant ces cérémonies rigoureuses, codées, spectaculaires et pourtant sans effet…Après nous avons dîné au Rendez-vous ( La maison du couscous) qui est un ( assez )mauvais restaurant de L’avenue Wagram. Le couscous est sans allure, bien trop cher 29 euros avec ou sans viande etc. Et ce qui est très désagréable est que lorsque l’on ne veut qu’un couscous pour deux, le garçon vous dit que tout ce que l’on vient de vous offrir ( les petites entrées qui arrivent sur la table sans qu’on les demande ), coûtera 18 euros. Le Chinon est casher et surtout mauvais. Je déteste ce genre d’endroit-arnaque.
Roger:Hier après -midi il y avait du monde au théâtre. J’avais un peu peur, car on se serait crus en été. Beaucoup d’applaudissements et rappels..;
J’ai repris le texte de Nicole que je devais enregistrer demain. mais avec la grève et sans vélo, puisqu’on me l’a piqué, je vois mal comment aller à Montreuil.

De Lille à la Maison des Métallos

En écoutant “les Nouveaux chemins” ( le Conte d’hiver )

Nous sommes partis hier matin au Fresnoy pour l’exposition ABC , scène contemporaine belge.

Beaucoup de choses drôles comme le travail de Jacques Lennep et son “Musée de l’homme”, Emilio Lopez Menchero (Trying to be Balzac, Trying to be James Ensor;)

Emilio LOPEZ MENCHERO, Trying to be Balzac, 2002_2.jpg

Et puis quelque chose de très réjouissant, Pol Pierart (Autoportrait avec ma ville natale ).( Visiblement oublié sur le CD presse…)

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Il y a même un Jan Fabre interessant , le Spinnkoppentheater ( c’est dire!!!)

Ana Torfs:

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Quand je vais dans ce genre de truc, j’ai vite envie de rentrer. Donc j’ai pris un train plus tôt , avec R.B.

J’ai fait des photos qui se sont évaporées??? tanpis . Pas grave.

Paris, temps doux, soleil, chercher des bretelles, annuler le RV pour l’expo Larry Clarke, chercher un machin pour y mettre l’eau derrière le décor… I

l fait chaud, j’enlève ma veste

/ PERDITA ET FLORIZEL/

DEVORÉ PAR UN OURS/….

Puis filer à la maison des Métallos, y être en avance, boire un verre de vin en lisant le bouquin sur Lennep.

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Théâtre

(Je suis) Ripley Bogle

Cie C.O.C

Un texte de Robert Mac Liam Wilson mis en scène par Pierre-Vincent Chapus

Untitled De la coquille Saint-jacques à la commédia del arte

Après donc le tennis puis une coquille Saint-Jacques , j’ai filé au théâtre et me suis assoupie dans la loge pendant une demi-heure.

Beaucoup de rappels. Une bonne salle . Et R . qui n’a plus mal du tout et a trouvé son rythme ( jouer sans se fatiguer). Chemise trempée.

Cette semaine j’étais allée voir Le songe d’une nuit d’été, par les élèves de Mario Gonzales   au conservatoire.La salle Louis Jouvet est une merveille. les boiseries, la porte centrale. Plateau vide. C’était drôle et plein de fraicheur. J’ai passé deux bonnes heures, surtout que c’était ma première soirée “libre”. Après je suis allée seule manger une pizza en terrasse avec mon bouquin. Le paradis.

Flipper le dauphin…

C’est moi.

Même pas envie d’écrire.

Tout est prêt.

croisons les doigts pour que l’infiltration marche.

Humeur sombre. Peur. Repenser à Avant…

Le pire comme disait G.de M c’est de projeter, d’inventer le futur …

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Frans Zwartjes

http://www.ubuweb.com/film/zwartjes.html

The incomparable Frans Zwartjes is a filmmaker, musician, violin-maker, painter and sculptor. In the late-60s he was one of the first Dutch visual artists to take up film, initially to document his performances and soon after as an independent medium perfectly suited to his way of creating visual art. His mind-bending works caused a furor, with psychological black-and-white imagery of heavily made-up and over-dressed actors from his circle of friends. Focused on sexually-loaded power games, hysteria, psychosis and cruelty, his films are largely edited ‘in-camera’. “My own motor system determined the film style”, Zwartjes stated in an interview. Zwartjes’s oeuvre includes over forty films and his style has left a strong stamp on at least two generations of experimental filmmakers in Holland. You’ve never seen anything quite like this. – Film Anthology Archiv
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Tension

répétition ce matin. Jamais simple et R. souffre avec sa jambe. j’essaie de ne pas m’inquiéter mais. Le mec qui devait faire le costume m’annonce que ce ne sera pas prêt. Je file à Charenton, attrppe un sandwich au passage, repars avec le tissu, trouve Bas et Hauts avec qui j’ai déjà travaillé il y a longtemps… Tout cela n’est pas grave. Mais cette douleur est entêtante.

Je sors d’un verre avec C. Nouveau Costes à Pigalle. Assez sinistre je dois dire. Bar de n’importe quel hôtel n’importe où. Anonyme vaguement chic et pas grand monde. Bar avec lumière assez aveuglante et blanche, musique. Des frites passent. Elles ont l’air bonnes. Je superpose à cet endroit, l’ancien PMU, enfumé où les types du bonto se précipitaient après avoir plumé une victime.

Du monde dans la rue ce soir. Du vent.

Je suis inquiète. Le fait de ne pas travailler pour moi ces jours ci n’est pas ce qui me préoccupe.

Bon. Je vais manger un truc; C. n’a pas tellement le moral.

France Culture vient d’appeler pour ” Guerre et paix”. Moi j’ai écouté un peu le procès de Pétain qu’interprète Roger. c’est balaise quand même.

Bon pas le temps n’y l’envie de m’étendre sur aucune question.

V. m’a fait rie. Il dit qu’il m’a croisée “vieille” . Moi à 80 ans. Incroyable disait il. Hum…

Allez…

Doublure Lumière

Cette nuit j’étais à Moscou .

Je visitais je ne sais quoi de la taille du Vatican et j’achetais des médailles.

C’est ce que j’ai fait ( en plus ). Je veux dire la mise du décor.

Et en rentrant j’ai R. qui continue à en parler.

Plein les bottes mais raisonnablement.

Bien aidée par Guillaume et Camille + l’intermittent et évidemment Christian qui travaille comme une bête. je ne sais pas comment il tient.

Croisé J.V qui venait jouer en face.

Transmis par les machinos du Grand Hebertot ( merci Eric et Yannick et;zut… qui m’ont aidée ) … transmis mon bonjour à Edith Scob.

Gaelle de M. qui travaille aussi comme une bête.

Décor de la pièce d’Ibsen ( Solness …) magnifique ( je ne l’ai vu-le décor- que des coulisses. Jean Haas . Tout blanc.

Ils en chient niveau température là-dessous; Jacques dit : “On est a 39 degrés mais ça va”.

R. râle pour tout . Puis il y a cette sciatique qui ne s’arrange pas.

Je gueule parce qu’il n’a rien préparé; j’ai faim.

Il gueule je gueule!!! et tout va pour le mieux, cher Pangloss!!!!

Parce que demain récré, tennis. miam.

Oui, et rien ne m’arrêtera même pas Joe Dassin….

Pas encore pu voir Christophe car j’arrive. R. au téléphone avec Arnaud. N’ai pas défait ma valise depuis une semaine.

Ma vie de Machino

Je rentre à l’instant . Aider à équiper. Mais je n’ai pas la force nécessaire pour soulever les projecteurs.

Pa pu boire un verre avec C. pour fêter la bonne nouvelle par rapport à son film; Demain filage technique.

Soit. Un coca et au lit Leslie

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Note juin 2010

Palimpseste.SELON BRUNO LATOUR

Le débat Bergson/Einstein
Bruno Latour, Olafur Eliasson, Elie During, Jimena Canales
21 juin, 18h30, grande salle
Le 6 avril 1922, Henri Bergson et Albert Einstein se rencontrent à la Société française de philosophie de Paris pour discuter du sens de la relativité.

Fin

il y a des post non publiés par faute de connexion
Aujourd’hui, dernier jour.
Encore corrections du texte de R.
Aspirateur et rangement de la maison pour garder les meilleurs moments de la fin.
Chausson aux pommes. Achats de saucissons pour offrir et d’autres trucs demain sur le marché.
Passer chez Jane, passer chez Janot hum, pas trop le temps.
Envie de rester et de continuer à dessiner dans cet endroit Génial que me prête D.
L’atelier idéal c’est celui qui est intégralement vide.
Vais manger ma cuisse de poulet pic-nic
Continuer un peu à dessiner. Puis ranger et , supplice, rouler le papier. Brrr

Demain départ pour Chalon sur Saône. Peindre le décor; C. devait me rejoindre mais elle est réquisitionnée pour les répétitions
Comme chaque année au moment de partir j’ai envie de musées, et de musées Italiens. Venise. Miam.
Rurik. si tu lis ça, je n’ai plus ton mail ici.Je voulais répondre à ta photo..

Me que tout le monde se recoiffe je serai à Paris Mardi au plus tard ( j’espère avoir fini dare dare )

reprise

Reveil à 7h
Dessine deux marches pour le décor et dois acheter des timbres. Ridicule ce petit fascicule où il faut chercher les timbres, qui ne ressemblent pas à des timbres pendant deux heures;
Travaille toute la journée. Grignote une cuisse de lapin qui restait et un morceau de fromage au soleil. lis quelques pages de Jules Verne et Libé.
L’article sur les mineurs coincés à 700 mètres. Vont ils tenir le coup…
Dessine. Pas de radio rien. téléphone de l’imprimeur: Les épreuves sont parties à Paris et il faut donc les rapatrier
J’entends le tracteur de Bouli.
Hier c’était étrange? Délicieux de voir Blue Gardenia.
Temps magnifique et encore plus. Tentée sérieusement par la chaise longue que me propose le diable fourchu toutes les secondes.
Les ombres de la maison sur le pré .
A. est vraiment un type délicieux et si facile à vivre. On a passé de bons moments lui avec Roger à répéter, moi ici et là, puis lui avec moi pour le tennis et le VTT.On a beaucoup ri aussi. Il s’est goinfré des meilleurs chaussons aux pommes du monde. c’est moi qui l’ai initié et il est tombé acccro en une seule fois…

Dans la maison vide, dans la chambre vide…

Je dois dire que ça fait quand même bizarre de se retrouver dans la salle de classe, seule avec comme seul bruit, le moteur du frigo qui ressemble au vent dans la montagne.
Bizarre après Taiwan, bizarre après le Repenti, Emilio, les Feles, les bals, Hélène et Franck ,les nouveaux nés, ceux qui commencent à marcher. Avec O. et S qui promène Sarah dans un chariot très drôle, avec les pistes des Maures magnifiques, Porquerolles au loin, le velo pourri aux vitesses déréglées,moi qui hurle en grimpant, les sangliers, les pizzas d’Alain, la mer, la monopalme, le tennis, la lecture de Lucien, le début de lecture des Mémoires de Casanova, le café allongé sur la place, Cathy la boulangère et ses petits pains aux raisins délicieux, les quelques jours avec U. et sa confiture de fraises, le passage de M.M et des ses enfants,le nouveau boucher,la femme de l’ancien qui est revenue, la fenêtre de la décapotable de D. qui ne ferme plus, les atermoiements amoureux de D.P.
Avec l’absence de Maria T et de C. et Y.
Tout , tout mélangé avec les beignets de fleur de courgette: Ceux que je fais sans enlever le pistil et qui sont tout gonflés, ceux que fait P. tout plats et délicieux, ceux que nous offre G. la femme de J. accompagnés dans l’assiette de merveilleux beignets d’aubergine…
Les nouveaux noms des nouveaux chats et qui nous font rire avec E, les ados de la piscine municipale, “les beaux gosses”, les mêmes toujours les mêmes.
La disparition de Sacha Briquet, de Bruno Kremer, la femme qui a tué ses huit enfants, le dentiste de Gonfaron qui s’est fait ligoter, le président qui recommande à son gouvernement de ne pas se faire remarquer en partant sur la lune… La guêpe qui m’a piquée sur le nez, l’autre sur le bras, la sciatique de R., le dos douloureux de B. qui m’offre trois énormes truffes, Draguignan. La vie comme ça. Et ..; pas travaillé.
Ici, C.M et E. S. L’altitude. le temps pas mal. Le bon vin. Le marché. La fraîcheur. Mon installation comme l’an dernier chez D. L’arrivée d’ A le 14 en direct de Long Island. Mais ils montent tous -pour voir- au ball-trap nocturne. Le 15 Août, le froid, la soupe aux choux et avant C. qui vend toutes les enveloppes gagnantes. Jane qui cette année ne monte pas, ce qui rend moins précieuse cette journée. Le bal, le pied brisé et le quadrille qu’on danse lamentablement avec la Marcelle et sont ami. 170 ans au moins à eux deux. Il tourbillonne avec son pull Jacquard et son sourire Stéradent, il m’épuise. J’ai mal aux mollets. Ceux que nous observions l’an dernier sont là. JP a le bras abîmé, G. genou à opérer
Puis le départ de M. et E, le départ de tout le monde,. Nous restons à 3. R. et A répéte. moi je fais la maquette du livre, me bats avec l’internet de brousse, avec les PC. Ils répétent. Le temps est sublime. Je relis W. Storitz et commence Hector Servadac. je n’ai commencé que deux grands dessins. On est loin du rythme de l’an dernier…
Tennis. A joue bien . Vélo. Quadriceps…
promenades sur les plateaux, coq noir et vielle en fin de journée
Départ de R. hier.
Lapîn grillé et soupe de courgettes devant ” Les vendeurs de bibles” de Maysles.
Pluie zut. Grey Gardens
Nous montons avec A les vélos aux Supeyres. c’est magnifique..Le brouillard, le vent, le pic-nic… le pain et le Saint-nectaire
Saint Etienne, acheter des DVD pour ma vie d’ermite jusqu’au 3, l’enterrement de Marcantoni à Toulon à la radio…
Là R. me parle de lui, de Delon de Markovitz ( ortho?), de ce que  Marcantoni lui a dit….
Hop
Demain, travail??? Oui parfaitement

Pas relu

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