C’est un livre envoûtant qu’il faudrait lire d’une traite ce que je n’ai pas fait.
Parfois un peu monotone. On est plongé en permanence dans des couleurs des vagues et des paysages ( c’est prodigieux d’ailleurs cette façon de décrire la couleur), on est porté par l’air, le vent, secoué par « les baleines ».
Peu de personnages ( l’homme au boutons de diamant, le millionnaire Marshall, le capitaine Nicholson, le singe Lanka…)
Je sais mal en parler. c’est vraiment une histoire de sensations .
Pour oublier cette production, j’achète sur itunes la VP et oublie les vilaines images de l’autre jour. J’en parlais à X. et lui disais que ça, des costumes pour Offenbach je sais faire.
On était bien partis mais la neige tombait vraiment trop et on a eu peur de se retrouver dans des embouteillages glissants de retour. Bon. moi qui voulais envoyer des Photos à Bogota;;; Râté.
Finalement on est rentrés sans être descendus de voiture. Pas le courage d’aller à A. Je vais poursuivre Consuelo 2. et renouveler mon stock d’images.
Il faut aussi que j’écrive à D. pour le projet d’expédition
Ce que j’aime juste lorsque je me réveille , c’est tendre l’oreille et aux micro indices; deviner la qualité de l’atmosphère..
Au bruit, savoir s’il pleut et en ce moment puisque c’est plutôt la neige qui est à ma mode, guetter cet indescriptible sentiment de feutré, d’étouffé.
Au moment où j’écartai le rideau , il y a eu un grand CroaCrAAAAA de corbeau, et je l’ai vusans le voir j. Vu son bec qui se refermait, et son corps noir.
Je buvais mon café et les premiers flocons sont tombés, dont un gros qui ressemblait à un bout d’ostie