Alors que l’on voit des cartes partout dans les expositions, je repense à celle-ci dans « le sang d »un poete «
15 ° /Marre
Pierre Simonini
Décorateur de théâtre et de Music-Hall ( Paradis latin/jean -Marie Rivière)
Ne trouve rien sur sa disparition.
J’entends sa voix rauque, avec accent Italien à mort.
Vois son foulard, vois son fume cigarette, sa grogne-attitude, ses gueulantes avec Jean-Marie. son rire magnifique et sa façon de dire « Pognon »= Pégnonne
—Pierre, je voudrais faire ça…
—Touas commebienne, grrr ?
..
— Tou pou palfairrre.. T’as pa l’pégnonne
Hier chez A., le seau à champ était un chapeau clac, vestige du Paradis, avec écrit à l’intérieur Paradis Latin.
Stop . Je ne suis pas salariée par radio Nostalgie.
Mais quand même c’était quelque chose cette descente des cintres!!!
Au Paradis ce soir
Heureux de vous voir
On vous dit bonsoir…
Dans mon élan j’envoie un petit mot aux Incoyables
JM Rivière
« Me revla au snack bar »
Tennis à 9h.
Mauvais. Pas de concentration due aussi à un renvoi approximatif de R.
Pas assez d’exigence dans ce cours . D’où aucun rythme de ma part et une flemme certaine.Rouge comme une langouste.
Fin du livre Vendange. Très beau
Argenteuil
Puis vélo jusqu’à la rue de Crimée vers 20h. RV chez MM avec MT puis dîner au « Rendez vous des arts et de la science » ( suite d’hier) , restaurant à Laumière, avec équerre et compas et chefs d’oeuvres de compagnons… Peu cher et bon
Zizi Jeanmaire. J’aimerais porter ça.
le site du Musée est mal fichu.
R. est à Clermont Ferrand.Contente d’être seule à l’appart.
tel de Fanny qui m’invite au cours Florent demain; Mais à quelle heure.?
Kepler et Blanche-Neige
En méditant sur les moyens de « prendre « la vie de quelqu’un et de s’en « servir », plutôt s’en inspirer et à la fois s’y glisser je me suis souvenue de la « Diva des poubelles » et du lot de documents que j’avais trouvé alors que j’attendais D.
J’ai dû en parler quelque part.
J’ai rangé dans un autre quelque part le paquet contenant ce que j’avais récupéré: Programmes, photos, lettres rescapées de plusieurs fouilles précédant la mienne.
Quand j’y pense, c’est toujours un sentiment de tristesse que j’éprouve: Une vie, une carrière, qui se termine quelque part chez un individu-moi en l’occurrence-
Les contrats, les tournées, les villes de provinces, les notes de restaurant…
Au moment ou nous nous croyons invincibles et immortels, c’est aussi riche d’enseignement. Vanitas…..
Notes
Monumens de la vie privée des douze Cesars
et visite de la collection Collection Karl Ludwig Leonhardt ( un enfer privé) mise en vente chez pierre Berger en décembre dernier..
Je retrouve Wilson Bentley. Mais les sites le concernant sont affreux.
.
Ah. Kepler. Le flocon. Et je repense à Tycho Brahé, l’homme au nez d’or.
L’Étrenne ou la Neige sexangulaire (L’Histoire des sciences)
Et en parlant de neige… Avec ce drôle de gâteau
LAZAR
©Nathaniel Baruch
( extrait du Blog d’Armelle)
Michel Fau
L’impardonnable revue
pathétique et dégradante de Monsieur Fau
Je suis devenue groupie
après l’ascenseur noir, les plumes blanches
Il y avait la douane , les chiens sur unel arge route.
Un immense camion jaune devant moi, pas d’indications, une circulation cahotique.
Les gardes ont des drôles d’uniformes et leurs yeux sont transparents.
Me voici dans une sorte de ville-abattoir. Le lève la tête.
On scie on coupe de gros morceaux de viande.
Il n’y a pas de sang, mais une matière pâle et un peu visqueuse.
Une femme extrait d’une vache allongée sur le dos une forme hybride avec deux cornes molles. C’est assez épouvantable.
Je poursuis ma route vers Amiens, et à présent c’est dans une immense pièce ou des indiens plument des oiseaux que j’entre avec le vélo.
Je m’enfonce dans les plumes blanches au sol. C’est un tapis doux mais qui me donne immédiatement une crise d’asthme.
Je m’enfonce, demande de l’aide. Je suis aspirée par le fond.
C’est atroce. L’indien me tend la main. Merci et je repars. Je me gare devant la maison Rouge, m’assied à une table en cachant mon visage…
humeur
Hier j’étais dans une rage noire.
Suis allée à la Fondation Vuitton pour voir l’exposition de Camille Henrot et assister à une conversation avec Jean-Hubert Matin .
Je prends l’ascenceur. Nous sommes 4. Et le « liftier » nous informe que nous allons voyager dans une oeuvre. Celle de Olafour Eliasson ( j’aime beaucoup cet artiste entre parenthèses ) et que cela nous permettra ainsi une transition.
Nous quitterons le monde vrai pour nous mettre en état de recevoir les oeuvres. ( HIHAN)
Sur ce , les portes se ferment et la lumière aussi. Nous sommes 5 morts dans un caisson noir (dont un mort avec bandes fluo sur son short-moi)
Je me liquéfie, ne dis rien, angoisse, commence à transpirer. atterrissage sans fin claustrophobie totale.
Enfin les portes s’ouvrent. au 8 eme étage J’arrive enfin sur la planète chic en faisant remarquer qu’il eut été correct de prévenir.
(Je ne parle pas ici de l’expo qui est intéressante. J’aime bien Camille…)
Fuyant les champagne et les machins…
J’ai demandé à descendre par les escaliers.
Mais il fallait être accompagné.
J’ai effectué la descente pour retrouver avec grande joie le pays des vivants la pluie dégueulasse et mon magnifique vélo jaune, les gens laids, les gens trop gros, les trop minces, les beaux mecs, les filles vulgaires, les filles classe les pauvres , les moyens riches, les animaux, les velib cassés, les velib en bonne santé, les plantes, les affiches, Decathlon, les rues, les passages et les feux rouges, un type souriant, une fille qui se retourne, un touriste emballé dans un sac plastique pour chercher le sec, des bruits des klaxons, c’est délicieux tout ce bordel de la ville, de la vie, des différences, du coca zéro des pizzas mauvaises, des cinémas.
Tout plutôt que le caisson noir . Tout.
Je ne me suis pas remise depuis hier d’une haine terrible, contre je ne sais quoi. Ce quoi qui de façon totalitaire m’OBLIGE.
MAIS CA VA PAS NON?
Comment oser imposer à qui que ce soit « une oeuvre d’art » ,comment oser imposer ces conditions.
Je veux de l’air. Je veux des zones où il n’y a rien à voir, un écran blanc.
Des images et pensées horribles , des inventions glauques me sont venues à l’esprit et que j’écrirai ailleurs. Mais MERDE, qu’est ce que ça veut dire d’être ce type d’otage mondain???
Fallait pas y aller! me dira t on…
J’enrage
Velo de retour. Respirer, pédaler, fuir l’ascenseur noir, le cercueil transitoire pour être à la hauteur des oeuvres, pour déconnecter.
Mais je ne veux pas qu’on me débranche moi, je ne veux pas tout oublier ( ça y est je suis repartie en boucle)
Toujours en rage.
Rage que j’ai déposée aux pieds de l’assiette de R. Le pauvre.
Meredith
Hier, Meredith Monk au Jeu de Paume. Belle soirée. Fim projeté /comme ci comme ça.
Hé hé la nomination de Darcos à Culture France. Y vont se marrer à Culture France et lui il a intérêt à réviser cet été
Darcos ça me fait penser à la confiture Andros.
LAZAR
Comme finalement nous ne sommes pas partis parce que R. travaillait, j’ai accompagné A. au Théatre de l’Athénée.
C’est déjà un plaisir que d’être assis là même s’il n’y a pas de spectacle.
C’était Magnifique ce Pyrame et Thisbé. Envoûtant.
Mais je peux comprendre que l’on s’y ennuie ferme. Que l’on y dorme C’est statique, sombre, pas de décor.
Les costumes sont une merveille.
Et puis le texte vraiment devient une musique.
Raideur des déplacements et iris qui glisse sous la paupière pour n’apparaitre qu’à demi.
C’est très codé. est ce la limite de ce genre de choses? La répétition, la règle, le placement frontal et les translations des corps ( aucune trajectoire libre) et la déclamation?
Nadal et Thysbé
Quand même c’était drôlement marrant ( pour quelqu’un comme moi qui ne connaît pas son numéro) de voir Jean-marie Straub en os et canne!!!
Encore plus marrant le « dialogue » avec Rancière. Plus+ tard
Arg hier:
J’envoie un SMS à Tom en lui disant que je vais organiser un séminaire de poterie -térapie. Je suis à ma table, ne pense à rien et fait un pot.
tragique.
Je l’écrirai dans mon spectacle sur moi!!!!
VOS GUEULES / c’est la finale
Faites que le match dure longtemps car je file au théâtre
pierrick Sorin = Pyramea arbor
M
Chaud
en face lumière intime et voix qui s’échappent:
J’entends;
—En vieillissant on devient tous plus fous ( prononcé en snoblang )
Oh oh, ce sont des Helvétes je l’entends.
Finalement pas partis ( comme dab )
J’entends aussi
—C’est à base de veau haché…. et musée d’Orsay.
Niagara-Epcot
Après « les larmes amères de …. « , on mange des trucs;
Je n’ai pas faim.
Le vin de Marc est une merveille.
Du monde au Duke( d’après ce que j’entends). monde à Pigalle ( d’après ce que j’entends.)
C’est le phénomène Ryan:
Des le jeudi soir c’est Disney land- Epcot
Experimental Prototype Community Of Tomorrow
au lit LN
C a fait un mois
que ça dure. rien fait.
mon ami le lion, plus gentil que les humains-sniff sniff
Pas sortie du tout aujourd’hui.
Je ne sais pas comment a passé le temps.
Un peu de lecture, le livre que m’a prêté E.
Vendange de Torga. J’aime beaucoup.
je vois qu’il fait beau.
Je me suis dit cela plusieurs fois. Je suis comme une pierre, n’ayant pas plus envie d’aller à droite qu’à gauche, manger du pain ou un fruit, boire du thé sucré ou pas.
Je recopie des SMS qui m’ont amusée,
Range les stylos dans le pot puis les ciseaux, puis les sors à nouveau. Puis les range à nouveau.( tiens tiens le cerf Coco faisait ça…)
HIer ; j’ai beaucoup aimé le spectacle de Michel Fau au Rond-Point.
J’ai réservé des places par Tiketak pour y emmener Camille et prévenu U. qui devrait aimer ce genre de truc décadent.
Encore une fois c’est terrible d’avoir trop d’images sur les sites. Ca coupe la surprise.
C’est drôle, très drôle et triste bien sûr.
Comme les chansons d’amour comme les chansons de Piaf à Dalida, avec ou sans plumes.
J’adore ce qu’il dit dans le programme: j’aime autant Claudel que Maria Pacôme. Il faut oser….
Diner avec MM et Marie R. au rond-point: Dégueulasse, c’est le mot. Tout tiède et frites pas cuites que je renvoie non pas pour qu’elles soient entièrement dorées, mais au moins chaudes. ( « Oui mais on n’a qu’une friteuse » )
Projets. Partir, descendre, remonter , Ecole ou Repenti. M’en fiche. M’intéresse pas.
Déjeuner agréable avec T. et V. ( j’aime bien cette fille) au Macval.
Croise D. Réflexions et autres lors de la visite de l’expo dont j’ai oublié titre et contenu= » Emporte moi ».
Super light. Super light. Hum… Le coeur qui clignote pendant 8 mn et un peu plus. ..Ca va….
C’est marrant parce que parfois les gens sont si émerveillés de se voir en images, qu’on pourrait penser que la photo et la vidéo ont l’âge de l’iPad.
Intervention de R. vif et emporté qui me raconte un truc de taulard..
takitisy Louise
Louise Bourgois +
plouf plouf
« en interrogeant leur rapport à la ville et à la modernité. »
tea-time
Notes à défaut d’autre(s) chose(s)
François de Nomé + Didier Barra= Monsu Desiserio?
A name under which two obscure French painters working in Naples in the early 17th century were for many years conflated. The two painters, who probably sometimes collaborated, are Didier Barra (c.1590–after 1647) and François de Nomé (c.1593–after 1644), both of whom came from Metz, and the name ‘Monsù Desiderio’ is a corruption of ‘Monsieur Didier’. The main—but often unreliable—source of information on Neapolitan art of this period, Vite de’ pittori, scultori ed architetti napoletani (1742–5) by the local painter and writer Bernardo de Dominici (1683–1759), describes Monsù Desiderio as a ‘highly praised painter of perspectives and city scenes’, and it was not until the 1950s that the separate identities of Barra and de Nomé were clearly established. De Nomé is now regarded as the artist principally responsible for producing the pictures previously given to ‘Monsù Desiderio’—strange architectural fantasies, with crumbling cities under stormy skies, sometimes with a religious scene played out by tiny figures in the foreground (Fantastic Ruins with St Augustine and the Child, 1623, NG, London). One of the few works reliably associated with Barra is the signed and datedPanoramic View of Naples (1647, Mus. di S. Martino, Naples).
« Cornucopia »
Hirst raconte encore que c’est son manager, Frank Dunphy, un ancien du show biz qui l’a fait déculpabiliser à propos de l’argent. « Je respecte l’argent ». Il dit aussi qu’il ne croit pas aux concepts qu’on met à toutes les sauces dans l’art contemporain.
« Formidablement contemporain »
Je dirais:
Hourra Cornes aux cul vive le père Ubu
MÈRE UBU
À ta place, ce cul, je voudrais l’installer sur un trône. Tu pourrais augmenter
indéfiniment tes richesses, manger fort souvent de l’andouille et rouler carrosse par les
rues.
Lacan encore
Ses temps , ses pauses sont des merveilles du genre là:
« A l’époque »
Pas pour les âmes sensibles
Ne rien savoir
je n’aime ni regarder les extraits de spectacle sur les sites des théatres ( là je viens de voir Morel sur le site Rond point. J’aime pas ça du tout /avec Juliette/ Ca fait vieille chanson rétro 50 avec accessoires décor…. De l’air . )
Ni lire les textes sur les programmes avant que ça commence.
Avant que ça commence, je ne veux RIEN savoir.
Hier soir j’étais bien HS après les deux heures de tennis. On est rentrées à 11h du soir en riant dans le métro-show.
Le jeu est de dire un mot qui caractérise une personne : Lou somnambule, lou microbe, lou malheur … et de trouver.
Parfois évidemment c’est facile mais ce qui ne l’est pas c’est de ne pas se faire pincer en pouffant de rire .
R. s’est coincé le dos et ça m’angoisse toujours quand il y a quelque chose de ce genre. Et ça me réveille aussi car je me dis que lorsque je râle, ce n’est pas toujours pour des choses importantes.
L’affaire du flingue de mon père est repartie. Lettre recommandée de la police. J’appelle et une dame me dit qu’il FAUT le trouver.
Ben oui je suis bien d’accord mais où?
Je ris en lisant cette traduction automatique d’un texte sur Herne le chasseur et retrouvé près de l’imprimante.
Les origines de la légende répandue de la Chasse Sauvage sont alors enterrés sous des siècles de détritus mythiques qu’ils ne seront jamais connus.
Je me demande si Détritus mythiques n’est pas digne d’entrer dans mon musée des titres qui pour le moment n’est pas ouvert au public.
Je ne sais pas non plus ce qu’est un bloody typique mais cela me semble prometteur/
Bloody typique ,génése d’un détritus mythique. héhé j’ai tout Gallimard aux trousses avec mon titre.
Le fantôme à cornes
et ça:
Après , »Les joyeuses commères de Windsor devient un tube »
Ses restes ont été tranformés en souvenir
Si vous lisez cette page vous êtes très probablement le genre de personnage qui prendrait une participation dans une cornue
un jour de 1856, deux jeunes garçons ont été offert un ascenseur par un inconnu au volant d’un carrosse
Notes
De pradoc
Stesichoros
Géryon
» l’art me fatigue à force d’accumulation, l’art me fatigue d’être accumulé. Entassé. C’est son “sens” même qui est en jeu et qui se perd d’être ainsi cumulé »
Oui parfois je rêve de ne rien voir du tout rien. Se laver les yeux.
tennis avec C. et retour Velo; magnifique.
Tsonga et la majorette
Les fringues de A . Rezai pour le match à Roland G, sont juste du niveau Tati. Immonde.
Noir et dentelle avec du doré. …/Petite manche transparente et flottante
Je mets l’image en tout petit tellement c’est moche
—Je rajoute que la vulgarité n’est pas le propre de Tati, mais aussi ( surtout ) de certaines grandes marques hyper chères.
La vulgarité+ l’argent c’est terrible. ( voir Saint-Tropez en Août les occupants des big bateaux qui boivent des coups entre les glaïeuls géants et les badauds en tongs-crème glacée.
Rien à faire…. Et en plus ça me met en rage .
Je ne suis donc pas fascinée par des lunettes de soleil estampillées CD en doré et autres boucles de ceintures discrètes. Bling et bling—
Noir et dentelle avec du doré disais-je. …
Un truc de Te-pu quoi. Comme quand dans le métro on voit une fille bien en chair généralement avec une mini et des talons dorés….
Sans jouer en latin et avec un voile, il y a des limites quand même. Vive Fred Perry à l’ancienne, vive Nike, et Adidas.
Gosse j’avais un polo Fred Perry blanc avec sa petite couronne de lauriers. Je l’ai porté des années.
Qui m’avait acheté ça? Sans doute pas ma mère qui n’était pas du genre tennis-chic .
A l’époque on était en blanc au tennis. Moi j’ai appris un peu vers 13 ans dans un truc avec l’école. Pas dans un club où tout le monde et blond et bronzé.
Heureusement que tout cela a ( un peu ) changé. Ce que j’aimais c’était le renvoyeur de balles, machine disparue depuis belle lurette je suppose. Jamais revu de ces machins.
Fini le dernier Almodovar commencé hier et regardé avec plaisir Cowboy angels de Kim Massee.
J’ai souffert terrible au tennis; Soyons lucides je n’avance pas. Pas assez de petits pas et arrêt toutes les 10 mn d’échanges non stop. Rouge comme un homard.
Velib et direction les Champs pour un coup d’oeil et trouver Daniel .
Déjà un monde fou. Déjà plus de monde que de plantes, arbres branches, vignes feuilles et chlorophylle.
Le voilà à coté d’UGC.
J’ai une belle casquette France Bois Forêt. Café au soleil et perspective de journée inside, vu que de ce temps c’est génial mais que Paris est blindé de monde comme un Disney land.
Moins crevée qu’hier.
Thé et spéculos.
Tsonga. Lui il est bien sapé. Des belles pompes.
Dans le genre hideux on avait eu le jean de jsais plus qui… Agassi?
Et Roger il est pas beau avec son petit sac doré. Il devrait y mettre un chien chien plutôt que des raquettes
notes
le monde pétrifié 1957 Jerry Warren
Certaine que c’est nul mais bon.
Francis Alys
Tennis avec vent mais à l’ombre
Je ne sais pas pourquoi je suis out à ce point. Aplatie comme une ombre.
Ai Réuni quelques idées pour les étudiants d’Angers. Je suis toujours insatisfaite de ce genre « d’épreuve ».
On n’en dit pas assez, on ne sait pas toujours immédiatement.
Cela me rappelle Cergy qui me bouffait littéralement mais avec plaisir.
Je crois que les professeurs devraient arrêter tous les deux ans, respirer puis reprendre.
Je me suis dit que seul le tennis pouvait me sortir de cet état.
RV ce matin au théâtre pour R. et voir la salle.
Hier C; et Y viennent dîner après le spectacle ; Circé est impressionnante et concentrée. A un an elle dégage.
Bon, je mets mes bois d’été et descends me coucher: ( sans Beuys)
.
Retour d’Angers
Charles Ray
Fatiguée Sinusite Allergie.
Drôle de sentiment en sortant d’une école d’Art . Toujours. Etudiants de 3 eme année. Tous intéressants et différents.
C’est marrant
Je regarde mes stats et j’ai le double de visiteurs aujourd’hui… Mais d’où viennent-ils.?
Je n’ai rien dit . Pas l’ombre d’un gros mot, d’un tag porno, d’un blasphème…. ( en parlant de blasphème je pense que vraiment le temps est en train de se couvrir entre mon museau et Foligno pour l’église)
Bon
Plus , plus tard
Demain diplômes à Angers départ 7h55
Je vais mater la tété et la chasse au Docteur Delajoux.
C’est immonde cette émission. Délation, calomnie. Enfin c’est pas un ami à moi, mais je trouve que c’est un peu lourd cette affaire.
Ai racheté une tondeuse. Ai tondu ( ce que je n’avais pas fait depuis 15 bons jours: Un délice.
Tondez vous!