« Un squelette qui dessine »

Il y a ceux qui mettent le gilet jaune de sécurité bien en vue sur le fauteuil du conducteur


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Je retrouve A.H devant le Musée d’Orsay. Nous passons sur le côté car il y a une fille immense.( Il n’y a pas de fille immense mais une file immense….)

Je ne sais pas pourquoi je suis tendue. Dos bloqué. Couchée tard ( je regarde Déborah François dans « Les fourmis rouges ») levée tôt ( passage de S. et de ses sacs en transit)Déjà un PV et téléphone dans l’eau.

Deux nescafés.

Panique pour rien. Se dépêcher pour rien. Pas contente et contente. Pas vu C. et Y depuis longtemps. Aujourd’hui la réponse ( finalement non, encore un type en vacances, un autre…)

Je n’ai vu que l’exposition Ensor.

Il faut y courir, prendre ses tibias et ses fémurs à son cou. Y aller. c’est extraordinaire.

Les étoiles au cimetière ( petite eau forte de 1881)

Wagner fracassant

fanfares doctrinaires

Siréne des iles fidji

Squelette et chinoiseries

Les terribles tribulations de Saint-Antoine

Etonnement du masque Wouse

Série de masques réunis en théâtre d’expression ( 1890, petit dessin)

Le combat des Pouilleux Desir et rissolé

Hop-Frog

Peste dessous,peste dessus,peste partout.

Insectes singuliers

Les démons me turlupinent


Les masques.


Je me souviens de cet te journée à Ostende. J’avais vu dans la vitrine d’une boutique vieillotte des grenouilles empaillées et des coquillages. J’étais entrée pour savoir le prix des grenouilles.

Non, ici c’est un musée. C’est la maison d’Ensor.

C’était dans mon souvenir très beau ce moment. Petite maison, harmonium, curiosités et masques. Le pas encore squelette que je suis frétillais des osselets. Clac clac. J’en ai même presque oublié l’immense reproduction en photocopie couleur.


Il y a autant à lire qu’à regarder; Les titres sont drôles et grincent. Je vais y retourner.

Blabla ci et là. Pas envie de voir At nouveau revival. C’est trop . Surtout que nous allons vers d’autres masques, d’autres monstres, d’autres dessins et fanfares. Ceux de Fellini au Jeu de Paume. Evidemment pour illustrer ceci je brûle d’envie de mettre ici la photo de Dominique Delouche et de Fellini devant un mur d’ex-votos.Mais je ne le ferai pas .

Je rate de peu D.D et voici que cela me contrarie. Je culpabilise pour rien. La barbe d’être comme ça. Je croise J.M.M, D., D. etc… Mais je reviendrai?. Je n’arrive pas à me concentrer. Je ne sais pourquoi.

Croque monsieur au Colibri ou 3 jeunes femmes Russes vont affronter dans quelques minutes

3 soupes à l’oignon

2 assiettes d’escargot

des spaghettis bolognaise

un poisson pané et une montagne de frites.

Tout arrive en même temps. Elles rient.

C’est l’horreur toute cette bouffe.


++ tard.

Mais avant de sortir, préparons notre lit. Zut il y a quelqu’un dedans????


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[Patient in a hot head pillow.] [[Man lies on cot under bed cover, his bandaged head rests in…] (1861-1872)

NYPL


Mais c’est quoi cette image…

Image Title

: [Patient in a hot head pillow.]

Alternate Title

: [Man lies on cot under bed cover, his bandaged head rests in wooden apparatus with straps designed to elevate and cool head while allowing moisture from bandages to drip in basin below head.]

Creator

: United States Sanitary Commission — Creator

Created Date

: 1861-1872

Medium

: Albumen prints

Specific Material Type

: Photographs

Item Physical Description

: 14 x 19 cm.

Item/Page/Plate

: 79

Notes

: Separated from Medical Committee Archives No. DCCLXXI (772), first draft, “Posture[,] dressings and the daily care of wounded parts” by David Prince, M.D. Titles supplied from document and photographs in second draft.

Dimanche tranquille place Clichy

Il y a ceux qui ramassent les sucres sur les tables des bistrots


Après une pièce magnifique que l’on propose à R. et avant la lecture de celle d’E. et du texte de B. pour I. sur lequel je dois travailler. Message très gentil de G.

Je repense aussi qu’hier , de rage sur le Boulevard Magenta, de rage et en marchant à reculons dans l’espoir d’un taxi j’ai pleuré- et qu’un type qui passait m’a demandé s’il pouvait m’aider. Il a dû croire à une rupture, une nouvelle atroce, un truc vraiment méchant. Et je m’imagine, la métamorphose de son visage compatissant s’il avait su que je tapais du pied et faisais une petite crisette pour une voiture qui n’arriverait jamais.

Je me disais aussi, que c’était curieux, soudain de m’entendre répondre:Oui quand des connaissances demandent à venir à l’atelier. Personne à de rares exceptions, personne récemment à part M.M et Tom n’y est entré. Ce n’est pas que je fasse des mystères, que je joue la sauvage, mais je ne sais pas. Ca n’allait pas . Je ne voyais pas comment recevoir quelqu’un, que dire. Bref

J’ai aperçu E. devant le Mac Do de la Place Clichy. Il avait son caban de velours beige et des feuilles à la main. Comme ça parmi les gens, la tête penchée.

-Ben qu’est ce que tu fais? Ca va?

-Oui oui ça va, j’apprends mon texte.

On a ri. C’est vrai que je me demandais ce qu’il faisait là, flottant , tournant.

Wepler. Un thé et un clafoutis aux poires.

Lelouch trafique je ne sais quoi. Il lit en buvant un Perrier. Pas mal de vieilles personnes, mères et filles, habitués ( une bière arrive comme une petite bouteille de champagne dans un seau en proportions.

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envoi de R.

Hop au lit

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Versailles, Chambre de la Reine, Detail of Marie-Antoinette’s bed, 2007

pas de taxis à paris, pas de chat blanc non plus

Ne pas trouver un taxi à 2h du matin, c’est sans doute normal un Samedi soir.

Mais quand c’est à moi que ça arrive et je fais 4km à pieds c’est moins drôle. En même temps c’est agréable et ça remet les idées en place.

J’ai repensé ce matin; à la vision de l’avenue Trudaine. Il y a là un jeune homme et une fille. Lui est au garde à vous au milieu du large trottoir. Je passe et me retourne.

Maintenant il a le pantalon en bas de jambes et la fille regarde son caleçon bleu à rayures. La fille rit et moi aussi. Je continue ma route et me retourne une dernière fois. Cette fois ci c’est un petit cul pâle que je vois. La fille à la main devant la bouche et rit.

J’ai bien aimé ce petit moment . Charmant. C’était juste charmant.

Toujours le dos bloqué.

Soirée agréable.

J’avais redouté les conséquences de l’article lamentable du Monde concernant G. Mais non.

Temps absolument magnifique.

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http://anonymousworks.blogspot.com/

Modiano

En rentrant de Neuilly où nous sommes allés entendre Rue de Chézy, Edouard Baer ( Pedigree de Modiano )+

En passant dans ce calme infernal de ce qui ressemble au monde de la province,

+en passant devant la boulangerie des parents de R.,

+en passant devant la Commandantur, en passant devant Sainte-Croix… bref je me disais stupidement que merde , être Pinter , ou Thomas Bernard ou même Modiano, ça m’aurait bien plu.

Et je me disais. mais pourquoi ce sont eux qui sont eux et pas moi, eux….

C’est vrai quand même.

Pourquoi passe t-on à côté, de peu, d’un cheveu . Enfin d’une perruque…

Un bouquin- bazar- ce doit être drôlement bien de le sniffer tout frais quand il sort de chez l’imprimeur. ( Et chez un éditeur dont on rêvait)

En l’examinant, c’est le vrai mot, on se passe une petite visite je suppose: Toussez… Tournez vous.

Feuilleter doit être un peu comme respirer à fond. Oui comme ça. Une ventilation pulmonaire. Du vent de pages dans la perruque

Puis regarder le dos du livre, c’est vérifier qu’on a pas de scoliose… etc.

Bon, pour le moment :

Zou!!! au pad:

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Marcy Anarchy

Ah j’ai retrouvé le ZentaÏ. Art de disparaître dans des tenues de lycra.

C’est assez beau ces silhouettes . Les premiers essais étaient terribles. dans les années 70; quand les matières n’étaient pas encore si extensibles , et lorsque les combinaisons reprenaiant des images de serie Télé japonnaise.

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Marcy Anarchy, fondateur du mouvement « Zentaï » en 85 : « Dans le sens où on cache son visage dans le zentaï, on peut dire que c’est un acte irresponsable, puisqu’on ne sait pas qui est en dessous du costume. Quand on montre son visage, on doit assumer, et dans le zentaï, on efface l’identité et la personnalité. Du coup on enlève une part de responsabilité et là, on devient plus libre. »

Dommage qui les images sur le net soient si ordinaires. Enfin dommages que les amateurs se filment dans leur chambre à fond turquoise, ou près de leur voiture. C’est glauque et moche. On est loin deLeigh Bowery

Zut, on sont passée les photos ?

Bizarre.

En voilà une.

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Photo annie Leibovitz

deadline

Sans y passer ses journées, il y a quand même des choses passionnantes sur certains blogs. Ce matin je regarde celui-ci .

Je repense à Deadline, au musée d’Art Moderne. ce que j’ai aimé , c’est ABSALON:

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Fishinger

flemme.

Ce que par discrétion j’avais oublié de dire, c’est que cette nuit , l’accordéoniste aimée de la France; Yvette Horner est entrée et quand elle s’est assise elle était Fernandel, le plus mauvais acteur de la terre on le sait.

Ce n’était pas si simple car on devait leur remettre les palmes de je ne sais quoi. Je sais que l’origine de ce rêve est Isabelle Maeght, zaza, a qui , ai-je vu on va remettre un lampion.Ca m’a fait de l’effet. Je suis contente pour elle même si je n’aime que les lampions de papier, genre 14 juillet à Gonfaron-my-love.

Skypé plus d’une heure avec A.M. On rit pas mal

Expo Deadline au Musée d’Art moderne ( ++tard)

Flemme . Hop in the bed

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Motobecane

Ce soir nous sommes allés tous les trois voir Motobécane au Lucernaire.

+;+tard; j’ai sommeil. C’est magnifique….

Et maintenant au lit Pussy Cat.

Il suffit de faire valser les coussins et de faire un bras de fer avec le dessus de lit pour l’éjecter.

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An luxurious bedroom suite, decorated in the 18th century French style, with a large double bed with ornate headboard and satin bedcovers, matching curtains, cushions &c

Demain , si la banque ne répond pas , je… je … j’attends encore.

C’est qui celle la????

Avant de dire: Hop! Au lit ( à la Malmaison où j’ai envoyé mes factures pour l’intervention avant l’été )

Donc là, c’est le plumard de Joséphine.

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je regarde chez Criterion le travail des années 60 de Dusan Makavejev et trouve cela:

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Zut alors on dirait que l’arrière plan est un dessin ou un peinture que je fais en ce moment même…

Damned.

Soirée à la Femis pour voir le film de Vincent Mariette, avec R. et C.

Puis pâtes et salade dans le cuisine.

Journée 50% mauvaise humeur ( porter à réparer le sax de S. et le magasin ferme entre midi et deux, aller à la caisse de Sécu, attendre un coup de fil de la banque, acheter de l’encre pour l’imprimante, aller à la poste…)

Ne manque qu’un problème d ‘ordi qui n’arrive pas.

Alima. Tel de E. du notaire, de P.A S, de je ne sais plus…

Je cherche un support transparent en grande largeur comme du papier de fleuriste et qui résiste au temps , ne jaunit pas, ne plisse pas à l’eau;

Téléphone à une boite. En général le coup de l’artiste qui cherche émeut, mais là, que dalle.

Un lundi

Toujours la mise à jour du site jusqu’à 10h ce matin.

Puis R.V avec T. à Saint-Lazare

Argenteuil

Retour à vélo rue du Bac et croque -madame avant le R.V chez B.M pour la peinture qu’il me commande. 3mX 2m.

Vélo. Tuileries où un garde à vélo nous arrête et nous dit que « nous n’avons pas des vélos d’état ».

— »Sûr, » lui réponje, » nos vélos sont des vélos rebelles, tu m’passes ton vélo d’état »?

Le gars ne rit pas du tout, enfin moins que les têtes argentées de Rondinone.

Alors là, je me pince, je n’ai aucune idée , aucun sens critique sur ce que je vois; je crois que juste, je m’en fiche. Mais j’aime plutôt bien Rondinone.

On roule et là, je suis une balance, mais T. pose le pied par terre. Haha!!!!. Il m’avait pourtant portée sur son porte-bagage de la gare à l’atelier….

je vois son travail qu’il montre comme une fusée et à peu près à la même vitesse que M. qui hier est entrée dans l’appartement. J’ai cru qu’elle allait traverser les fenêtres et passer de l’autre côté de la rue.

Maison.

M.M pour le son de tea-time et ce qu’il souhaite faire à partir de photos.

On achète des épinards pour C et du foie gras de canard.

R. chante.

Sa lecture s’est bien passée ce midi.

J’aime bien quand il est content. On rit beaucoup. Décidément dans cette cuisine on parle et on s’amuse toujours beaucoup.

J’adore cette gaieté et le travail dont il est toujours question.

Hier C. est allée essayer le bar du Crillon.

Ca me plaît qu’elle fasse comme ça, qu’elle aille » voir ».

Ca me fait rire. En rentrant et après avoir parlé longtemps de ce qu’est une « lecture » ( rapport à mon audition Fellini), Heu… Je ne sais plus ce que je voulais dire… Ah oui,…C. Me montre les rushes deLlily avec ses lunettes noires de star adulte.

Triste: Croisé Y. Merde elle se chope une maladie orpheline… Moralité: Arrêtons de nous plaindre, de pleurer et de râler. J’en soupire bruyamment.

Hop… Au lit:

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Photograph of a bedroom in the Khas Bagh at Rampur in Uttar Pradesh, taken by an unknown photographer in c. 1911

Je ris

En lisant les Memoires d’un R. d’environ 12 ans si je ne me trompe pas.

Je mets à jour mon site. C’est le boulot ideal du Dimanche en écoutant les Aztèques.

« Pretty things » et moins pretty

Après avoir passé la nuit dans un hôpital russe, et tenté de trouver un ascenseur / l’un est tellement étroit qu’il m’effraie; L’autre est gigantesque et mène direct à la salle d’opération-Les trois infirmières me poussent à l’extérieur )-.pour le sixième étage gauche ( là où tous ont des vêtements rouges), je me retrouve à lire les revues qui traînent sur la table de la cuisine. Difficile d’échapper à Frédéric Mitterand. C’est fatigant.

Et puis ce bouquin ; il est sorti il y a au moins quatre ans non? La barbe. La barbe aussi les articles sur la Villa Médicis, TOUJOURS les mêmes, avec les mêmes poncifs: Les pensionnaires-ci, les Romains-ça –et pif paf pouf et tarapapapouf je suis ,moi le général.

Quel ennui.

Hier nous nous sommes promenés avec U. et avons failli rater l’exposition de Traquandi. Très belle, je dois dire, –mais -ou bien –et- très élégante aussi. Pretty things.

Il n’est pas désagréable d’être face à des oeuvres discrètes et qui ne disent que ce qu’elles sont: De la peinture. Et le plaisir de celle ci.

Pas de cynisme, pas de flashy, pas « volontairement hideux ».

Rien de spectaculaire sauf cette discrétion. Rien à voir avec d’ autre artistes de cette galerie ( Laurent Godin ) . C’est drôle que G.T montre son travail ici.

L’accrochage est parfait et l’espace de la Galerie très beau.

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J’aime bien cette image. ( Hsia-Fei Chang )

Bref. O croise G.M V que je croyais glacial. Il est drôle et charmant.

On prend un savon chez Yvon Lambert (….) Oui on en prend même deux , dans l’exposition Shilpa Gupta.

Je passe trop vite pour m’informer suffisamment… Mais je ne doute pas que ce soit intéressant malgré ce texte assez indigent:

Shilpa Gupta s’intéresse à la notion de perception et utilise l’interactivité comme un moyen d’inviter le spectateur à se questionner sur ces questions. ( , se questionner sur des questions…. Hum hum )

C’est le cas de son installation « Threat », sculpture composée de milliers de savons gravés du mot « THREAT » (menace). Le visiteur est invité à prendre un savon afin de l’utiliser en faisant ainsi disparaître au fur et à mesure l’installation et la menace.

Ohohoh!!! Je comprends mon cher Pécuchet.
Je suis désolée de regarder aussi vite des expositions sur le net. A toute berzingue, pour avoir une idée ( quand même). Dérouler. Puis c’est comme après avoir mangé un Magnum, ou un beignet sur la plage. Beurk. Indigestion d’images.Bonjour à R. Passage à la galerie je ne sais plus le nom pour voir la video de MH Negro ( pas certaine du nom). Il s’agit d’une image filmée. C’est je dois dire assez beau et fantômatique. Mais le son est à mon goût ridicule. Puis 49 mn… Je me tire et vais préparer quelque chose à manger. U. nous rejoint après le coquetelle. R. est branché sur Tchekov, C. part vers la PLace Monge, U. emballe son savon . Je regarde la télé et Mocky qui me fait rire.
Hop … au lit
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Je vous écrirai…

Je vire toutes les images qui accompagnaient le texte et vais les remplacer si nécessaire par une description. Je me demande si je ne dois pas me laisser aller à re-nourrir le texte que j’ai mis des mois à épurer.

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Hum

+ demain.

me lève tard=9h20

Tonte.

Déjeuner avec E. et P. qui arrive de Zurich et repart à N.Y.C.

E. nous invite dans un délicieux restaurant Japonais où les plats sont à base d’anguille ( frout frout l’anguille)

Remonte à la maison à pieds en parlant à A.P au téléphone au sujet de l’expo de Païni. Retrouve R. chez Naturalia ( pour ne pas mourir comme ceux de la manifestation juste devant moi: les victimes de l’Amiante /de Bretagne, d’Ardèche – car N° 44 etc…)

Dérushage de l’audition des garçons de chez Perimoni. Je vais ça sur Garage band que je n’utilise jamais.

ETC…

etc

Allez, au lit…

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La mauvaise page 393

Je crois que la journée a été plutôt bonne.

Pas mal travaillé et photos pendant que la peinture séchait. Il y a des jours comme ça où on ne se pose aucune question. On fait

Retrouvé mon téléphone que j’avais bien aimé perdre.

Ai changé la page 393 de la première partie de Consuelo avec la page 393 de la deuxiéme partie. Tant qu’il y a l’erratum dans le livre ça va. Mais sinon. C’est bizarre et EVIDEMMENT au moment ou l’on entend dans la montagne la voix du beau vénitien. Non??? Et si!!!!

Tel de R.; M.T; C., R.; D. que je passe voir

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R. à la télé

Mails de U. pour demain.

Pizza.( trop épaisse)

On dîne dans la cuisine avec C. et R.

On rit en racontant des histoires , en parlant de la Femis, des frères Bogdanov, des prothèses de pied, de la princesse au petit pois, de Chabrol, de Pétain, des micros à la radio, de Bibi Anderson, de Bergmann, en mâchant les pizzas heavy et, repas diététique oblige, en croquant le chocolat des magnums miel nougat.

Hier , je repense qu’en terrasse après l’audition et à côté des Folies Bergère, un groupe de 5 personnes parlait anglais. Un homme avait posé sa main sur un gros dossier: Holocauste…

Well well.

Ce matin, sue le chemin des rats ( j’en ai vu passer plus d’une fois à cet endroit. Pouac. Et des gros ) j’ai fait une centaine de mètres avec une postière à vélo. papotages et considérations sur la hauteur de sa selle :

—Ok, je vais la remonter.

Et maintenant au lit:

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Je connais des vampires

GGL entre dans la librairie. Je l’embrasse malgré mon effroi.

Son visage est je crois peint en blanc et il a de petites dents pointues;

Il cache son cou avec une sorte de foulard de maintien blanc. Mais on devine quelque chose, comme si la tête, d’ailleurs trop petite- avait été coupée et reposée.

Le blanc est plus épais sur le front. On dirait le masque dans « le Plaisir » d’Ophuls auquel se superposerait Nosferatu et ses petites dents horribles.

Un autre type cache une grosseur sur le côté du cou sous un foulard rouge.

C. a dessiné des yeux sur ses paupières et se promènes yeux fermés pour afficher ce nouveau regard dessiné au stylo bleu.

Le type de la librairie me demande mes références universitaires… et me dit de repasser.

La librairie a un nom en a, un nom espagnol.Altapala ou un truc comme ça.

J’ai dû être un vampire aztèque dans une vie antérieure.

Donc nuit mouvementée après la soirée de présentation de Fellinicitta et la magnifique exposition de Dmitrienko chez Christophe Gaillard .

J’ai toujours aimé sa peinture mais il y a longtemps que je n’avais rien vu. Ca « vieillit » très bien. Et accrochage +catalogue sont réussis.

Ca me fait bizarre de voir Igor si grand .

C’étaient aux deux endroits des moments agréables. J’ai oublié d’acheter le catalogue.

Je ne savais pas que C.G avait tant de Molinier

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Au retour R. est fatigué de 3 services à la radio.

Nous parlons de Jekyllhyde, les personnes qui se manifestent sous deux aspects contraires. C’est terrible ça.

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Chercher le garçon

E. est passé me prendre et on est allés dans le quartier des Folies bergères pour écouter 6 garçons en vue de la soirée Fellini.

Ce qui est drôle même si on le sait ; est la différence qu’il y a entre un type dans la rue et le même type sur un plateau.

C’est très difficile de choisir. Celui-ci ci déjà trop assuré, trop efficace, trop « doué » et qui doit tout casser pour avancer. Celui-ci malheureusement , trop brun, trop trapu par rapportà D. Il ne s’agit pas de trouver le jeune homme qu’il était à 20 ans mais quand même. Celui ci… Hum … Oui mais un peu monocorde. Physiquement c’est lui. celui là, très jeune très vivant. Peut être trop physique. Lui , non. il termine les phrases en l’air. Comme par hasard les deux que je retiens, ont acheté le livre.

Merde je dois partir et pluie terrible.

Ai ressorti le texte de Nicole, enlevé toutes les photos. gardé quelques cartons

+ + tard

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Mister Radam

medecine

Voilà, voilà Kleinzach!

Il avait une bosse en guise d’estomac!

Ses pieds ramifiés
semblaient sortir d’un sac!

Son nez était noir de tabac,
et sa tête faisait cric crac!
Cric crac, cric crac!
Voilà, voilà Kleinzach!

Cric crac!

Quant aux traits de sa figure…/

Et Kleinzach vaut mieux,
tout difforme qu’il est!
Quand il avait trop bu de genièvre
ou de rack……il fallait voir flotter les deux pans de son frac!

… comme des herbes dans un lac,
et le monstre faisait flic flac!
Flic flac! flic flac!
Voilà, voilà Kleinzach!

Lundi Pénible, Mardi reprend vigueur

oui. Lundi pénible et grisou et gnark.

REcherches web, puis correctione de tea-time ou plutôt ajout de 3 images pour aider à la compréhension.

je l’ai envoyé à M. pour voir un peu le son, la mouche. Est ce suffisant…

S. est venu dormir. Commande Jap et C. nous rejoint aprèsl a gym.

Cousuelo moins assidûment.

Bon Albert et ses illuminations mystico amoureuses me fatigue un peu.

Le Minotaure sans sa grotte accompagné d’une sorte de fou .Un fou d’un autre genre, innocent, mais quand même capable de soulever de lourdes pierres pour emmurer Consuelo. Heureusement qu’elle eut l’idée de cette phrase étrange et que j’ai oubliée. Paf… Il pose les pierres et se soumet en donnant les clés du repaire, où Albert cache ses crises allongé sur des peaux d’ours.

Ah, ça coupe le souffle d’écrire ça. J’ai l’impression d’y être!!!

Elle avait déjà échappé la pauvre, au fond de galeries souterraines noires et humides au torrent rugissant qui la noierait, aux frayeurs du labyrinthe,. Oui Thésée contre le Minotaure ou Oedipe et le Sphynx, ne sont que des épreuves-bambi à côté de ça.

Je me demande si je ne m’ennuie pas un peu du petit Italien, pardon -Vénitien orgueilleux mais au moins vivant. Il ne devrait pas tarder à réapparaître .

Il faut se souvenir que quand je l’ai quitté , c’était plutôt lui d’ailleurs qui prenait cette initiative pour retrouver la Sainte ( nitouche,,,), Consuelo

Mais je me plais toujours autant dans ces châteaux glacés, ou chanoinesses et fantômes glissent de chapelle en escaliers sans fin.

Point.

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Argenteuil. A m’interroger sur ces drôles de peintures noires représentant des couples du 18eme et qui posent devant un peintre. Je peins donc ( enfin c’est juste dessiné) les couples qui ont été peints et transmettent avec leur petit chien un lourd sentiment d’ennui/

Pas de photos aujourd’hui. Après 3 mois quotidiens. Pfft . Plus d’idées… Enfin…Façon de parler.

Réponse d’A2G pour venir à A

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Je pense plusieurs fois dans la journée à la petite Circé et à sa chance d’être « là ».

Je pense à des petits biscuits au chocolat délicieux et je martyrise la boite. Je me fais un café que j’oublie de boire et même chose avec le thé.

Cette nuit a été agitée car l’appartement était plein de gens qui le visitaient. Ils étaient arrivés la nuit , sans prévenir, sans dire bonjour. Certains avec leur chien ou chat. Personne ne me voyait et R. ne les voyait pas.

J’ai dit à une dame odieuse:

_Vous devriez faire entrer votre cheval pour visiter…

Je ne sais plus comment ça c’est terminé mais visiblement à mon réveil tout le monde était parti et les meubles tombés et dérangés s’étaient remis en place comme par enchantement.

Je me moque de C. qui m’a réveillée l’autre jour car elle applaudissait en dormant. Ca fait bizarre quelqu’un qui fait ça. Ca fait même peur.

Elle devait se croire à Hollywood en train de présenter son futur premier film.

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